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Ira Levin: Les femmes de Stepford

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Ira Levin Les femmes de Stepford

Les femmes de Stepford: краткое содержание, описание и аннотация

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Qu’arrive-t-il donc aux femmes de Stepford ? Ont-elles toujours été, ainsi que Joanna les découvre en s’installant dans cette ville, de véri­tables poupées ménagères, unique­ment préoccupées de l’entretien de leur intérieur et du bien-être de leur famille ? Ou alors sont-elles victimes de leurs maris, tous adhé­rents du « Club des Hommes », qui se réunissent chaque soir dans une vieille bâtisse mystérieuse interdite aux femmes ? Joanna, jeune femme libérée, tente de créer une association féminine avec l’aide de deux amies nouvel­lement arrivées. Quelle n’est pas sa stupeur de les voir, à leur tour, se transformer brusquement, à l’image des autres femmes de la ville. L’inquiétude devient rapidement de l’angoisse… Joanna réussira-t-elle à échapper à ce cauchemar aseptisé, clima­tisé, lot quotidien des femmes de Stepford ?

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Nettie apporta les tartes à la framboise et le café. Bobbie grommela. Charmaine leur évoqua d’autres pervers de sa connaissance. Ancien mannequin, elle avait rencontré beaucoup d’hommes.

Elle les raccompagna jusqu’à la voiture de Bobbie.

— Maintenant, écoutez-moi bien, dit-elle à Joanna. Je sais que vous êtes très occupée, mais dès que vous aurez un moment de libre, et quelle que soit l’heure, rappliquez. Inutile de téléphoner avant. Je suis presque tout le temps à la maison.

— Merci, comptez sur moi, dit Joanna. Et merci pour aujourd’hui. C’était fantastique.

— Venez quand vous voudrez, ajouta Charmaine en se penchant à leur portière. Écoutez-moi, toutes les deux. Vous voulez me faire plaisir ? Lisez alors les Signes solaires , par Linda Goodman. Vous verrez à quel point elle est dans le vrai. Vous le trouverez en livre de poche au drugstore du centre. Vous l’achèterez, promis ?

Elles se laissèrent convaincre et, en souriant, jurèrent de lire l’ouvrage.

— Ciao ! cria Charmaine, avec un signe de la main, en les suivant des yeux.

— Eh bien, dit Bobbie qui abordait le virage de l’allée. Si elle ne représente pas une recrue pour le M.N.F., elle n’est du moins pas amoureuse de son aspirateur.

— Elle est drôlement belle, dit Joanna.

— Je te l’avais dit. Même pour ce bled, où l’on doit reconnaître que si les nanas raisonnent mal, au moins elles présentent bien. Nom de Dieu, quel couple ! Que dis-tu de cette histoire de combinaison ? Et dire que j’accusais Dave d’avoir des idées tordues.

— Dave ? dit Joanna en la regardant ahurie.

Bobbie lui décocha un sourire en coin.

— N’escompte pas de moi une confession à cœur ouvert. Je suis Lion, et notre spécialité à nous, c’est de savoir changer de conversation. Vous n’avez pas envie, Walter et toi, d’aller samedi soir au cinéma ?

* * *

Ils avaient acheté la maison à un couple du nom de Pilgrim qui ne l’avait habitée que deux mois et était parti pour le Canada. Les Pilgrim l’avaient achetée à une certaine Mrs McGrath, qui l’avait achetée onze ans auparavant à celui qui l’avait construite. Si bien que la plupart du rebut contenu dans le débarras était l’héritage de Mrs McGrath. En fait, rebut était un terme injuste car le bric-à-brac en question comportait deux chauffeuses style colonial en bon état que Walter avait l’intention de dégarnir et de retapisser un de ces jours ; une encyclopédie complète en vingt volumes qui trônait maintenant sur les rayonnages de la chambre de Pete ; plus des caisses et des petits paquets d’outils et d’objets dépareillés qui, sans représenter des trouvailles, semblaient du moins utilisables éventuellement. Mrs McGrath s’était comportée en bonne petite fourmi.

Avant que le plombier ne soit venu aménager l’évier, Joanna avait déjà transféré la plupart des objets récupérables au fond de la cave. Maintenant elle déménageait le reste – pots de peinture et tuiles ignifugées – tandis que Walter assenait des coups de marteau sur un plan de travail en contre-plaqué, aidé par Pete qui lui tendait les clous. Kim elle, était allée à la bibliothèque avec les petites Van Sant et leur mère.

