• Пожаловаться

Ben Winters: J-77

Здесь есть возможность читать онлайн «Ben Winters: J-77» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2016, ISBN: 978-2-37056-042-1, издательство: Super 8 Éditions, категория: Фантастика и фэнтези / Триллер / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Ben Winters J-77

J-77: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «J-77»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

La fin du monde ? Elle arrive. Dans 77 jours maintenant, l’astéroïde 2011GV va s’écraser sur Terre, quelque part en Indonésie, et c’en sera fini de l’humanité. Plutôt que de se lever le matin pour aller travailler, les Américains – et on les comprend – préfèrent concrétiser d’urgence la liste des 100 choses qu’ils ont envie de faire avant de mourir avec, évidemment, tous les excès que cela implique. Pourtant, il reste un homme, un seul, bien décidé à faire son job jusqu’au bout : Hank Palace, ancien flic de la police de Concord. Déterminé à retrouver Brett Cavatone, le mari de sa nounou qui a mystérieusement disparu, Hank se lance dans une quête désespérée, et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Mais son courage et sa droiture suffiront-ils ? Car rien n’est simple dans un pays livré à une anarchie sans nom, où l’électricité et les télécommunications ont rendu l’âme, où les pillages sont quotidiens et qui pourtant est synonyme de terre promise pour des milliers de personnes qui tentent de fuir la zone d’impact…

Ben Winters: другие книги автора


Кто написал J-77? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

J-77 — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «J-77», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

« Restez, dis-je à Rocky, mais laissez Martha partir. »

Il secoue la tête, commence à parler, mais elle l’interrompt, soudain maîtresse d’elle-même, calme, claire comme le jour.

« Partir ? demande-t-elle. Mais partir où ? »

À cela, je ne peux pas répondre. Cette femme attend un convoi de voitures imaginaire dans un parking en feu, et je n’ai pas mieux à lui proposer. Je ne peux pas disposer des places dans la colonie de flics de McConnell ; ma propre maison a été entièrement rasée ; les lieux sûrs se font rares dans le monde.

« Merci, Henry », me dit Martha Milano.

Et elle s’avance pour m’embrasser doucement, laissant un soupçon de brillant à lèvres sur ma joue. Je porte deux doigts à cet endroit. Elle est déjà partie, agrippée au bras solide de son père qui la ramène à l’intérieur pour attendre le Jugement dernier.

« Désolé, McConnell, dis-je en replongeant dans l’Impala. Allons-y. »

Épilogue

Dimanche 12 août

Ascension droite : 19 03 39,1

Déclinaison : – 68 41 32

Élongation : 122,0

Delta : 0,677 ua

Nous l’entendons tous en même temps. C’est le milieu de la nuit et la maison s’anime soudain, les flics sortant du lit ou bondissant de leurs matelas par terre, fourrant des flingues dans la ceinture de leur pantalon de pyjama ; des flics passant la tête dans les chambres pleines d’enfants, chuchotant : « Restez où vous êtes, les petits » et « Tout va bien » ; des flics sortant en trombe pour prêter main-forte aux agents Melwyn et Kelly, qui sont de garde ce soir et ont donc l’autorité sur la scène, conformément aux règles que nous avons adoptées d’un commun accord.

« Trois coups nets », nous aboie Melwyn, qui tient son Beretta contre son torse. Sur la propriété ou juste de l’autre côté de la limite du terrain.

« Il nous faut une équipe pour la pelouse sud », dit Kelly, et tout le monde l’approuve, l’arme au poing.

Je porte un SIG Sauer, maintenant, le même que celui que j’avais en patrouille. Nous formons des petits groupes, nous préparant à agir, lorsque nous entendons de nouveau le bruit : un grincement sonore, comme du métal sur du métal, et tout le monde se fige.

« C’est un ours, dit l’agent McConnell.

— Quoi ? souffle Melwyn.

— Regardez. Un ours. »

Nous levons tous la tête, notre groupe, une troupe de flics devant une maison dans les bois de l’ouest du Massachusetts, à 2 ou 3 heures du matin, inondés d’adrénaline et contemplant l’énorme et lourde silhouette d’un ours brun qui gratte à la porte de la cabane de jardin. Celle-ci est un de nos quatre bâtiments externes, et elle renferme des pains de glace, des barriques de sucre roux, des flocons d’avoine salés et séchés, des boîtes de comprimés d’iode et de chlore, des réserves de munitions et quelques livres d’explosifs. Pendant une seconde, nous restons paralysés, émerveillés par la robuste majesté de l’animal. Celui-ci finit par abandonner la cabane cadenassée et traverser la prairie au galop pour rejoindre les fourrés environnants.

« Magnifique, chuchote McConnell.

— Oui, dis-je.

— On devrait l’abattre », propose Capshaw.

