Lois Bujold - Miles Vorkosigan

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Miles Vorkosigan: краткое содержание, описание и аннотация

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Miles Vorkosigan, petit par la taille mais grand par l’intelligence, vient de sortir de l’école militaire de Barrayar pour prendre son premier poste en temps qu’officier. Espérant être affecté sur le navire spatial « Prince Serg », il se retrouve… sur l’île Kyril, un camp d’entrainement pour l’infanterie, gelé et perdu au milieu de nulle part, ceci afin de régler ses problèmes d’obéissance envers l’autorité. Il a juste à se tenir tranquille pendant 6 mois et accepter patiemment les ordres. Mais le responsable de cette station est le dur général Metzov, dont les pratiques disciplinaires sont loin d’être académiques. Miles saura t-il se faire oublier ?

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— Il n’avait pas prévu que les Cetagandans lanceraient leur attaque avant que sa navette volée se soit écartée du Triomphe , chuchota Miles. Bon plan, mauvais timing… Il aurait pu faire demi-tour, il a choisi de tenter sa chance…

Oser, choisir sa mort ? Etait-ce là l’argument réconfortant ?

Les Cetagandans interrompirent moins leur attaque qu’ils ne la terminèrent, dans un bon ordre déprimant. Le score était légèrement en faveur des Dendarii. Nombre de vaisseaux cetagandans avaient été gravement endommagés et l’un d’eux complètement détruit. Les canaux de surveillance des avaries des Rangers et des Dendarii s’affolaient. Les Dendarii n’avaient pas encore perdu de bâtiment, mais avaient perdu de la puissance de feu, des moteurs, des engins de surveillance de vol, l’appui de vies humaines, du blindage. La prochaine attaque serait encore plus dévastatrice.

Ils peuvent se permettre de perdre trois vaisseaux contre un à nous. S’ils continuent à nous grignoter, ils doivent inévitablement gagner, conclut Miles froidement. À moins que nous ne recevions des renforts.

Des heures passèrent, tandis que les Cetagandans se remettaient en formation. Miles prit de courts instants de repos dans le carré des officiers prévu à cet effet à côté de la salle de tactique, mais il était trop tendu pour dormir un quart d’heure d’affilée à volonté comme le faisait Tung. Et Miles savait que ce n’était pas du chiqué : personne n’aurait pu simuler un ronflement aussi dégoûtant.

La télévidéo permettait d’observer l’arrivée des renforts cetagandans qui traversaient le système de Vervain. C’était cela, l’importance relative du temps : le risque. Plus les Cetas attendaient, plus ils accroissaient leurs chances d’améliorer leurs équipements, mais aussi de voir leurs ennemis reprendre du poil de la bête. Il y avait sans doute à bord du vaisseau amiral cetagandan un ordinateur tactique qui avait généré une courbe de probabilités indiquant l’intersection optimale de Nous et d’Eux. Si seulement ces satanés Vervani se montraient plus agressifs et attaquaient depuis leur base planétaire ce flot d’approvisionnement…

Et les voilà repartis à l’attaque ! Tung surveillait ses écrans, ses mains se crispaient et se décrispaient inconsciemment sur ses genoux entre deux danses spasmodiques de ses doigts épais sur son clavier de contrôle, dépêchant des ordres, corrigeant, anticipant. Les doigts de Miles frémissaient en minuscule écho, son esprit s’efforçant de deviner la pensée de Tung, de tout assimiler. Leur image de la réalité devenait comme de la dentelle aux trous invisibles, à mesure que les données disparaissaient, du fait de la détérioration de détecteurs ou de transmetteurs sur divers vaisseaux. Les Cetagandans fonçaient au travers de la formation dendarii, pilonnant… Un vaisseau dendarii explosa ; un autre, ses armes mortes, tenta de s’éloigner tant bien que mal hors de portée, trois vaisseaux rangers désertèrent d’un commun accord… Ça commençait à sentir le roussi…

Appât à requins Trois vous parle, lança une voix rude qui domina tous les autres canaux de communication, faisant sursauter Miles sur son siège. Maintenez ce couloir net. Les secours arrivent.

— Pas maintenant, grogna Tung, qui commença néanmoins un redéploiement rapide pour protéger le minuscule volume d’espace, le débarrasser des débris, missiles, feu de l’ennemi et surtout de tout navire ennemi muni de lances à implosion.

