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Ben Winters: J-77

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Ben Winters J-77

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La fin du monde ? Elle arrive. Dans 77 jours maintenant, l’astéroïde 2011GV va s’écraser sur Terre, quelque part en Indonésie, et c’en sera fini de l’humanité. Plutôt que de se lever le matin pour aller travailler, les Américains – et on les comprend – préfèrent concrétiser d’urgence la liste des 100 choses qu’ils ont envie de faire avant de mourir avec, évidemment, tous les excès que cela implique. Pourtant, il reste un homme, un seul, bien décidé à faire son job jusqu’au bout : Hank Palace, ancien flic de la police de Concord. Déterminé à retrouver Brett Cavatone, le mari de sa nounou qui a mystérieusement disparu, Hank se lance dans une quête désespérée, et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Mais son courage et sa droiture suffiront-ils ? Car rien n’est simple dans un pays livré à une anarchie sans nom, où l’électricité et les télécommunications ont rendu l’âme, où les pillages sont quotidiens et qui pourtant est synonyme de terre promise pour des milliers de personnes qui tentent de fuir la zone d’impact…

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— Vous n’avez pas envie de savoir où j’ai dégoté la carriole et le cheval ?

— Je veux savoir comment vous m’avez retrouvé.

— Très bien. » Il descend de son attelage et jette le chapeau sur le porche, comme s’il avait toujours vécu là et se réjouissait d’être de retour chez lui. « Mais l’histoire du cheval est meilleure.

— Gardez vos mains là où je peux les voir, je vous prie. »

Il soupire et s’exécute, et je lui redemande de me raconter l’histoire. Il s’avère qu’il y a un jeune agent nommé Martin Porter, qui faisait partie du projet Furman à l’origine, mais qui s’est désisté lorsqu’il a rencontré une fille à Concord, laquelle voulait partir pour Atlantic City parce qu’elle avait entendu parler d’une fiesta à tout casser qui se déroulait là-bas pendant le compte à rebours. Cortez connaissait Porter parce que Porter possédait une réserve de métamphétamine qu’il avait sortie de la salle des scellés avant que celle-ci soit fermée, et que Cortez l’avait vendue pour lui, fifty-fifty, à des junkies vivant sur les plages de Seacoast.

« Enfin bref, la semaine dernière, Ellen et moi avons eu un petit désaccord. » Il agite la main gauche, et j’entrevois à la lueur de nos lampes torches que le bout de son index a été arraché par une balle. « Et elle a eu la garde de notre Office Depot. Porter me parle alors de cette planque de fous dans les bois, réservée aux flics. Et moi je me suis dit : eh, mais j’en connais un, de flic ! »

J’en suis encore à essayer de formuler une réaction à cette histoire lorsque Capshaw fait un retour spectaculaire, surgissant des bois, l’arme pointée sur Cortez.

« Les mains en l’air ! aboie-t-il.

— Elles y sont déjà.

— Vous êtes qui, vous ?

— C’est bon, Capshaw, dis-je. Je le connais.

— J’ai pas demandé si tu le connaissais, je demande qui c’est ! »

Capshaw est remonté comme un coucou, prêt à procéder à une arrestation, construire une prison et jeter Cortez dedans. Il est tout rouge, le regard furieux, les sourcils froncés sous sa coupe en brosse. Il porte un tee-shirt souvenir d’une fiesta étudiante à Cancún en 1997.

« Dites, vous savez ce que vous devriez faire ? dit doucement Cortez. Vous devriez fouiller la carriole. »

Capshaw me regarde et je hausse les épaules. Il redescend alors les marches et se met à fouiller dans l’attelage, pendant que le cheval frissonne et remue la tête dans le noir. Je garde le SIG Sauer pointé sur Cortez, qui s’adosse au garde-corps du porche, les mains toujours levées, l’air détaché, en fredonnant « Golden Years » de David Bowie.

« Des vêtements. Des effets personnels », rapporte Capshaw en refermant une trousse de toilette noire et en la jetant par terre.

« Il y a des pilules d’ecstasy, aussi, me confie Cortez, à moi seulement. Il a loupé les pilules d’ecstasy.

— De l’huile de friture, ajoute Capshaw en sortant deux gros bidons en plastique. Un carton plein de magazines.

— Pornos, pour l’essentiel.

— Des couteaux. Encore des couteaux. »

Cortez me regarde, me fait un clin d’œil.