Personne n’a d’objection. L’agent Capshaw, gros homme à face de lune et coupe en brosse, descend les marches du porche. Il épaule son fusil dans le clair de lune et abat la bête de deux coups rapides, pop, pop.

Des volontaires sont demandés pour l’écorcher et le parer, et nous autres rentrons nous coucher.

* * *

Ce que les enfants ont décidé, après bien des débats et discussions, est que notre vaste grange reconvertie en maison de campagne de Furman, presque à la lisière de l’État de New York, devrait simplement s’appeler Police House . Quelques-uns parmi les plus petits ont passé tout un après-midi, en secret, dans la zone de la grange réservée aux travaux manuels, à peindre un panneau complexe, avec des insignes dorés, des arcs-en-ciel, des symboles de la paix et des étoiles argentées et pailletées. Parmi les adultes, il y a eu des débats intenses, à la grande consternation des enfants, pour savoir s’il était sage d’accrocher un panneau si coloré au-dessus de la porte de ce qui est, fondamentalement, une planque. Je comptais parmi les plus sceptiques. Trish, cependant, a pris le parti des petits : « De toute manière, on n’est pas très discrets, si ? »

Nous sommes dix-neuf adultes et treize enfants en tout : tous policiers, femmes policiers, conjoints de policiers, fils et filles de policiers, plus trois membres du personnel, y compris Rod Duncan, l’ancien taulard saturnien mais très aimé qui a fait le ménage pendant vingt-neuf ans au commissariat central. Les âges des enfants s’échelonnent entre quatre et quinze ans. Houdini n’est pas le seul animal de compagnie : il y a deux chats, un lapin, et un bocal à poissons rouges qui a été transporté au prix de grands efforts par les jumeaux de neuf ans de l’agent Roger, en équilibre sur des genoux pendant presque quatre cents kilomètres de voyage à 145 km/h. Il y a aussi un énorme chien de berger nommé Alexander, propriété d’une femme agent de patrouille qui s’appelle Rhonda Carstairs. Alexander est une vieille créature hirsute aux yeux larmoyants et à l’air largué qui, bien qu’elle fasse dix fois sa taille, suit Houdini partout, tel un aide de camp.

En dépit des vastes proportions de la maison et de ses dépendances, l’espace pour dormir est limité, et à un certain moment l’agent McConnell et moi avons pris la décision commune, après très peu de discussion, de partager une chambre. Je lui ai demandé s’il lui semblait important d’en parler à Kelly et Robbi, peut-être leur offrir une explication délicate à ce changement, mais elle m’a dit non.

« Ils t’aiment bien, m’a-t-elle dit. Ils sont heureux.

— Et toi, tu es heureuse ?

— Eh bien, merde. » Elle s’est appuyée contre mon torse. « Je ne le serai jamais plus que ça. Et le bras, comment ça va ?

— Je le sens. Quand je le touche, ça fait mal.

— Alors arrête de le toucher. »

C’était un samedi matin, samedi dernier – nous étions sur le porche, en train de regarder Kelly et deux autres gamins improviser un défilé de parade, avec Houdini jappant à leurs côtés comme s’il se prenait pour un garde du corps des services secrets, et Alexander se traînant derrière.

* * *

L’agent Capshaw et moi sommes de garde, et il est dans les bois juste au-delà de la limite de la propriété, en train d’uriner contre un arbre, lorsqu’un véhicule avançant lentement apparaît au loin, un faible lumignon flottant à une centaine de mètres, sur l’étroit chemin qui mène à la maison.

Je me lève. Houdini se lève aussi, la queue à angle droit, la truffe pointée vers la route, vers le bruit étrange que nous entendons à présent : le clip-clop caractéristique des sabots d’un cheval.

Houdini aboie.

« Je sais, dis-je. Je sais. »

C’est une carriole, qui surgit de la nuit comme des pages d’un conte de fées, ses roues crissant sur le gravier du chemin en direction de la maison. Et, juché sur le siège, j’aperçois Cortez, souriant, en chapeau haut de forme, tenant les rênes d’une jument pommelée avec un air débonnaire des plus comiques.

« Bien le bonjour, l’ami ! » me lance-t-il en arrêtant le cheval pour soulever son chapeau.

Ses cheveux sont attachés en catogan lâche, comme ceux de Thomas Jefferson.

Je garde mon fusil levé.

« Comment m’avez-vous trouvé ici ?

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «J-77»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «J-77» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Jean Echenoz: Je m’en vais
Je m’en vais
Jean Echenoz
Jean-Marie Le Clézio: Fièvre
Fièvre
Jean-Marie Le Clézio
Ben Winters: Impact
Impact
Ben Winters
Жан-Мари Леклезио: Alma
Alma
Жан-Мари Леклезио
Отзывы о книге «J-77»

Обсуждение, отзывы о книге «J-77» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.