Larry Niven - Protecteur

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La vie d’un Pak passait par trois phases : jeune, reproducteur, et enfin protecteur. Phssthpok était un protecteur. Il voyageait depuis près de 32 000 ans. Sa mission était de rechercher, sauver, développer et protéger le groupe de Paks reproducteurs envoyé dans l’espace quelque deux millions et demi d’années auparavant…
Brennan était un Zonier, le produit d’une société indépendante, plutôt anarchique qui vivait dans la Zone des Astéroïdes. Les Zoniers étaient tous des rebelles et Brennan était un contrebandier.
Les mondes de la Zone avaient repéré et pistaient le vaisseau Pak depuis des jours. Brennan comptait l’atteindre le premier…
On ne le revit jamais… du moins, sous la forme humaine.

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— Moi non plus.

— De quelqu’un d’aussi arrogant que le monstre-Brennan. Peut-être nous considère-t-il réellement comme des animaux. Peut-être nous a-t-il écartés parce que nous venions le déranger.

— Possible.

— Je n’ai encore rien vu devant nous.

— Ma foi, où que nous allions, nous allons diablement plus vite que prévu. »

Elle rit. Ses ongles dessinèrent des cercles sur le bas du dos de Truesdale.

Il y avait pourtant quelque chose devant eux. Invisible au télescope et au radar, mais enregistré sur le détecteur de masse. À peine enregistré. Peut-être une comète égarée. Ou un défaut dans le détecteur de masse. Ou…

Ils tombaient depuis six jours. Ils se trouvaient à présent à 7x169 kilomètres de Sol – aussi loin que Perséphone. Et puis l’indicateur de masse montra une image minuscule, nette. Elle était plus petite que toutes les lunes que devait avoir un géant gazeux. Mais la matière était si ténue là-bas – presque aussi raréfiée que l’espace interstellaire – qu’il y avait gros à parier qu’ils devaient tomber vers rien du tout.

Ils pensèrent que c’était Brennan. L’espérance et la peur se partagèrent leurs cœurs.

Et le télescope ne révélait rien.

Il se demanda ce qui l’avait réveillé. Il écouta le silence, il regarda autour de lui dans le demi-jour.

Alice était penchée en avant contre les courroies de retenue qui entouraient son hamac, vers l’avant du vaisseau. Lui aussi.

Il avait bien appris sa leçon. Il s’empara de sa combinaison pressurisée avant de défaire les courroies auxquelles il s’accrocha comme à une bouée de sauvetage, puis il revêtit sa combinaison d’une seule main. La traction était de quelques livres, pas davantage. Alice le devança pour descendre l’échelle vers l’avant.

Le détecteur de masse s’affolait. Derrière le hublot, il y avait un désert d’étoiles fixes.

« Je ne peux pas procéder à une estimation de direction par ici, déclara Alice. Il n’y a pas de points de référence. C’était déjà assez mauvais là-bas, à deux jours de Sol.

— Bon. »

Elle donna un coup de poing au hublot. « Ce n’est pas bon. Je ne peux pas découvrir où nous sommes. Que veut-il de nous ?

— Calme-toi. C’est nous qui sommes allés vers lui.

— Je peux faire un effet Doppler sur le Soleil. Au moins, il nous donnera notre vitesse radiale. Je ne peux pas faire la même chose avec Perséphone : elle est beaucoup trop pâle… » Elle se détourna brusquement ; elle avait le visage convulsé.

— Ne te fais pas de bile, capitaine. »

Elle sanglotait. Quand il la prit dans ses bras, elle lui administra de gentils petits coups de poing sur les épaules. « Ça ne me plaît pas du tout. J’ai horreur d’être sous la dépendance de quelqu’un… » Ses sanglots la secouaient violemment.

Ses responsabilités étaient plus grandes que celles de Truesdale. Sa tension aussi.

Et – il savait que c’était vrai – elle ne pouvait pas accepter l’idée de dépendre de quelqu’un. Dans sa nombreuse famille, Roy avait toujours eu quelqu’un à qui s’adresser dans une situation critique. Il plaignait volontiers quiconque ne bénéficiait pas d’une telle assurance dans son existence.

L’amour était une sorte d’interdépendance, se dit-il. Ce qu’ils avaient, Alice et lui, ne serait jamais tout à fait de l’amour. Dommage !

