Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Oui, monsieur. Très bien.

— On va pas s’amuser à lui réciter ses droits, hein ?

— Non, monsieur.

— Et grâce au Dôme, impossible de le confier au shérif du comté. » Randolph regarda Junior avec un air entendu. « Mon gars, ce sera un exemple parfait que ce qui se passe à Vegas se règle à Vegas. »

Junior ne savait trop s’il devait répondre oui ou non, car il n’avait aucune idée de ce que racontait le crétin derrière le bureau.

Randolph le fixa encore quelques instants de son regard entendu, comme pour s’assurer qu’ils s’étaient bien compris, puis frappa dans ses mains et se leva. « Rentre chez toi, Junior. Tu dois être un peu secoué.

— Oui, monsieur, c’est vrai. Et je crois que je vais faire ça. Me reposer.

— J’avais un paquet de cigarettes dans ma poche quand le révérend Coggins m’a plongé dans l’eau », reprit Randolph, sur le ton de celui qui évoque un souvenir cher à son cœur. Il passa un bras autour des épaules de Junior pour l’accompagner jusqu’à la porte. Junior conserva son attitude respectueuse et attentive, mais se sentit pris de l’envie de hurler sous le poids de ce bras. Comme s’il avait une cravate de chair. « Elles étaient fichues, bien sûr. Et je n’ai jamais acheté un autre paquet depuis. Sauvé de l’herbe du diable par le Fils de Dieu. Ce n’est pas la grâce, ça ?

— Stupéfiant, réussit à répondre Junior.

— Brenda et Angie vont retenir l’attention générale, et c’est normal — une des personnalités de la ville et une jeune fille avec toute sa vie devant elle. Mais le révérend Coggins avait ses fans, lui aussi. Sans parler d’une congrégation importante et aimante. »

Du coin de l’œil, Junior apercevait les doigts au bout carré de Randolph qui pendaient sur son épaule. Il se demanda ce que ferait le chef s’il se tournait brusquement et les mordait. S’il lui arrachait un doigt avec les dents, d’un seul coup, peut-être, et le recrachait par terre.

« N’oubliez pas Dodee. » Il ignorait ce qui l’avait poussé à répondre cela, mais ce fut efficace. La main de Randolph quitta son épaule. L’homme paraissait sidéré. Junior comprit qu’il avait oublié Dodee.

« Oh, mon Dieu, Dodee ! dit Randolph. Dodee ! Est-ce qu’on a appelé Andy pour le lui dire ?

— Je ne sais pas, monsieur.

— Ton père l’aura fait certainement ?

— Il a été terriblement occupé. »

Ce qui était vrai. Big Jim était chez lui, dans son bureau, et mettait au point le discours qu’il comptait faire lors de la réunion municipale de jeudi. Le discours qui devait précéder le vote des citoyens de Chester’s Mill pour savoir si l’on confiait des pouvoirs exceptionnels aux conseillers pour la durée de la crise.

« Il vaut mieux que je l’appelle, dit Randolph. Mais je devrais peut-être prier pour elle, d’abord. Veux-tu t’agenouiller avec moi, mon gars ? »

Junior aurait encore mieux aimé verser de l’essence sur son pantalon et se faire griller les couilles, mais il ne dit rien. « Adresse-toi à Dieu dans la solitude de ton cœur et tu entendras sa réponse plus clairement . C’est ce que mon père dit toujours.

— Très bien, mon gars. C’est un bon conseil. »

Avant que Randolph ait le temps d’ajouter autre chose, Junior sortit du bureau, puis du poste de police. Il rentra chez lui à pied, profondément plongé dans ses pensées, déplorant la perte de ses petites copines et se demandant s’il ne pourrait pas s’en trouver une autre. Plus d’une, peut-être.

Sous le Dôme, toutes sortes de choses devenaient possibles.

