Ernest Renan - Vie De Jésus

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[89]Matth., XXIII, 15; Josèphe, Vita , 23; B. J ., II, xvii, 10; VII, iii, 3; Ant ., XX, II, 4; Horat., Sat. I, iv, 143; Juv., XIV, 96 et suiv.; Tacite, Ann ., II, 85; Hist., V, 5; Dion Cassius, XXXVII, 17.

[90]Mischna, Schebiit , X, 9; Talmud de Babylone, Niddah, fol. 13 b, Jebamoth , 47 b; Kidduschin , 70 b ; Midrasch, Jalkut Ruth, fol. 163 d .

[91]Lettre apocryphe de Baruch, dans Fabricius, Cad. pseud. V.T. II, 147 et suiv.

[92]IIe livre des Macchabées, ch. VII, et le De Maccaboeis , attribué à Josèphe. Cf. Epître aux Hébreux, xi, 33 et suiv.

[93]III livre (apocr.) des Macchabées; Rufinn, Suppl. ad Jos., Contra Apionem , II,5.

[94]VII, 13 et suiv.

[95] Vendidad ; XIX, 48, 49; Minokhired , passage publié dans la Zeitschrift der deutsshen morgenländischen Gesellschaft , I, 263; Boundehesch XXXI. Le manque de chronologie certaine pour les textes zends et pehlvis laisse planer beaucoup de doute sur ces rapprochements entre les croyances juives et persanes.

[96]Egl. IV. Le Cumæum carmen (v. 4) était une sorte d'apocalypse sibylline, empreinte de la philosophie de l'histoire familière à l'Orient. Voir Servius sur ce vers, et Carmina sibyllina , III, 97-817. Cf. Tac., Hist. , V, 13.

[97]Luc, II, 25 et suiv.

[98]Matth., XIII, 54 et suiv.; Marc, VII, I et suiv.; Jean, I, 45-46.

[99]Elle n'est nommée ni dans les écrits de l'Ancien Testament, ni dans Josèphe, ni dans le Talmud.

[100]Marc, I, 24; Luc, XVIII, 37; Jean, XIX, 19; Act . II, 22; III, 6. De là le nom de Nazaréens , longtemps appliqué aux chrétiens, et qui les désigne encore dans tous les pays musulmans.

[101]Le recensement opéré par Quirinius, auquel la légende rattache le voyage de Bethléhem, est postérieur d'au moins dix ans à l'année où, selon Luc et Matthieu, Jésus serait né. Les deux évangélistes, en effet, font naître Jésus sous le règne d'Hérode (Matth., II, I, 49, 22; Luc, I, 5). Or, le recensement de Quirinius n'eut lieu qu'après la déposition d'Archélaüs, c'est-à-dire dix ans après la mort d'Hérode, l'an 37 de l'ère d'Actium (Josèphe, Ant ., XVII, xiii, 5; XVIII, i, I; II, I). L'inscription par laquelle on prétendait autrefois établir que Quirinius fit deux recensements est reconnue pour fausse (V. Orelli, Inscr. lat ., nº 623, et le supplément de Henzen, à ce numéro; Borghesi, Fastes consulaires [encore inédits], à année 742). Le recensement en tout cas ne se serait appliqué qu'aux parties réduites en province romaine, et non aux tétrarchies. Les textes par lesquels on cherche à prouver que quelques-unes des opérations de statistique et de cadastre ordonnées par Auguste durent s'étendre au domaine des Hérodes, ou n'impliquent pas ce qu'on leur fait dire, ou sont d'auteurs chrétiens, qui ont emprunté cette donnée à l'Évangile de Luc. Ce qui prouve bien, d'ailleurs, que le voyage de la famille de Jésus à Bethléhem n'a rien d'historique, c'est le motif qu'on lui attribue. Jésus n'était pas de la famille de David (v. ci-dessous, p. 237-238), et, en eût-il été, on ne concevrait pas encore que ses parents eussent été forcés, pour une opération purement cadastrale et financière, de venir s'inscrire au lieu d'où leurs ancêtres étaient sortis depuis mille ans. En leur imposant une telle obligation, l'autorité romaine aurait sanctionné des prétentions pour elle pleines de menaces.

[102] Ch. XIV.

