Robert Heinlein - En terre étrangère

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Les membres de la première expédition vers Mars périrent tous. Sauf un : Valentine Michael Smith, né sur Mars, élevé par les Martiens, recueilli et ramené sur Terre, à l'âge de vingt ans par la deuxième éxpédition vers Mars, au début du XXIe siècle.
Physiquement Valentine Michael Smith était humain.
Mentalement, il était martien.
La seule analogie qui convînt pour le définir était celle des enfants-loups, des enfants élevés par des loups. Mais les martiens n'étaient pas des loups. Leur culture était plus complexe que celle de la terre.
Le premier problème de Mike : survivre sur la Terre ! Tout lui était agression : la pesanteur, la pression atmosphérique, et surtout les hommes…
Le second problème fut pour lui de comprendre en quoi et pourquoi les hommes différaient des martiens et pourquoi ils étaient malheureux…

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— Oui, patron. »

Elle embrassa sa calvitie en passant derrière lui. « La suivante ! » hurla Harshaw. Myriam sortit de l’eau. Un haut-parleur monté à l’extérieur de la maison annonça :

« Patron ! »

Harshaw lâcha un mot qui fit rire Myriam, puis ajouta :

« Oui, Larry ?

— Une donzelle vient d’arriver à la porte – et elle a un cadavre dans sa voiture. »

Harshaw réfléchit un moment. « Elle est jolie ?

— Euh… oui.

— Qu’attendez-vous, alors ? Faites-la entrer. » Harshaw se retourna vers Myriam. « Allons-y. – Montage urbain puis fondu-enchaîné sur un intérieur, plan moyen. Un flic est assis sur un tabouret, sans casquette, col ouvert, le visage couvert de sueur. On ne voit que le dos d’un autre personnage, de côté en premier plan. Il lève la main presque en dehors du champ et l’abat sur le flic avec un bruit mat que l’on perçoit nettement. » Harshaw leva les yeux. « Voilà, continuez sur cette base. » Une voiture montait la colline vers la maison.

Jill conduisait. Un jeune homme avait pris place à côté d’elle. Lorsque la voiture s’arrêta, le jeune homme en descendit précipitamment, apparemment trop heureux d’en sortir. « La voici, Jubal.

— C’est ce que je vois. Bonjour, petite fille. Et le cadavre, Larry, où est-il ?

— Sur le siège arrière, patron. Sous la couverture.

— Ce n’est pas un cadavre, protesta Jill. C’est… Ben m’avait dit que vous… Je pensais…» Elle baissa la tête et fondit en larmes.

« Allons, allons, lui dit Harshaw avec douceur, peu de cadavres valent une larme. Dorcas… Myriam… occupez-vous d’elle. Donnez-lui quelque chose à boire, et lavez-lui le visage. »

Il entra dans la voiture et souleva la couverture. Jill s’arracha aux attentions de Myriam et cria d’une voix hystérique : « Il faut que vous m’écoutiez ! Il n’est pas mort… du moins, je l’espère. Il est… oh, mon Dieu ! » Elle se remit à pleurer. « Et puis je suis si sale… et j’ai si peur !

— On dirait bien un cadavre, dit Harshaw songeusement. Le corps est à la température ambiante, il semble. Rigidité non caractéristique. Depuis combien de temps est-il mort ?

— Je vous dis qu’il ne l’est pas ! Il faudrait le sortir de là. Si vous saviez comme j’ai eu du mal à l’y faire entrer…

— Je n’en doute pas. Larry, venez m’aider – et cessez d’avoir ce teint verdâtre – si vous vomissez, c’est vous qui essuierez. » Ils sortirent Valentin Michaël Smith et le posèrent sur l’herbe ; son corps demeura raide et recroquevillé. Dorcas était allé chercher le stéthoscope du docteur Harshaw ; elle posa l’appareil par terre et amplifia le son au maximum.

Harshaw mit les écouteurs et ausculta Smith. « Je crains que vous ne vous trompiez, mon enfant. Je ne puis plus lien faire pour lui. Qui était-il ? »

Le visage de Jill était dénué de toute expression. Elle répondit d’une voix neutre : « C’était l’Homme de Mars. J’ai fait tout ce que j’ai pu.

— Je n’en doute pas… L’Homme de Mars ?

— Oui. Ben… Ben Caxton avait dit que vous étiez celui qu’il fallait aller voir.

— Ben Caxton, hein ? Je suis heureux de la conf… Chut ! »

D’un geste impératif, il rétablit le silence. Son visage témoignait d’une surprise croissante. « Le cœur ! Imbécile de bavard que je suis ! Dorcas – vite, à la clinique. Le troisième tiroir dans le compartiment fermé du frigo. Le code est « doux rêves ». Apportez le tiroir et une seringue d’un centi-cube.