« Il va trouver dans une seconde. Ne vous en faites pas. »

Et à ce moment-là je l’entends, ce bruit épais de frottement, de roulement, un peu comme des pièces remuées dans un gobelet de casino. Ou des graines. Mon Dieu. Des graines s’entrechoquant dans un emballage en aluminium. Mon cœur me remonte dans la gorge, et Cortez sourit largement. Capshaw relève la tête, stupéfait, et tripote le gros sac entre ses mains, appréciant son poids, comme s’il s’agissait d’un trésor de pirates.

« Du café en grains, dit-il, bouche bée, en contemplant Cortez qui baisse ses mains.

— Plusieurs centaines de livres. Vous voulez savoir comment j’ai mis la main dessus ? Une histoire formidable. »

* * *

La plupart des jours, alors que nous approchons de la fin, je suis satisfait simplement d’exister, d’attendre, d’apprécier la compagnie de McConnell et des autres, d’accomplir consciencieusement la part des tâches ménagères qui m’incombe. Et mes efforts pour rester concentré sur le présent immédiat, ou sur ce qui requiert mon attention pour tout de suite, sont généralement couronnés de succès – mes efforts pour ne pas voir trop loin dans le futur, ni trop loin dans le passé

Nous avons tendance à nous lever tôt, McConnell et moi, et maintenant c’est le matin, et nous buvons du café dans la cuisine en regardant par la fenêtre le terrain, les dépendances et, au-delà, l’étendue boisée du monde. Le tout début de l’automne dans l’ouest du Massachusetts, les arbres verts commençant à dorer sur les bords. Trish, assise de l’autre côté de la table, me raconte une conversation agaçante qu’elle a eue hier soir avec l’agent Michelson.

« Je te jure, j’étais sur le point de l’étrangler. Parce qu’en gros, ce qu’il disait, c’est qu’au point où on en est, si la collision n’arrivait pas – s’il se produisait un événement de dernière minute, tu sais, je ne sais quel scénario dingue, du genre finalement ils arrivent à l’exploser, ou à le détourner, ou les religieux le font disparaître avec leurs prières –, Michelson dit que ce serait peut-être pire , au point où on en est. Tu sais comment il est, un peu ricanant, si bien qu’on ne sait jamais s’il est sérieux ou non, mais il nous sort : à ce stade, imaginez un peu le retour à la normale. Avec tout ce qui a été foutu en l’air, vous imaginez, tout recommencer ? Et je lui ai juste dit, écoute, tout vaut mieux que la mort. Tout .

— Oui », dis-je, bien sûr, et j’opine du chef, en essayant d’être attentif, mais à l’instant où Trish a prononcé le mot « détourner », je n’ai plus pensé qu’à Nico, je pense à elle à m’en faire exploser le crâne : les souvenirs de ma sœur évaporée sont soudain partout dans ma tête, tels des envahisseurs traversant par une frontière. Elle a quatre ans et tombe de vélo ; elle a six ans et observe, perdue, la foule pendant les enterrements ; elle a dix ans, elle est ivre et je lui dis que je ne l’abandonnerai jamais. L’hélicoptère descend pour me sortir de la tour à Fort Riley, et Nico applique des tas de serviettes blanches sur mon bras déchiqueté en me disant que ça va aller.

« Hank ? »

Je bats des paupières.

« Oui ?

— Est-ce que ça va ? »

En cinq minutes, je raconte tout à Trish. La friperie Next Time Around , Jordan, la blonde et l’ordinateur, l’hélicoptère. À sa demande, je lui donne les détails dont je me souviens sur le plan en lui-même : la déflagration nucléaire à distance et la « réaction retour » ; un changement de vélocité suffisant avec des éjectas limités ; le mystérieux savant qui moisit dans une prison militaire.

« Doux Jésus, souffle Trish.

— Je sais. »

Mon café a refroidi. Je me lève pour m’en servir un autre.

« Si le gouvernement est tellement décidé à empêcher ça, pourquoi n’a-t-il pas buté le savant ?

— Tiens, excellente question ! Je ne l’ai même pas posée, celle-là.

— Écoute, il faut que tu arrêtes de t’en vouloir, murmure Trish. Si elle était décidée à partir, elle était décidée. »

McConnell a déjà croisé Nico au fil des années – lors de fêtes de flics, au commissariat central, chez moi deux ou trois fois.

« Décidée à quoi ? demande Kelly, qui entre dans la pièce avec sa chemise de nuit Belle au bois dormant .

— À rien, chérie. »

La petite tient la main de son frère, et elle ouvre le placard pour en sortir des gâteaux fourrés à la crème. Police House obéit à un principe très strict : les enfants mangent absolument tout ce qu’ils veulent.

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