Joanna défit une liasse de journaux jaunis à l’intérieur de laquelle elle découvrit un tout petit pinceau, dont les poils soigneusement nettoyés étaient un peu raides mais encore flexibles. Alors qu’elle le réenveloppait dans le journal, une demi-page de l’ Éveil , les mots CLUB DES FEMMES accrochèrent son regard. L’AUTEUR PARLE. Elle retourna la page, n’en croyant pas ses yeux.

— Renversant ! s’exclama-t-elle.

Pete tourna la tête vers elle.

— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Walter sans interrompre ses coups de marteau.

Elle posa le pinceau par terre, déploya la demi-page devant elle et se mit à lire.

Walter interrompit son travail et se retourna pour la regarder.

— Qu’est-ce qu’il y a ? répéta-t-il.

Elle poursuivit sa lecture et promena à deux reprises son regard de son journal à son mari.

— Tu sais… il y a eu ici un Club de Femmes, annonça-t-elle. Betty Friedan y a fait une conférence. La présidente en était Kit Sundersen, imagine-toi. Et elle avait pour adjointes la femme de Dale Coba et celle de Frank Roddenberry.

— Tu veux rire, hein ? dit-il.

Reportant son regard sur le journal, elle lut :

— « Betty Friedan, l’auteur de La Mystique féminine , a pris la parole l’autre soir au Club des Femmes de Stepford, réuni chez sa présidente Mrs Herbert Sundersen, dans sa résidence de Fairview Lane. Plus de cinquante auditrices applaudirent Mrs Friedan lorsque celle-ci se mit à souligner les inégalités et les frustrations qui assaillent la ménagère contemporaine… »

Elle lança un coup d’œil à Walter.

— Est-ce que je peux prendre ta place ? demanda Pete à son père. Walter lui tendit le marteau.

— À quelle date ça se passait ? demanda-t-il à Joanna.

— Ce n’est pas indiqué, le haut de la page manque. Il y a la photo des membres du comité. « Mrs Steven Margolies, Mrs Dale Coba, l’écrivain Betty Friedan, Mrs Herbert Sundersen, Mrs Frank Roddenberry, et Mrs Duane T. Anderson. »

Elle ouvrit grande la feuille à l’intention de Walter qui vint se planter à ses côtés pour lire, lui aussi.

— Voilà qui passe toute imagination, constata-t-il en contemplant la photo et l’article.

— Kit Sandersen ne m’en a pas touché le moindre mot quand j’ai été la trouver. Elle n’avait pas le temps d’assister à une réunion. Comme toutes les autres !

— Ça doit bien remonter à six ou sept ans, dit Walter en tâtant le journal jauni.

— Plus même. La Mystique féminine est parue alors que je travaillais encore. Andréas m’avait donné son exemplaire de presse. Tu te souviens ?

Il hocha la tête et se tourna vers Pete qui cognait à coups redoublés sur sa planche.

— Hé là ! doucement, conseilla-t-il. Tu vas tout saloper.

Il reporta son regard sur le journal.

— C’est fantastique ! dit-il. Peu à peu, le Club a dû tomber à l’eau, c’est tout.

— Avec cinquante membres, protesta Joanna. Et qui ont applaudi Betty Friedan au lieu de la siffler ?

— En tout cas, maintenant, il a disparu, non ? dit-il en laissant tomber le bout de feuille. À moins qu’il n’ait eu le pire agent de publicité qu’on puisse rêver, ajouta-t-il.

Et il retourna auprès de Pete.

— Dis-moi, tu as drôlement bien travaillé, mon garçon !

Joanna, incapable de détacher les yeux du journal, secoua la tête.

— Je n’arrive pas à y croire. Qui pouvaient être ces femmes ? Elles n’ont quand même pas toutes déménagé depuis.

— Calme-toi, dit Walter. Tu n’as pas encore interrogé toutes les habitantes de la ville.

— Bobbie l’a fait, ou quasi.

Elle plia soigneusement la feuille en quatre pour la ranger dans la caisse de son matériel. Le pinceau gisait toujours à terre.

— As-tu besoin d’un pinceau ?

Walter se retourna brusquement.

— Tu n’as tout de même pas la prétention de me transformer en peintre, par-dessus le marché ?

— Non, non, je l’ai trouvé enveloppé dans le journal.

Elle posa le pinceau et s’accroupit pour ramasser quelques tuiles éparses.

— Comment a-t-elle pu garder le silence, alors qu’elle était la présidente ? s’exclama-t-elle.

* * *

Sitôt Bobbie et Dave montés dans la voiture, elle leur fit part de sa découverte.

— Es-tu sûre qu’il ne s’agit pas d’un de ces gros titres à la gomme qu’on fait imprimer dans les foires, demanda Bobbie. Du genre DAVE MARKOWE BAISE ELISABETH TAYLOR.

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