[103]Matth., II, 1 et suiv.; Luc, II, 1 et suiv. L'omission de ce récit dans Marc, et les deux passages parallèles, Matth, XIII, 54, et Marc, VI, 1, où Nazareth figure comme «la patrie» de Jésus, prouvent qu'une telle légende manquait dans le texte primitif qui a fourni le canevas narratif des évangiles actuels de Matthieu et de Marc. C'est devant des objections souvent répétées qu'on aura ajouté, en tête de l'évangile de Matthieu, des réserves dont la contradiction avec le reste du texte n'était pas assez flagrante pour qu'on se soit cru obligé de corriger les endroits qui avaient d'abord été écrits à un tout autre point de vue. Luc, au contraire (IV, 16), écrivant avec réflexion, a employé, pour être conséquent, une expression plus adoucie. Quant à Jean, il ne sait rien du voyage de Bethléhem; pour lui, Jésus est simplement «de Nazareth» ou «Galiléen,» dans deux circonstances où il eût été de la plus haute importance de rappeler sa naissance à Bethléhem (I, 45-46; VII, 41-42).

[104]On sait que le calcul qui sert de base à l'ère vulgaire a été fait au VIe siècle par Denys le Petit. Ce calcul implique certaines données purement hypothétiques.

[105]Matth., I, 21; Luc, I, 31.

[106] Gelil haggoyim , «cercle des Gentils.»

[107]Strabon, XVI, II, 35; Jos., Vita , 12.

[108]On expliquera plus tard ( ch. XIV), l'origine des généalogies destinées à le rattacher à la race de David. Les Ébionira les supprimaient (Epiph., Adv. hær ., XXX, 14).

[109]Matth., XIII, 55; Marc, VI, 3; Jean, VI, 42.

[110]L'aspect grossier des ruines qui couvrent la Palestine prouve que les villes qui ne furent pas reconstruites à la manière romaine étaient fort mal bâties. Quant à la forme des maisons, elle est, en Syrie, si simple et si impérieusement commandée par le climat qu'elle n'a jamais dû changer.

[111]Matth., XII, 46 et suiv.; XIII, 55 et suiv.; Marc, III, 31 et suiv.; VI, 3; Luc, VIII, 19 et suiv.; Jean, II 42; VII, 3, 5, 40; Act. I, 14 .

[112]Matth., I, 25.

[113]Ces deux sœurs portant le même nom sont un fait singulier. Il y a là probablement quelque inexactitude, venant de l'habitude de donner presque indistinctement aux Galiléénnes le nom de Marie.

[114]Ils ne sont pas étymologiquement identiques. Αλφαιος est la transcription du nom syro-chaldaïque Halphaï ; Κλωπας ou Κλεοπας est une forme écourtée de Κλεοπατρος. Mais il pouvait y avoir substitution artificielle de l'un à l'autre, de même que les Joseph se faisaient appeler «Hégésippe», les Eliakim «Alcimus», etc.

[115]Jean, VII, 3 et suiv.

[116]En effet, les quatre personnages qui sont donnés (Matth., XIII, 55; Marc, VI, 3) comme fils de Marie, mère de Jésus: Jacob, Joseph ou José, Simon et Jude, se retrouvent ou à peu près comme fils de Marie et de Cléophas (Matth., XXVII, 56; Marc, XV, 40; Gal ., I, 19; Epist. Jac. , I, 1; Epist. Judæ , 4; Euseb., Chron. ad ann. R. DCCCX; Hist. eccl ., III, 11, 32; Constit. Apost ., VII, 46). L'hypothèse que nous proposons lève seule l'énorme difficulté que l'on trouve à supposer deux sœurs ayant chacune trois ou quatre fils portant les mêmes noms, et à admettre que Jacques et Simon, les deux premiers évoques de Jérusalem, qualifiés de «frères du Seigneur,» aient été de vrais frères de Jésus, qui auraient commencé par lui être hostiles, puis se seraient convertis. L'évangéliste, entendant appeler ces quatre fils de Cléophas «frères du Seigneur,» aura mis, par erreur, leur nom au passage Matth. , XIII, 55- Marc , VI, 3, à la place des noms des vrais frères, restés toujours obscurs. On s'explique de la sorte comment le caractère des personnages appelés «frères du Seigneur,» de Jacques par exemple, est si différent de celui des vrais frères de Jésus, tel qu'on le voit se dessiner dans Jean, VII, 3 et suiv. L'expression de «frère du Seigneur» constitua évidemment, dans l'Église primitive, une espèce d'ordre parallèle à celui des apôtres. Voir surtout I Cor. , IX, 5.

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