15

Pete Randolph essaya bien de prier, mais trop de choses se bousculaient dans sa tête. Sans compter que le Seigneur aide ceux qui s’aident. Il ne pensait pas que l’adage se trouvait dans la Bible, mais il n’en était pas moins vrai. Il appela Andy Sanders lorsqu’il eut trouvé le numéro de son portable sur la liste punaisée au panneau d’information, sur le mur. Il espéra qu’il ne répondrait pas, mais le premier conseiller décrocha dès la première sonnerie — c’était toujours comme ça, non ?

« Bonjour, Andy. Le chef Randolph à l’appareil. J’ai une très mauvaise nouvelle à t’annoncer, mon ami. Il vaudrait mieux que tu t’assoies. »

Ce fut une conversation difficile. Ahurissante, même. Quand elle fut terminée, Randolph se retrouva en train de pianoter sur son bureau. Il se prit à penser — une fois de plus — que si c’était Duke Perkins qui se trouvait assis là, et non lui, il n’en serait pas entièrement désolé. Il n’en serait peut-être même pas désolé du tout. Le boulot s’avérait beaucoup plus dur et sordide que ce qu’il avait imaginé. Bénéficier d’un bureau privé était une bien maigre compensation. Même la voiture verte du chef n’y suffisait pas. Chaque fois qu’il se glissait derrière le volant et que son cul se posait dans le creux formé par l’arrière-train considérable de Duke, la même pensée lui venait à l’esprit : T’es pas à la hauteur .

Sanders allait venir ici. Il tenait à affronter Barbara. Randolph avait essayé de l’en dissuader, mais Andy avait coupé la communication pendant que Pete lui expliquait qu’il vaudrait peut-être mieux se mettre à genoux et prier pour les âmes de sa femme et de sa fille — sans parler de demander la force de porter sa croix.

Randolph soupira et composa un autre numéro. Au bout de deux sonneries, la voix d’un Big Jim mal luné aboya : « Quoi ? Quoi ?

— C’est moi, Jim. Je sais que tu détestes qu’on te dérange quand tu travailles, mais est-ce que tu pourrais venir ici ? J’ai besoin d’un coup de main. »

16

Les trois enfants se tenaient dans la lumière de l’après-midi, une lumière faisant l’effet d’être sans profondeur, sous un ciel qui avait à présent une nuance incontestablement jaunâtre, et regardaient le cadavre de l’ours gisant au pied du poteau téléphonique. Le poteau penchait de travers. À un bon mètre du sol, le bois traité était fendillé et éclaboussé de sang. D’une autre matière aussi. Blanche, sans doute un fragment d’os, pensa Joe. Et d’une substance molle grisâtre qui ne pouvait être que de la cer…

Il se tourna, essayant de contrôler sa nausée. Il y était presque arrivé, mais alors Benny dégueula — avec un répugnant gargouillis humide —, imité aussitôt par Norrie. Joe ne put que rejoindre le club.

Quand ils se sentirent mieux, Joe enleva son sac à dos, prit les bouteilles de Snapple et les répartit entre eux. Il se servit de la première gorgée de la sienne pour se rincer la bouche, puis la recracha. Norrie et Benny firent de même. Et ils burent. Le thé sucré était chaud, mais Joe ne lui trouva pas moins un goût céleste quand il coula dans sa gorge irritée.

Norrie avança de deux pas prudents en direction de la masse noire au pied du poteau, sous son essaim de mouches bourdonnantes. « Comme les cerfs, dit-elle. Le pauvre vieux n’avait pas de berge de rivière d’où sauter, alors il s’est fait éclater la tête sur un poteau de téléphone.

— Il avait peut-être la rage, dit Benny d’une petite voix. Et les cerfs aussi. »

C’était techniquement possible, se dit Joe, mais il n’y croyait pas. « J’ai déjà pensé à ces histoires de suicide. » Il détestait le tremblement qu’il entendait dans sa voix, mais il ne pouvait rien y faire, apparemment. « Cela arrive aux baleines et aux dauphins — ils s’échouent tout seuls sur les plages, je l’ai vu à la télé. Et mon père dit que les pieuvres le font aussi.

— Les poulpes, dit Norrie.

— C’est pareil. Mon père dit que lorsque leur milieu devient trop pollué, elles dévorent leurs propres tentacules.

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