… Ce qui était une réflexion absurde alors qu’ils attendaient le caprice de Brennan, ou du kidnappeur, ou de Vandervecken, ou de quiconque se trouvait là-bas : une chaîne peu solide de raisonnements, et une chose qui déplaçait les astronefs comme des jouets sur le plancher d’une nursery. Et Alice, qui avait enfoui sa tête dans le creux de son épaule comme si elle essayait d’effacer le monde, les retenait encore ancrés à une cloison par une main. Il n’y avait pas pensé.

Elle le sentit se raidir, et elle se retourna. Elle regarda quelques instants puis se dirigea vers les commandes du télescope.

On aurait dit un astéroïde lointain.

L’indicateur de masse ne l’avait pas désigné : il s’était intéressé à quelque chose derrière ce point. Lorsque Alice projeta l’image sur l’écran, Roy ne put en croire ses yeux. Il vit un paysage ensoleillé dans un pays enchanté : rien que de l’herbe, des arbres, des plantes, et quelques petits bâtiments à formes douces et organisées. C’était comme si ce décor avait été planté et modelé par les mains d’un topologiste folâtre.

L’image était petite, trop petite pour contenir la pellicule d’atmosphère qu’il percevait tout autour, ou l’étang bleu qui étincelait sur un côté. Une sorte de gros anneau rond en pâte à modeler avec des creux et des bosses à la surface, et une petite sphère vert tendre qui flottait dans le trou avec un arbre unique qui en sortait. Il distinguait très nettement la sphère. Elle devait être énorme.

Et le côté gauche de l’ensemble baignait tout entier dans la lumière du soleil. D’où venait cette lumière ?

« Nous arrivons droit dessus. » Alice était tendue, mais les larmes n’enrouaient plus sa voix. Elle s’était vite ressaisie.

« Qu’allons-nous faire ? Atterrir nous-mêmes, ou attendre qu’il nous fasse atterrir ?

— Je vais échauffer le propulseur, dit-elle. Son générateur de pesanteur pourrait soulever des tempêtes dans cette atmosphère artificielle. »

Il ne lui demanda pas : Comment le sais-tu ? Elle hasardait une conjecture, évidemment. « Et les armes ? » dit-il.

Les mains d’Alice s’immobilisèrent sur les touches. « Il ne voudrait pas… Je n’en sais rien. »

Il pesa le pour et le contre. Ainsi perdit-il sa chance.

Lorsqu’il revint à lui, il se crut sur la Terre. Un clair soleil, un ciel bleu, le chatouillement de l’herbe sous son dos et ses jambes, le contact, le son et l’odeur d’une brise fraîche et pollenisée… Avait-il été largué dans un Parc national ? Il roula sur le côté et vit Brennan.

Brennan était assis sur l’herbe ; il étreignait ses genoux bosselés et il l’observait. Pour tout vêtement, Brennan ne portait qu’une longue veste. La veste était couverte de poches : des grandes, des petites, des boucles pour des outils, et des poches sur les poches et à l’intérieur des poches ; et la plupart de ces poches étaient pleines. Il devait porter la valeur de son propre poids en objets de toutes sortes.

Là où la veste ne la recouvrait pas, la peau de Brennan n’était que de larges plis bruns qui ressemblaient à du cuir souple. Il rappela à Truesdale la momie Pak au Smithsonian Institute, à ceci près qu’il était plus grand et encore plus laid. Le renflement du menton et du front gâtait les traits lisses de la tête Pak. Il avait des yeux bruns, rêveurs, humains.

« Hello, Roy ! » dit-il.

Roy se redressa avec un soubresaut. Alice était là, sur le dos, les yeux fermés ; elle portait toujours sa combinaison pressurisée, mais le casque était ouvert. L’astronef était là aussi ; il reposait le ventre en bas, sur… sur…

Un vertige.

« Elle ira très bien », disait Brennan. Sa voix était ironique, avec un faible accent étranger. « Vous aussi. Je ne voulais pas que vous débarquiez avec des armes crachant le feu. Cet écosystème n’est pas facile à maintenir. »

Roy rouvrit les yeux, regarda encore une fois autour de lui. Au-dessus du sommet arrondi d’une pente verte, une masse impossible flottait, prête à tomber sur eux. Une sphère recouverte d’herbe avec un unique arbre gigantesque qui en sortait d’un côté. Le vaisseau spatial était posé près de son tronc. Il aurait dû tomber lui aussi.

Alice Jordan se mit sur son séant. Roy se demanda si elle allait céder à un moment de panique… mais non : elle étudia le monstre-Brennan puis déclara : « En somme, nous avions raison.

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