Isaac Asimov - Les robots de l'aube

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Quand Elijah Baley, le célèbre agent de la Sûreté interplanétaire, arrive sur Aurora, il pressent qu’il va au-devant de sa plus difficile et périlleuse mission. Impossible pourtant de se récuser : le statut de la Terre en dépend, et le destin futur de l’Univers.
Il s’agit pour lui de découvrir qui, pour la première fois dans la Galaxie, s’est rendu coupable du meurtre de Jander Panell, le robot positronique le plus sophistiqué jamais créé, et qui atteignait un degré d’« humanité » très supérieur à tout ce que le Dr Susan Calvin aurait pu imaginer.
D’autres découvertes stupéfiantes attendent Elijah Baley sur Aurora, une planète dont les rites sexuels comportent peu de tabous et où il n’est pas interdit à une femme de s’éprendre follement d’un robot…

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— Il se peut qu’il ne sache rien, docteur.

Fastolfe regarda tristement Baley.

— D’accord. Mais comme vous l’avez dit à propos de la possibilité que Vasilia témoigne contre moi, nous affronterons cela le moment venu.

Il se retourna de nouveau et, cette fois, il sortit de la pièce.

Baley le suivit des yeux d’un air songeur. Il lui semblait maintenant que s’il progressait, il affronterait des représailles physiques d’une nature inconnue mais vraisemblablement dangereuse ; et s’il ne progressait pas, alors il serait soumis au sondage psychique, ce qui ne valait guère mieux.

— Nom de Jehosaphat ! marmonna-t-il.

32

Le trajet à pied jusque chez Gladïa parut plus court que la première fois. La journée était de nouveau agréable et ensoleillée mais le paysage paraissait tout à fait changé. Le soleil brillait de la direction opposée, naturellement, et cela modifiait un peu les couleurs.

Baley se dit que peut-être la flore avait un aspect différent, le matin et le soir, ou d’autres odeurs. Il se souvenait qu’il avait pensé la même chose des plantes de la Terre.

Daneel et Giskard l’accompagnaient comme auparavant mais se tenaient plus près de lui et semblaient être moins sur le qui-vive.

— Est-ce qu’ici le soleil brille tout le temps ? demanda distraitement Baley.

— Non, camarade Elijah, répondit Daneel. S’il brillait continuellement, ce serait désastreux pour le monde des plantes et, par conséquent, pour l’humanité. D’après les prévisions, justement, le ciel devrait se couvrir au cours de la journée.

— Qu’est-ce que c’est que ça ? s’écria soudain Baley en sursautant.

Un petit animal gris-brun était tapi dans l’herbe. En les voyant, il s’enfuit en sautant, sans se presser.

— Un lapin, monsieur, répondit Giskard.

Baley se détendit. Il en avait vu aussi dans les champs, sur la Terre.

Cette fois, Gladïa ne les attendait pas à sa porte mais elle avait été avertie de leur venue. Quand un robot les fit entrer, elle ne se leva pas mais dit, d’une voix à la fois lasse et irritée :

— Le Dr Fastolfe m’a appris que vous vouliez me revoir. Qu’est-ce qu’il y a encore ?

Elle portait une longue robe qui la moulait et n’avait manifestement rien dessous. Ses cheveux étaient tirés en arrière, sans forme ni grâce, et elle était très pâle. Elle avait les traits plus marqués que la veille et il était visible qu’elle avait très peu dormi.

Daneel, se rappelant l’incident, n’entra pas dans la pièce. Giskard, lui, y pénétra, regarda avec attention de tous côtés puis se retira dans une niche. Un des robots de Gladïa se tenait dans une autre.

— Je suis profondément navré, Gladïa, de venir encore vous ennuyer, dit Baley.

— J’ai oublié de vous dire hier soir qu’une fois qu’il aura été passé à la torche, Jander sera recyclé, naturellement, pour être de nouveau utilisé dans les usines de robotique. Ce sera amusant, je suppose, de me dire chaque fois que je verrai un robot neuf, que de nombreux atomes de Jander font partie de lui.

— Nous-mêmes, quand nous mourons, sommes recyclés et qui sait quels sont les atomes que nous avons en nous en ce moment, vous et moi, ou lesquels des nôtres seront dans d’autres personnes ?

— Vous avez raison, Elijah. Et vous me rappelez combien il est facile de philosopher sur les chagrins des autres.

— C’est vrai aussi, Gladïa, mais je ne suis pas venu pour philosopher.

— Faites ce que vous êtes venu faire, alors.

— Je dois vous poser des questions.

