Dante Alighieri - La Divine Comédie Tome III - Le Paradis

Здесь есть возможность читать онлайн «Dante Alighieri - La Divine Comédie Tome III - Le Paradis» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Поэзия, Европейская старинная литература, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

La Divine Comédie Tome III: Le Paradis: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Oeuvre fondatrice de la poésie italienne, épopée poétique et métaphysique, ce voyage initiatique menant à la clarté divine, s'ouvre sur la traversée des neuf cercles de l'Enfer, sondant à la fois la symbolique chrétienne et les recoins les plus funestes de l'âme humaine.

La Divine Comédie Tome III: Le Paradis — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

[214]Galuzzo est à deux milles de Florence, allant vers le nord, et Trespiano à trois milles du sud.

[215]Baldo d’Aguglione, juriste en vue, qui a eu peut-être d’autres crimes sur la conscience, mais qui commit l’erreur, en 1311, d’excepter Dante de la liste des bannis autorisés à rentrer à Florence.

[216]Église, l’État «le plus pourri», s’est opposée à l’action pacificatrice de l’Empire.

[217]Semifonte, dans le Valdelsa, avait été détruit par les Guelfes de Florence dès 1202, ce qui provoqua l’exode de ses habitants. Si donc les ennemis de l’empereur n’avaient pas détruit cette ville, on n’aurait pas vu un si grand nombre d’arrivants de Semifonte s’installer à Florence. On ne sait si cette allusion est impersonnelle et doit s’entendre comme un cas général, ou si elle se rapporte à un individu déterminé, tel que, par exemple, Lippo Velluti, qui s’était enrichi à Florence et était devenu l’un des chefs des Noirs. Quant à l’aïeul, certains commentateurs n’entendent pas qu’il mendiait, mais qu’il faisait le métier de marchand ambulant, ou peut-être de soldat mercenaire ( andava alla cerca ): tous ces sens sont possibles, sans doute, mais même si Dante n’avait pas en vue celui que nous avons choisi, il est évident qu’une intention malveillante l’a fait opter pour cette expression ambiguë.

[218]Montemurlo, entre Prato et Pistoia, avait dû être cédé aux Florentins par les comtes Guidi, qui n’étaient plus en mesure de le défendre contre Pistoia.

[219]Les Cerchi, chefs du «pays sauvage» ou des Blancs, étaient originaires d’Ancône; ils y seraient peut-être restés, si les Florentins n’avaient pas accueilli tous les étrangers dans leur ville.

[220]Valdigrieve, ou vallée de la Grève, est un affluent de l’Arno. Là s’élevait le château des Buondelmonti, qu’ils durent céder aux Florentins en 1135.

[221]«Quelqu’un pourrait sans doute objecter que, si la ville s’est trop remplie de vilains, elle est du moins plus grande et plus forte et plus puissante. Il répond à cela par le moyen d’une comparaison; car une communauté forte et violente, comme le taureau, tombera plus vite qu’une communauté humble et pacifique, comme l’agneau» (Benvenuto d’Imola).

[222]Urbisaglia, dans la marche d’Ancône, avait déjà été détruite au temps d’Alaric; de Luni, disparue plus récemment, vient le nom de la Lunigiane. Chiusi, en Étrurie dans la région de Valdichiana, et Sinigaglia, dans la marche d’Ancône, étaient alors en pleine décadence.

[223]La nouvelle iniquité, des combats des Blancs et des Noirs (la première avait été celle des Guelfes avec les Gibelins), a pour chefs les Cerchi, dont la maison se trouvait près de la Porte San Piero.

[224]Bellincione Berti (cf. plus haut, note 197), père de la bonne Gualdrade, avait été, par celle-ci, le tronc commun de la célèbre famille des comtes Guidi.

[225]C’était là un signe distinctif réservé aux seuls chevaliers.

[226]La famille des Pigli, dont les armes portaient d’or au pal vair. Toutes les familles citées dans ce passage sont parmi les plus communément connues à Florence.

[227]Les Chiaramontesi; l’un d’eux avait été chargé par la ville de la distribution du sel; mais il avait retiré une douve circulaire du boisseau dont il se servait, pour rendre celui-ci plus petit et augmenter son gain illicite.

[228]Aux premières magistratures de la ville.

[229]Sans doute allusion aux Uberti, puissante famille dont le membre le plus représentatif avait été Farinata; cf. Enfer , notes 88 et 93.

