Larry Niven - Protecteur

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La vie d’un Pak passait par trois phases : jeune, reproducteur, et enfin protecteur. Phssthpok était un protecteur. Il voyageait depuis près de 32 000 ans. Sa mission était de rechercher, sauver, développer et protéger le groupe de Paks reproducteurs envoyé dans l’espace quelque deux millions et demi d’années auparavant…
Brennan était un Zonier, le produit d’une société indépendante, plutôt anarchique qui vivait dans la Zone des Astéroïdes. Les Zoniers étaient tous des rebelles et Brennan était un contrebandier.
Les mondes de la Zone avaient repéré et pistaient le vaisseau Pak depuis des jours. Brennan comptait l’atteindre le premier…
On ne le revit jamais… du moins, sous la forme humaine.

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— Presque, acquiesça Brennan. Mais vous n’auriez rien trouvé sur Perséphone.

— Et maintenant nous sommes vos prisonniers, dit-elle avec aigreur.

— Non. Mes hôtes. »

La physionomie d’Alice ne se modifia pas.

« Vous croyez que je m’amuse avec des euphémismes. Pas du tout. Lorsque je partirai d’ici, je vous ferai cadeau de tout ça. Mon travail ici est pratiquement achevé. Je devrai vous apprendre à ne pas vous tuer en appuyant sur les mauvais boutons, et je vous remettrai un acte de propriété pour Kobold.

Nous aurons tout le temps pour cela. »

Cadeau ? Roy envisagea l’idée d’être abandonné là, dans l’impossibilité de rentrer sur la Terre. Une prison assez agréable. Brennan pensait-il qu’il fondait un nouveau jardin d’Éden ?

Mais Brennan avait repris la parole.

« J’ai mon propre astronef, bien sûr. Je vous laisserai le vôtre. Vous avez intelligemment économisé le carburant. Vous devriez devenir très riche avec cela, Roy. Vous aussi, Mademoiselle.

— Alice Jordan », dit-elle. Elle tenait fort bien le coup, mais elle semblait ne pas savoir quoi faire de ses mains, qui s’agitaient.

« Appelez-moi Jack, ou Brennan, ou le monstre-Brennan. Je ne suis pas sûr d’avoir encore droit à mon nom de naissance. »

Roy prononça son premier mot : « Pourquoi ? »

Brennan comprit. « Parce que mon travail ici est terminé. Que croyez-vous que j’ai fait depuis deux cent vingt ans ?

— Utiliser la pesanteur créée artificiellement comme une forme d’art, dit Alice.

— Cela aussi. Mais surtout j’ai surveillé les radicaux de lithium à haute énergie sur le Sagittaire. » Il les regarda attentivement à travers le masque de son visage. « Je ne veux pas être mystérieux. J’essaie de vous expliquer afin que vous ne soyez pas aussi inquiets. En venant ici, j’avais un but. Au cours des dernières semaines, j’ai trouvé ce que je cherchais. Maintenant, je vais partir. Je n’avais jamais imaginé qu’ils prendraient tant de temps.

— Qui ?

— Les Pak. Voyons, vous avez dû étudier l’épisode Phssthpok en détail, sinon vous ne seriez pas venus jusqu’ici. Avez-vous songé à vous demander ce qu’allaient faire les protecteurs Pak sans enfant après le départ de Phssthpok. »

Visiblement, ils ne s’étaient pas posés cette question.

« Moi, si. Phssthpok a établi sur Pak une industrie spatiale. Il a découvert comment faire pousser l’arbre de vie dans les mondes des extensions galactiques. Il a construit un vaisseau, et celui-ci a bien fonctionné, ainsi que les Pak ont pu s’en apercevoir. Et maintenant ?

« Tous ces protecteurs sans enfant sont à la recherche d’une mission dans la vie. Une industrie spatiale pour construire des astronefs destinés à un seul emploi. Quelque chose pouvait arriver à Phssthpok, n’est-ce pas ? Un accident. Ou que Phssthpok perdît la volonté de vivre, en route vers ici. »

Roy, alors, comprit : « Ils enverraient un autre vaisseau.

— Voilà. Même si celui-ci arrivait ici, Phssthpok pourrait utiliser des concours pour chercher un volume de trente années-lumière de rayon. Quiconque suivrait Phssthpok ne viserait pas Sol directement ; Phssthpok aurait déjà fouillé Sol lorsqu’il arriverait. Non, le vaisseau viserait à côté, à l’écart de la zone évidente des recherches de Phssthpok. J’ai calculé que cela me donnerait quelques années supplémentaires, dit Brennan. J’ai pensé qu’ils enverraient un autre vaisseau presque immédiatement. J’ai craint de ne pas être prêt.

