Hal Clement - Mission Gravité

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Mission Gravité: краткое содержание, описание и аннотация

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La planète Mesklin est réellement singulière. Sa forme et sa taille sont singulières, la gravité y est énorme et irrégulière. Elle tourne autour d'une étoile naine, à une vitesse considérable, le jour à sa surface ne dure que dix huit minutes.
Et c'est sur cette planète que les hommes ont voulu faire atterrir une sonde très coûteuse, au pôle même où la gravité y est de neuf cents atmosphères. La sonde ne redécollera pas.
La solution est donc de contacter le capitaine d'un équipage de la population locale et d'aller récupérer l'appareil là où l'homme ne peut décemment survivre …

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Pourtant, c’est dans le ciel que l’étrange événement se produisit.

Venant de loin devant le Bree, se déplaçant avec des plongées et des glissades, mouvements qui étaient totalement étrangers aux Mesklinites et eussent été tout à fait familiers à des humains, apparut une minuscule tache noire. Nul ne l’aperçut d’abord, et quand ils la virent elle était trop proche et trop haute pour être dans le champ des appareils de télévision. Le premier marin qui la vit poussa le hululement habituel de surprise, ce qui fit sursauter les observateurs humains sur Toorey mais ne leur fut pas d’un grand secours. Tout ce qu’ils purent distinguer en ramenant leur attention sur les écrans fut l’équipage du Bree, dont chaque membre avait redressé la partie antérieure de son corps de chenille pour regarder le ciel.

— Qu’est-ce que c’est, Barl ? demanda aussitôt Lackland.

— Je ne sais pas, répondit le capitaine. Un instant j’ai pensé que ce pourrait être votre fusée, descendue à la recherche des îles pour nous guider, mais c’est plus petit et de forme très différente.

— Mais c’est quelque chose qui vole ?

— Oui. Cela ne fait pas de bruit comme votre fusée, toutefois. Je dirais que c’est poussé par le vent, si ce n’est que cela se déplace trop doucement et régulièrement, et de plus dans la mauvaise direction. Je ne sais comment le décrire : c’est plus large que long, et un peu comme un mât croisé sur un espar. Je ne peux dire mieux.

— Pourriez-vous diriger un des appareils de télévision vers le haut pour que nous y jetions un coup d’œil ?

— Nous allons essayer.

Immédiatement, Lackland lança un appel téléphonique à l’un des biologistes.

— Lance, il semble que Barlennan ait rencontré une sorte d’animal volant. Nous allons tenter de l’observer. Voulez-vous descendre à la salle de communications pour nous expliquer ce que nous allons voir ?

— Je suis à vous tout de suite.

La voix du spécialiste s’estompa vers la fin de sa phrase. Il était évidemment déjà en train de sortir de la pièce, et arriva avant que les marins aient étayé l’appareil de télévision, mais il se laissa tomber sur une chaise sans poser de question. De nouveau Barlennan parlait.

— Il passe de-ci de-là au-dessus du bateau, quelquefois en droite ligne et d’autres en faisant des cercles. Chaque fois qu’il tourne, il culbute. Mais rien ne change dans son apparence. Il semble qu’il y ait un petit corps là où les deux bâtons se croisent …

Il poursuivit sa description mais l’objet était évidemment trop éloigné de son expérience normale pour qu’il trouve des substituts adéquats dans un langage étranger.

— Dès que vous le verrez, préparez-vous à cligner des yeux, intervint un technicien. Je tiens cet écran sous l’œil d’une caméra ultra-rapide, et il me faudra augmenter de beaucoup la brillance afin d’obtenir une exposition convenable.

— … Et il y a des bâtons plus petits fixés en travers du plus long, et quelque chose qui ressemble à une voile très fine est étendue entre eux. Il se retourne de nouveau vers nous, très bas maintenant … Je pense qu’il pourrait passer devant votre œil, cette fois …

Les observateurs se raidirent, et la main de l’opérateur se referma sur un disjoncteur dont l’abaissement activerait sa caméra et augmenterait le nombre des images prises. Pour aussi préparé qu’il fût, l’objet était déjà bien engagé dans le champ avant qu’il réagisse, et chacun dans la pièce put s’en faire une bonne idée avant que la soudaine augmentation de lumière fasse se fermer involontairement leurs yeux. Mais ils en avaient tous vu assez.

