Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Dis, vieux, tu veux encore me faire dégobiller ? demanda Benny d’un ton querelleur et fatigué.

— Et tu crois que c’est ce qui arrive ici ? voulut savoir Norrie. La pollution de l’environnement ? »

Joe eut un coup d’œil pour le ciel jaunâtre. Puis il montra la direction du sud-ouest où le résidu noirâtre laissé par l’explosion des missiles décolorait l’air. Le barbouillage s’élevait à près d’une centaine de mètres et s’étalait sur près de deux kilomètres en largeur.

« D’accord, concéda-t-elle, mais le cas est différent ici. Non ? »

Joe haussa les épaules.

« Si jamais on risque de ressentir un puissant besoin de se suicider, on ferait peut-être mieux de repartir, suggéra Benny. J’ai encore beaucoup de choses à vivre. J’ai toujours pas réussi à battre Warhammer .

— Si on essayait le compteur Geiger sur l’ours ? » proposa Norrie.

Norrie braqua l’embout du détecteur vers la carcasse de l’animal. L’aiguille ne bougea pas.

Norrie dirigea alors le compteur Geiger vers l’est. Devant eux, la route sortait d’une large bande de chênes noirs, les arbres qui donnaient son nom à la hauteur. Une fois qu’ils les auraient dépassés, Joe pensa qu’ils verraient le verger de pommiers, sur le sommet.

« Allons au moins jusque de l’autre côté des arbres, dit Norrie. On fera un relevé et, si ça monte toujours, nous retournerons en ville et nous raconterons tout ça au Dr Everett ou à ce type, Barbara, ou aux deux. Qu’ils se débrouillent avec, ensuite. »

Benny paraissait dubitatif. « Je me demande…

— Si nous sentons quelque chose de bizarre, on fera tout de suite demi-tour, dit Joe.

— Si ça doit être utile, nous devrions le faire, insista Norrie. Je veux pouvoir quitter Chester’s Mill avant d’être atteinte de folie carcérale. »

Elle sourit pour montrer qu’elle plaisantait, mais cela n’avait rien d’une plaisanterie et Joe ne prit pas cela pour tel. Les gens blaguaient sur Chester’s Mill, qui n’était qu’un petit patelin paumé — raison pour laquelle la chanson de James McMurtry y avait été si populaire — et c’était vrai, techniquement, que la bourgade était un trou. Sur un plan démographique, aussi. On n’y comptait qu’un seul Américain d’origine asiatique, une femme, Pamela Chen, qui donnait parfois un coup de main à Lissa Jamieson, à la bibliothèque, et il n’y avait aucune famille afro-américaine depuis le départ des Laverty pour Auburn. On n’y trouvait pas de McDonald’s, et encore moins de Starbucks, et l’unique cinéma avait fermé ses portes. Mais jusqu’à aujourd’hui, Chester’s Mill avait fait à Joe l’impression d’être vaste, géographiquement, avec beaucoup de place pour se balader. Stupéfiant, à quel point le territoire s’était rétréci, une fois qu’il eut pris conscience qu’il ne pouvait plus monter dans la voiture familiale avec son père et sa mère pour aller à Lewiston manger des praires frites et des crèmes glacées au Yoder’s. Et si la ville ne manquait pas de ressources, elles n’allaient pas durer éternellement.

« Tu as raison, dit-il. C’est important. Ça vaut la peine de prendre le risque. C’est ce que je crois, en tout cas. Tu peux rester ici si tu veux, Benny. Cette partie de la mission est strictement volontaire.

— Non, je vous accompagne. Si jamais je vous laissais y aller sans moi, vous me ravaleriez au rang des tarés.

— Tu y es déjà ! » crièrent Joe et Norrie à l’unisson, avant d’échanger un regard et d’éclater de rire.

17

« C’est ça, pleure ! »

La voix venait de loin. Barbie fit un effort pour s’en approcher, mais ses yeux le brûlaient et c’était dur de les ouvrir.

« T’as plein de raison de pleurer ! »

La personne qui faisait ces déclarations donnait l’impression qu’elle-même pleurait. Et c’était une voix qu’il connaissait. Barbie essaya de voir, mais il avait les paupières gonflées et lourdes. Ses globes oculaires, dessous, battaient au rythme de son cœur. Il avait les sinus tellement pleins que ses oreilles craquaient dès qu’il déglutissait.