— Pourquoi leur a-t-il fallu tant de temps ?

— Je l’ignore, répondit Brennan sur le ton de quelqu’un qui reconnaît sa culpabilité. Une capsule de fret plus lourde, peut-être. Des reproducteurs en animation suspendue, pour le cas où nous aurions péri jusqu’au dernier au cours de deux millions et demi d’années. »

Alice intervint. « Vous nous avez dit que vous aviez surveillé…

— Oui. Un soleil ne brûle pas du carburant tout à fait comme un statoréacteur Bussard. Il y a une constriction et énormément de chaleur, puis le gaz se dilate dans l’espace pendant qu’il est encore en fusion. Un statoréacteur Bussard expulsera quantité de produits chimiques curieux : de l’hydrogène et de l’hélium à haute énergie, des radicaux du lithium, quelques borates, et même un hydrure de lithium, qui est généralement un produit chimique impossible. En régime de décélération, ils sortent tous en un jet de haute énergie à une vitesse proche de celle de la lumière.

« Le vaisseau de Phssthpok fonctionnait de cette manière-là, et je n’escomptais pas qu’ils en changent la conception. Pas simplement parce que celle-ci avait fait ses preuves, mais parce qu’elle était la meilleure à leur disposition. Lorsque l’on est aussi intelligent qu’un Pak, il n’y a qu’une seule bonne réponse à un ensemble donné d’outils. Je me demande si, après le départ de Phssthpok, quelque chose n’a pas bousculé leur technologie. Quelque chose comme une guerre. » Il marqua un temps d’arrêt. « De toute façon, j’ai découvert de curieux produits chimiques dans le Sagittaire. On arrive. »

Roy demanda avec effroi : « Combien de vaisseaux ?

— Un seul, bien entendu. Je n’ai pas réellement trouvé l’image, mais ils ont dû faire partir le deuxième astronef dès qu’il a été construit. Pourquoi attendre ? Et, peut-être, un autre vaisseau derrière le deuxième, puis encore un autre après les trois premiers. Je les rechercherai d’ici, tant que j’aurai mon… télescope – entre guillemets.

— Et ensuite ?

— Ensuite, je détruirai autant de vaisseaux qu’il s’en présentera.

— Comme ça, tout simplement ?

— Je m’attendais à cette réaction, dit Brennan avec une certaine amertume. Réfléchissez. Si un Pak savait à quoi ressemblait l’espèce humaine, il essaierait de nous exterminer. Que suis-je censé faire ? Lui adresser un message, solliciter la paix ? À elle seule, cette information lui en apprendrait assez.

— Vous pourriez essayer de le convaincre que vous êtes Phssthpok.

— Sans doute. Et après ? Il cesserait de manger, bien sûr. Mais d’abord il voudrait livrer son vaisseau. Il ne croirait jamais que nous avons déjà fait avancer la technologie au point de fabriquer des monopôles artificiels, que son astronef est le deuxième de ce genre dans ce système, et que nous pourrions avoir besoin aussi d’oxyde de thallium.

— Hum !

— Hum ! » Brennan la contrefit. « Croyez-vous que je sois particulièrement ravi à l’idée d’assassiner quelqu’un qui est venu de trente et un mille années-lumière pour nous sauver de nous-mêmes ? J’ai longtemps réfléchi à cela. Il n’existe pas d’autre solution. Mais que cette perspective ne vous arrête pas ! » Brennan se leva. « Méditez là-dessus. Et tout en méditant, vous pourriez aussi explorer Kobold. En fin de compte, vous en serez les propriétaires. Toutes les choses dangereuses sont derrière des portes. Jouez aux boules ou au golf si vous en avez envie, nagez là où vous trouverez de l’eau. Mais ne mangez rien et n’ouvrez aucune porte. Roy, racontez-lui la légende de Barbe-Bleue. » Brennan désigna une petite colline. « Par ici, en traversant le jardin, vous arriverez à mon laboratoire. J’y serai quand vous aurez besoin de moi. Prenez votre temps. » Et il s’éloigna, non point nonchalamment, mais au pas de course.

Ils se regardèrent.

« Crois-tu qu’il parlait sérieusement ? demanda Alice.

— Cela me plairait assez, dit Roy. Une pesanteur créée artificiellement. Et ce petit monde. Kobold. Avec des générateurs de pesanteur, nous pourrions le déplacer, l’amener dans le système solaire, peut-être, et en faire un Disneyland.

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