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Paul Féval: Les Habits Noirs Tome VII – Les Compagnons Du Trésor

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Les deux derniers tomes de ce cycle criminel ont pour thème central la recherche frénétique du trésor des Habits noirs, caché jalousement par le colonel Bozzo. Dans les Compagnons du trésor se trouve entrelacée à cette quête la sanglante loi de succession de la famille Bozzo, dont l'ancêtre est Fra Diavolo: le fils doit tuer le père pour lui succéder, à moins que le père ne tue le fils. L'architecte Vincent Carpentier, qui a construit la cache du trésor pour le colonel Bozzo, est poursuivi par l'idée fixe de la retrouver. Son fils adoptif, le jeune peintre Reynier, découvre par hasard qu'il est le petit-fils du colonel Bozzo…

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Paul Féval

Les Habits Noirs Tome VII – Les Compagnons Du Trésor

Le National , 15 juin 1870 – 22 février 1872

Paris, E. Dentu, 1872

Première partie Étonnante aventure de Vincent Carpentier

I La santé de Vincent

Vers le commencement du règne de Louis-Philippe, au milieu de Paris, agité par les conspirations républicaine et légitimiste, il y avait une maison, austère et calme comme un cloître.

Le bruit et le mouvement l’entouraient, car elle était située non loin du Palais-Royal, à quelques pas du passage Choiseul, où se réunissaient alors, dans le même local, une goguette de «joyeux» vaudevillistes et un des plus célèbres parmi les conciliabules politiques. Mais ni l’écho des harangues, ni le refrain des chansons n’arrivaient jusqu’à cet asile, respecté à l’égal d’un sanctuaire et que la solitude de la rue Thérèse semblait abriter contre tous les tapages de la comédie humaine: clameurs de colère ou cris de plaisir.

Ah! qu’il était glorieux alors, le toupet du roi-citoyen! Et son chapeau gris! Et son parapluie! Je ne crois pas qu’il y ait eu de souverain plus populaire que Louis-Philippe d’Orléans. Son portrait était à la fois dans tous les journaux à images et sur toutes les murailles, un portrait qui représentait magistralement une grosse poire, déguisée par une paire de favoris anglais et qui était d’une frappante ressemblance.

On s’amusait avec ce cher roi, tout doucement, sans fiel, à la bonne franquette; on l’appelait «M. Chose» ou «M. Untel», ou encore «La meilleure des républiques»; son fils aîné n’était connu que sous le nom de Poulot; on avait fait à sa sœur la réputation de boire des petits verres: tout le monde lui tapait amicalement sur le ventre, en l’accusant de voler aux Tuileries comme dans un bois et d’avoir accroché, par une nuit bien noire, le cou de son vieil oncle, le dernier Bourbon-Condé, à l’espagnolette d’une fenêtre de Saint-Leu pour procurer une position au petit duc d’Aumale, charmant enfant d’ailleurs et fort intelligent.

C’était le bon temps. La Mode, Le Charivari, La Caricature gagnaient un argent fou; l’hiver, les gamins faisaient des citrouilles de neige qui étaient encore le portrait du roi et qu’on décorait de la fameuse légende: Gros-gras-bête.

N’est-ce pas là le comble de la popularité?

Il n’y avait à Paris qu’un seul homme plus caressé, plus vilipendé que le roi. C’est un philanthrope, connu sous le nom du «Petit-Manteau-Bleu» et dont les cinq parties du monde se moquaient à cœur joie parce qu’il distribuait des soupes aux pauvres dans le quartier des Halles.

Le fait de distribuer des soupes constitue-t-il donc un crime ou une incongruité? Je ne sais pas, mais j’ai toujours vu ceux qui donnent suspectés, mis à la question et en définitive exécutés par ceux qui ne donnent pas.

C’est tout simple.

Ceux qui ne donnent pas forment l’immense majorité.

Mais voyez, cependant, le pouvoir de la vraie, de la haute vertu: dans cette paisible maison de la rue Thérèse habitait un saint vieillard, qui faisait bien autre chose que de distribuer des soupes. Il avait institué lui tout seul, et grâce à sa fortune considérable, un établissement de secours qui fonctionnait régulièrement comme les bureaux de l’assistance publique.

Seulement il fonctionnait bien mieux: nul n’aura de peine à me croire.

Peu à peu, quelques personnes éminentes, mais discrètes, s’étaient jointes à ce vieillard pour former l’admirable commandite de la charité.