« Pourquoi tu l’as tuée ? Pourquoi tu as tué ma petite ? »

Y’a un fils de pute qui m’a balancé du gaz lacrymo. Denton ? Non, Randolph.

Barbie réussit à ouvrir les yeux en repoussant de la paume de la main ses sourcils vers le haut. Il vit Andy Sanders qui se tenait devant la grille, les larmes roulant sur ses joues. Et qu’est-ce que voyait Sanders ? Un type dans sa cellule, et un type dans une cellule a toujours l’air coupable.

« Elle était tout ce que j’avais ! » hurla Sanders.

Randolph se tenait à côté de lui, l’air embarrassé et se dandinant comme un gamin qui depuis vingt minutes a envie d’aller aux toilettes. En dépit de ses yeux qui le brûlaient et de ses sinus encombrés, Barbie ne fut pas surpris que Randolph eût laissé Sanders descendre ici. Non pas parce que Sanders était le premier conseiller de la ville, mais parce que Peter Randolph avait toujours le plus grand mal à dire non.

« Écoute, Andy, ça suffit comme ça. Tu voulais le voir et j’ai accepté, même si ça ne me paraissait pas une bonne idée. Il est sous les verrous et il paiera pour ce qu’il a fait. Alors remontons, maintenant, et tu vas prendre une tasse de… »

Andy saisit Randolph par le devant de son uniforme. Il mesurait dix centimètres de moins, mais c’était Randolph qui paraissait avoir peur. Barbie le comprenait. Certes, il voyait le monde à travers un épais film rougeâtre, mais la fureur d’Andy était des plus manifestes.

« Donne-moi ton arme ! Un procès, c’est trop beau pour lui ! Il serait capable de s’en tirer, en plus ! Il a des amis haut placés, c’est Jim qui l’a dit ! Je veux avoir satisfaction ! Je mérite d’avoir satisfaction , alors donne-moi ton arme ! »

Barbie ne pensait pas que l’envie de plaire à Andy pousserait Randolph à aller jusqu’à lui prêter son arme pour que le premier conseiller puisse l’abattre dans sa cellule comme un rat tombé dans un tonneau d’eau de pluie, mais il n’en était pas entièrement certain ; une autre raison que le simple désir de lui faire plaisir pouvait avoir poussé Randolph a amener Sanders au sous-sol, et à l’amener seul.

Il se mit laborieusement debout. « Mr Sanders… » Un peu de gaz lacrymogène était entré dans sa bouche. Il avait la langue et la gorge enflées, et sa voix était réduite à un nasillement peu convaincant. « Je n’ai pas tué votre fille, monsieur. Je n’ai tué personne. Si vous y réfléchissez, vous comprendrez que votre ami Jim Rennie a besoin d’un bouc émissaire et que je suis le mieux placé… »

Mais Andy n’était pas en état de penser à quoi que ce fût. Il porta une main au holster de Randolph et voulut en arracher le Glock. Inquiet, Randolph se débattit pour l’en empêcher.

À ce moment-là, une silhouette corpulente descendit l’escalier, se déplaçant avec une certaine grâce en dépit de sa masse. « Andy ! fit la voix tonnante de Big Jim. Andy, mon vieux, viens ici ! »

Il ouvrit les bras. Andy cessa de se préoccuper de l’arme de Randolph et se précipita sur lui comme un enfant en larmes dans les bras de son papa. Et Big Jim le prit dans les siens.

« Je veux un pétard ! » bafouilla Andy, levant son visage strié de larmes et gluant de morve vers celui de Big Jim. « Donne-moi une arme, Jim ! maintenant ! Tout de suite ! Je veux le tuer pour ce qu’il a fait ! C’est mon droit de père ! Il a tué ma petite fille !

— Et peut-être pas seulement elle, dit Big Jim. Pas seulement Angie, Lester et la pauvre Brenda aussi. »

Voilà qui arrêta le flot de paroles. Andy se mit à regarder fixement le visage massif de Big Jim, stupéfait. Fasciné.

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