— J’y cours !

— Pas de stimulants, docteur ! » Harshaw se tourna vers Jill. « Comment ?

— Désolée, docteur. Je ne suis qu’une simple infirmière… mais je sais.

— Hum… ce malade est sous ma responsabilité maintenant. Mais il y a quarante ans, je découvris que je n’étais pas Dieu et, dix ans plus tard, que je n’étais même pas Esculape. Que voulez-vous tenter ?

— Je veux essayer de le réveiller. Si vous lui faites quoi que ce soit, il s’enfoncera encore davantage.

— Bon… allez-y. Mais n’utilisez pas une hache, tout de même. Ensuite, nous essaierons mes méthodes.

— Bien, docteur. » Jill s’agenouilla et essaya de déplier les membres de Smith. Harshaw leva les sourcils en voyant qu’elle y parvenait. Puis, elle prit sa tête sur ses genoux. « Réveillez-vous, lui dit-elle doucement. Votre frère d’eau vous le demande. »

Lentement, sa poitrine se souleva. Il exhala un long soupir et ouvrit les yeux. Il regarda Jill et lui donna son sourire de bébé. Puis, il vit les autres et son sourire s’évanouit.

« Tout va bien, se hâta de lui dire Jill. Ce sont des amis.

— Amis ?

— Oui, tous. Ne vous inquiétez pas, et surtout ne repartez pas. Tout va bien. »

Il resta calmement allongé, regardant ce qui l’entourait. Il semblait heureux comme un chat sur les genoux de son maître.

Vingt-cinq minutes plus tard, les deux patients étaient au lit. Avant que la pilule qu’il lui avait donnée ne fasse effet, Jill en avait dit assez à Harshaw pour qu’il sache qu’il avait attrapé un tigre par la queue.

Harshaw examina la voiture commerciale dans laquelle Jill était arrivée. On pouvait lire, peint en grandes lettres sur la carrosserie : LOCATIONS READING – Équipées Permapower – Faites une bonne affaire !

« Larry, la clôture est sous tension ?

— Non.

— Mettez-la alors. Ensuite, effacez toutes les empreintes digitales qu’il peut y avoir sur cet engin. Dès qu’il fera nuit, conduisez-le au-delà de Reading – allez même jusqu’aux portes de Lancaster – et abandonnez-le dans un fossé. Puis, allez à Philadelphie, où vous prendrez la navette de Scranton. Et de là, rentrez ici.

— C’est chose faite, Jubal. Mais dites – c’est vraiment l’Homme de Mars ?

— Espérons le contraire. Si c’est vrai et qu’ils vous attrapent avant que vous ne vous débarrassiez de cette carcasse, ils vous poseront des colles avec une lampe à souder. Je pense que c’est lui.

— Je vois. J’en profite pour dévaliser une banque sur le chemin du retour ?

— C’est sans doute ce que vous pourrez faire de moins compromettant.

— D’accord, patron. » Larry hésita. « Cela vous embête si je reste pour la nuit à Phila ?

— À votre guise. Mais je me demande bien ce qu’on peut faire d’intéressant la nuit à Phila. » Il lui tourna le dos. « La suivante ! »

Jill dormit jusqu’au dîner, et se réveilla fraîche et dispose. Elle huma l’air sortant de l’aérateur et supposa que le docteur avait effacé les effets du somnifère par un stimulant. Pendant qu’elle dormait, on était venu ôter ses vêtements sales et on avait mis à la place une robe du soir et une paire de fines sandales. La robe était presque à sa taille ; Jill en conclut qu’elle devait appartenir à Myriam. Elle prit un bain, se coiffa et se maquilla, puis descendit au living, se sentant déjà une toute autre femme.

Dorcas était recroquevillée sur un fauteuil, et faisait de la broderie. Elle salua Jill de la tête, comme si elle faisait déjà partie de la famille, puis retourna à son ouvrage. Harshaw agitait un mélange dans un shaker givré. « Vous buvez ?

— Avec plaisir, merci. »

Il emplit de grands verres à cocktail jusqu’au bord et lui en tendit un. « Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle.

— Une recette à moi : un tiers de vodka, un tiers d’acide muriatique, un tiers d’eau d’accumulateur – ajoutez deux pincées de sel et quelques scarabées confits.

— Je vous conseille plutôt un whisky à l’eau, lui recommanda Dorcas.

— Mêlez-vous de ce qui vous regarde, dit Harshaw. L’acide chlorhydrique facilite la digestion, les scarabées donnent des vitamines et des protéines. » Il leva son verre et dit solennellement : « À nous, aux rares nobles qui restent dans ce monde ! » Puis le vida d’un trait.

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