C’était un service organisé; la maison avait ses visiteurs, chargés du contrôle, ses employés qui recevaient et classaient les demandes.

Ici, du matin jusqu’au soir, on travaillait à donner, comme ailleurs on s’efforce pour recevoir.

Cela se faisait sans faste ni affichage, mais cela se faisait au vu et au su de tout le monde.

Eh bien! que ceci soit dit à la louange de Paris, loin d’insulter le colonel Bozzo-Corona, patron de ce merveilleux office, Paris l’honorait et le respectait, ainsi que son intelligent secrétaire général M. Lecoq de la Périère. Paris daignait ne point s’opposer à leur œuvre, d’autant plus utile qu’elle s’adressait, disait-on, à une classe d’indigents à qui le malheur conseille trop souvent le crime.

Le colonel Bozzo et son auxiliaire, actif, adroit comme un diplomate de la police, sondaient les profondeurs de la grande ville pour y plonger le bienfait.

Paris n’est pas toujours content quand on le sauvegarde; mais par hasard Paris se laissait ici protéger sans se fâcher, et l’hôtel de la rue Thérèse était partout en odeur de vénération.

Le samedi 2 octobre 1835, un peu après cinq heures du soir, un vieillard de haute taille, enveloppant sa maigreur frileuse dans une ample douillette, quittait le rez-de-chaussée de l’hôtel, occupé par les bureaux et montait d’un pas pénible et lent le grand escalier conduisant aux appartements du premier étage.

Il s’appuyait au bras d’un homme jeune encore, à la physionomie hardie et gaie, qui portait gaillardement un costume taillé à la dernière mode, en fort beau drap, mais où les couleurs se choquaient selon une gamme un peu trop voyante.

C’était le colonel Bozzo et son fidèle alter ego, M. Lecoq, qui venaient de quitter leur travail quotidien, chacun d’eux pouvait dire assurément comme Titus: «Je n’ai pas perdu ma journée.»

Le colonel semblait parvenu déjà aux dernières limites de l’âge: nous disons déjà parce qu’il devait vivre encore longtemps; mais nous ajoutons que ceux qui le connaissaient depuis vingt ans ne l’avaient point vu vieillir.

Sous la restauration, on lui donnait plus de quatre-vingts ans déjà.

M. Lecoq était entre la trentième et la quarantième année, solidement pris dans sa taille robuste, et portant sur ses épaules carrées une figure un peu commune, mais singulièrement avisée. Ses lunettes d’or lui allaient comme si c’eût été un trait de son visage, et l’on eût été fâché de le rencontrer sans le gros paquet de breloques qui battait sur son pantalon écossais, enflé à la ceinture par un commencement d’embonpoint.

– Nous avons distribué 4329 francs aujourd’hui, dit Lecoq, pendant que le colonel soufflait entre la première et la seconde volée.

– C’est samedi, fit observer le vieillard, en façon d’apologie.

– C’est égal, je trouve que c’est raide. En temps de paix, il n’y a pas de plaisir à payer la solde de l’armée.

– En temps de guerre, bonhomme, on regagne le double d’un seul coup.

– Je ne dis pas non, mais les affaires chôment. Voilà plus de deux cent mille francs qui filent depuis la dernière histoire.

– La dernière histoire nous a rapporté deux cent mille francs. Lecoq secoua la tête.

– Je ne dis pas non, répéta-t-il, mais le temps vaut aussi de l’argent, et voilà six mois au moins que nous perdons. Chômage complet.

Le vieillard mit sur la marche son pied chaussé de pantoufles fourrées.

– Ta ta ta ta! fit-il, le temps! Je vivrai vieux, l’Amitié, et toi aussi.

Il ne faut pas se presser. Je rumine en ce moment une affaire… Ma dernière affaire! Lecoq éclata de rire.

– Pourquoi ris-tu, bonhomme? demanda le colonel.

– Parce que, répondit Lecoq, depuis que j’ai l’âge de raison, papa, toutes les affaires que vous ruminez sont votre dernière affaire. Vous l’avez faite deux cents fois.

– Elle finira bien par venir, l’Amitié, murmura le vieillard avec mélancolie, ma vraie dernière affaire! Nous sommes tous mortels, même moi. Montons, bonhomme, et appuie-moi comme il faut. Ma petite Fanchette m’occupe aussi, elle a l’âge de se marier. Quel amour d’enfant! et si bonne!

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