Nul ne parla pendant que le cameraman mettait en marche le générateur de développement à fréquence, rebobinait son film, faisait pivoter la caméra montée vers le mur blanc de la pièce et relevait la manette de projection. Ils avaient tous assez à penser pour être occupés durant les quinze secondes requises par l’opération.

La projection fut ralentie cinquante fois et chacun put regarder aussi longtemps qu’il le voulait. Il n’était pas si surprenant que Barlennan ait été incapable de décrire la chose. Il n’avait jamais rêvé que voler fût possible avant sa rencontre avec Lackland quelques mois plus tôt, et sa propre langue ne comportait pas de mot qui fût en rapport avec cette technique. Parmi les quelques vocables anglais qu’il connaissait sur ce sujet, il manquait justement « fuselage », « aile » et « empennage ».

L’objet n’était pas un animal. Il avait un corps — un fuselage, disaient les hommes — d’un mètre environ de long, la moitié de la longueur du canoë que Barlennan avait acquis. Une mince baguette le prolongeant de plus d’un mètre à l’arrière comportait un gouvernail à son extrémité. L’envergure des ailes était d’au moins six mètres et leur structure, une seule poutrelle principale et de nombreuses nervures, était aisément visible à travers le tissu presque transparent qui les couvrait. Dans la limite de ses connaissances, Barlennan avait fourni une excellente description.

— Qu’est-ce qui le fait marcher ? demanda soudain l’un des observateurs, il n’y a ni hélice ni tuyères visibles, et Barlennan a dit qu’il ne faisait pas de bruit.

— C’est un avion à voile, intervint un membre de l’équipe météo. Un planeur guidé par quelqu’un qui a tout le talent d’une mouette terrestre pour utiliser les courants ascendants causés par le front d’une vague. Il pourrait aisément transporter deux personnes de la taille de Barlennan et rester en l’air jusqu’à ce qu’il leur faille redescendre pour manger ou dormir.

L’équipage du Bree commençait à se sentir un peu nerveux. Le silence complet de la machine, leur incapacité à voir qui était à l’intérieur, ou quoi, les inquiétaient. Nul n’aime à être surveillé constamment par quelqu’un qu’il ne peut discerner. Le planeur ne faisait pas de mouvements hostiles, mais leur expérience d’un assaut aérien était encore assez fraîche pour les rendre mal à l’aise. Un ou deux d’entre eux avaient exprimé le désir de mettre en pratique l’art de jeter qu’ils venaient de découvrir, en employant tous les objets durs qu’ils pourraient trouver sur le pont, mais Barlennan l’interdit formellement. Ils se contentèrent de poursuivre leur route, un peu inquiets, jusqu’à ce que le dôme embrumé du ciel s’obscurcisse de nouveau. Nul ne savait s’il convenait d’être soulagé ou plus inquiet encore lorsque au soleil levant nulle trace de la machine volante ne fut visible. Le vent était à présent plus fort, et prenait presque le Bree par le travers, soufflant du nord-est. Mais les vagues n’avaient pas suivi le mouvement et s’en tenaient au clapotis. Pour la première fois, Barlennan remarquait que le canoë offrait un désavantage : le méthane soufflé et projeté à l’intérieur y demeurait. Il lui fut nécessaire avant la fin du jour de faire haler la petite embarcation au plus près des radeaux extérieurs et de placer deux hommes à son bord pour écoper, acte pour lequel il n’avait ni mot ni équipement.

Les jours s’écoulèrent sans que réapparût le planeur, et il advint que seuls les gradés continuèrent à observer le ciel dans l’attente de son retour. La brume élevée s’épaississait et s’obscurcissait, cependant, et enfin se changea en nuages qui s’abaissèrent jusqu’à plafonner à moins de vingt mètres au-dessus de la mer. Barlennan fut informé par les Terriens que ce n’était pas là un temps propice au vol, et il élimina toute surveillance. Ni lui ni les humains ne s’arrêtèrent à se demander comment le premier planeur avait trouvé sa route par une nuit trop brumeuse pour que les étoiles servent de guide.

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