[230]Les Lamberti, dont l’écu d’armes portait d’azur aux boules d’or.

[231]Allusion aux familles des Visdomini et des Tosinghi, qui avaient pour privilège d’administrer les biens de l’évêché de Florence pendant les vacances du siège.

[232]Les Adimari: Boccaccio Adimari s’empara de la fortune du poète durant son exil, et s’opposa tant qu’il put à son retour à Florence.

[233]Bellincione Berti, déjà plus d’une fois mentionné, avait marié une de ses filles à Ubertino Donati et une autre à un Adimari.

[234]Ces trois familles, illustres au XIIe siècle, appartenaient au parti des Gibelins.

[235]L’auteur dit: «Qui pourrait croire que les Délia pera, eux aussi, étaient anciens? Je dis qu’ils sont si anciens, qu’une porte de la première enceinte de la ville avait pris d’eux son nom; mais ils sont tombés si bas, qu’on n’en parle plus maintenant» (Ottimo Commento). Cette explication a été généralement acceptée; mais on ne voit pas pourquoi cela serait incroyable, étant donné que les Délia Pera étaient déjà inconnus. Peut-être Dante voulait-il mettre l’accent sur un autre détail, celui-là incroyable pour les hommes de 1300: la ville était si petite, qu’on y entrait par la Porte de la Pera (ainsi nommée de la famille du même nom), qui avait été largement dépassée depuis.

[236]Hugues le Grand, marquis de Toscane, mourut en 1001, le jour de la Saint-Thomas. Il avait anobli un certain nombre de familles florentines, qu’il autorisa à porter son propre écu d’armes, composé de sept bandes alternées de gueules et d’argent.

[237]Probablement allusion à Délia Bella, dont la famille portait en effet les armes d’Hugues le Grand, et qui était banni depuis 1295.

[238]Deux familles guelfes, qui vivaient au quartier de Borgo Santo Apostolo.

[239]Les Amidei, dont un membre tua Buondelmonte Buondelmonti en 1215 (cf. Enfer , note 270); cet incident signale le commencement des factions florentines et de la longue guerre civile entre Guelfes et Gibelins. -381

[240]Buondelmonte avait donné parole de mariage à la fille de Lambertuccio Amidei, mais se retira par la suite conseillé par Gualdrada Donati, et surtout poussé par le désir d’épouser la fille de celle-ci.

[241]Buondelmonte habitait au château de Montebuoni dans le Valdigrieve (cf. plus haut, note 220); pour venir à Florence, il avait à traverser la rivière d’Ema.

[242]La statue de Mars, cf. Enfer , note 129.

[243]La fin de la paix pour la ville de Florence, puisque c’est ce meurtre qui déclencha la guerre civile.

[244]Les armes de Florence étaient un lis blanc sur champ rouge. En 1251, ayant expulsé les Gibelins, les Florentins changèrent ce blason et adoptèrent le lis rouge sur champ blanc.

[245]Phaéton, fils d’Apollon et de Climène, demanda à sa mère qui était son père. La complaisance que par la suite lui montra Apollon devait lui être fatale.

[246]Les choses contingentes, qui sont pour la connaissance humaine une succession de faits matériels, comme les feuillets d’un livre, se trouvent inscrites depuis toujours dans l’intelligence divine, mais sans qu’elles y prennent un caractère de nécessité.

[247]Phèdre, la seconde femme de Thésée.

[248]À Rome.

[249]«La blessure de la Fortune, que bien souvent l’on impute injustement au blessé» (Dante, Convivio, I, 3).

[250]Bartolommeo délia Scala, seigneur de Vérone de 1301 à 1304; il portait comme armes parlantes l’échelle, à laquelle il avait ajouté en 1291 l’aigle impériale, parce qu’il avait épousé une descendante de l’empereur Frédéric II.

[251]Can Grande délia Scala, frère puîné du précédent, né en 1291, seigneur de Vérone de 1312 à 1329.

[252]Le pape Clément V, Gascon d’origine, trompa l’empereur Henri VII, qu’il fit venir en Italie et qu’il combattit ensuite.

[253]La patrie.

[254]Ce qu’il y avait d’agréable dans son discours, et ce qu’il m’annonçait de terrible.

[255]Le reflet que l’on voyait dans son regard, de l’aspect de Dieu qu’elle contemplait.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis»

Обсуждение, отзывы о книге «La Divine Comédie Tome III: Le Paradis» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x