— Celles d’hier ne vous ont pas suffi ? Avez-vous passé le temps, depuis, à en inventer de nouvelles ?

— En partie, oui, Gladïa… Hier, vous m’avez dit que même lorsque vous étiez avec Jander, vivant comme mari et femme, d’autres hommes se sont offerts à vous et que vous avez refusé. C’est à ce propos que je dois vous interroger.

— Pourquoi ?

Baley laissa cette question de côté.

— Dites-moi combien d’hommes se sont offerts à vous, pendant que vous étiez mariée avec Jander ?

— Je ne tiens pas de livres de comptes, Elijah. Trois ou quatre.

— L’un d’eux a-t-il insisté ? Y en a-t-il qui sont revenus à la charge, qui se sont offerts plus d’une fois ?

Gladïa, qui avait évité jusque-là le regard de Baley, le regarda en face et demanda :

— Avez-vous parlé de cela à d’autres personnes ?

— Non. Je n’ai abordé ce sujet avec personne d’autre que vous. Mais votre question, cependant, me donne à penser qu’il y en a eu au moins un qui a été insistant.

— Oui. Santirix Gremionis, dit-elle en soupirant. Les Aurorains ont des noms si bizarres… et il était bizarre, lui, pour un Aurorain. Je n’en ai connu aucun qui soit aussi persévérant que lui à ce sujet. Il était toujours poli, il acceptait toujours mon refus avec un petit sourire et une inclinaison du buste mais, le plus souvent, il tentait encore sa chance le lendemain, et même le surlendemain. La simple répétition était un peu discourtoise. Un Aurorain correct accepte un refus définitivement, à moins que la partenaire convoitée laisse clairement voir qu’elle a changé d’idée.

— Dites-moi aussi… Est-ce que ceux qui se sont offerts étaient au courant de vos rapports avec Jander ?

— Ce n’était pas le genre de choses que je mentionnais dans la conversation courante.

— Eh bien alors, prenons le cas particulier de ce Gremionis. Savait-il, lui, que Jander était votre mari ?

— Je ne le lui ai jamais dit.

— N’écartez pas cela de cette façon, Gladïa. Il n’est pas question de ce qu’on lui a dit. Contrairement aux autres, il s’est offert plusieurs fois, avec insistance. Au fait, combien de fois ? Trois fois ? Quatre ? Combien de fois ?

— Je n’ai pas compté, répondit Gladïa avec lassitude. Peut-être dix, douze, ou plus. S’il n’avait pas été sympathique par ailleurs, je lui aurais fait interdire ma porte par mes robots.

— Ah ! Mais vous ne l’avez pas fait. Et il faut du temps pour faire de multiples offres. Il venait vous voir. Il vous rencontrait. Il avait le temps de remarquer la présence de Jander, votre comportement avec lui. Est-ce qu’il n’aurait pas pu deviner vos rapports ?

Gladïa secoua la tête.

— Je ne le crois pas. Jander n’apparaissait jamais quand j’étais avec un être humain, n’importe lequel.

— Etait-ce sur votre ordre ? Je le suppose.

— Oui, en effet. Et avant que vous cherchiez à insinuer que j’avais honte de ces rapports, c’était uniquement pour éviter d’ennuyeuses complications. J’ai conservé un certain instinct d’intimité des choses sexuelles, que ne possèdent pas les Aurorains.

— Réfléchissez bien. Aurait-il pu deviner ? Il vient ici, un homme amoureux…

— Amoureux ! s’exclama-t-elle avec un mépris écrasant. Qu’est-ce que les Aurorains savent de l’amour ?

— Disons un homme qui se croit épris. Vous restez insensible. N’aurait-il pu, avec la sensibilité et l’état d’esprit soupçonneux d’un amant déçu, tout deviner ? Réfléchissez ! N’a-t-il jamais fait une réflexion, une allusion qui aurait pu vous faire comprendre…

— Non ! Non ! C’est inconcevable qu’un Aurorain fasse des réflexions péjoratives sur les préférences sexuelles ou les habitudes d’un autre !

— Pas forcément péjoratives. Un commentaire ironique, peut-être, Une indication qu’il se doutait de vos rapports avec Jander.

— Non ! Si le jeune Gremionis avait soufflé un mot dans ce sens, il n’aurait plus jamais remis les pieds dans mon établissement, et j’aurais bien veillé à ce qu’il ne puisse plus jamais m’aborder ni s’approcher de moi… Mais il était incapable de faire quelque chose de pareil. Avec moi, il était l’image même de la politesse dévouée.

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