Ceux des navires cetagandans qui étaient en position de réagir donnèrent presque l’impression de dresser l’oreille, hésitant car les mouvements des navires dendarii télégraphiaient : Des changements vont se produire. Les Dendarii allaient peut-être battre en retraite… une chance exploitable allait peut-être se présenter…

— Qu’est-ce que c’est que ça ? dit Tung comme quelque chose d’énorme et de temporairement indéchiffrable apparaissait à l’entrée du couloir et se mettait aussitôt à accélérer. (Il tapota les touches des données d’information.) C’est trop gros pour être aussi rapide. C’est trop rapide pour être aussi gros.

Miles reconnut le profil énergétique avant même que le téléviseur offre une image. Quelle croisière d’essai ils ont !

C’est le Prince Serg. Nos renforts impériaux de Barrayar viennent d’arriver. (Il aspira une bouffée d’air, pris de vertige.) N’avais-je pas promis…

Tung jura d’horrible façon, par pure admiration esthétique. D’autres vaisseaux surgirent ensuite, appartenant à la flotte d’Aslund, de Pol, se déployant rapidement en formation d’attaque – pas de défense.

L’ondulation dans les dispositifs de Cetaganda équivalait à un cri silencieux de détresse. Un vaisseau cetagandan armé d’un imploseur piqua courageusement sur le Prince Serg et fut coupé en deux, découvrant que les lances à implosion du Serg avaient une portée améliorée triple de celle des cetagandanes. Ce fut le premier coup fatal.

Le deuxième fut frappé par la liaison radio : un appel aux agresseurs cetagandans de se rendre sous peine de destruction au nom de la flotte de l’Alliance de Hegen, de l’empereur Grégor Vorbarra et de l’amiral comte Aral Vorkosigan, commandant conjointement.

Pendant un instant, Miles crut que Tung allait s’évanouir. L’Eurasien inhala de façon inquiétante, puis s’exclama d’une voix rugissante de ravissement :

— Aral Vorkosigan ! Ici ? Sacrediable ! (Puis dans un chuchotement juste un peu plus discret :) Comment l’a-t-on incité à sortir de sa retraite ? Peut-être que j’arriverai à le rencontrer !

Tung, un mordu d’histoire militaire, était l’un des admirateurs les plus fanatiques du père de Miles, ce dernier s’en souvint, et à moins qu’on ne le fasse taire, il pouvait réciter jusqu’à plus soif tous les détails connus des premières campagnes de l’amiral barrayaran.

— Je verrai ce que je peux arranger, promit Miles.

— Si tu peux arranger ça, fiston…

Avec effort, Tung détourna son esprit de l’histoire militaire dont l’étude était son dada, et se remit à son travail (étroitement apparenté, il est vrai), qui était de la faire.

Les vaisseaux cetagandans se débandaient, d’abord dans la panique un par un, puis en groupements plus coordonnés, s’efforçant d’organiser une retraite convenablement couverte. Le Prince Serg et son escadre de soutien, sans perdre une milliseconde, suivirent instantanément en attaquant et en semant le désordre dans le déploiement de protection des vaisseaux ennemis, harcelant ceux qui se trouvaient ainsi isolés à la traîne. Dans les heures qui suivirent, la retraite devint une véritable déroute quand les vaisseaux vervani, veillant sur leurs hautes orbitales planétaires, encouragés, finirent par quitter leur orbite et se joignirent à l’attaque. La réserve vervani fut impitoyable, aiguillonnée par la terreur pour ses foyers que les Cetagandans lui avaient instillée.

La corvée de nettoyage, les affolants problèmes posés par les dommages causés aux contrôles, les sauvetages des hommes étaient si absorbants qu’il fallut à Miles ces quelques heures pour se rendre compte peu à peu que la guerre était terminée pour la flotte dendarii. Ils avaient fait leur travail.

17

Avant de quitter la salle de tactique, Miles questionna prudemment la sécurité du Triomphe pour savoir où en était la récupération des prisonniers évadés. Restaient manquants, et sans que l’on ait encore de renseignements sur leur sort : Oser, le capitaine du Pèlerin et deux autres officiers oserans loyaux, le commandant Cavilo et le général Metzov.

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