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Francis Carsac: Ceux de nulle part

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Francis Carsac Ceux de nulle part

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Dans une « galaxie maudite », les Misliks, êtres métalliques (parents littéraires éloignés des « Ferromagnétaux » imaginés par J.-H. Rosny aîné dans « La mort de la Terre ») qui ne peuvent étendre leur empire qu’en éteignant les étoiles, affrontent les Hiss, êtres proches de l’Homme dont la vie est, comme la nôtre, basée sur le cycle du carbone … Un modeste scientifique terrien, le Docteur Clair, sera entraîné, bien malgré lui, à intervenir dans un conflit apparemment étranger à sa planète, dans un monde incommensurablement lointain, qui ne peut être atteint qu’à travers l’« ahun », le Non-Espace et le Non-Temps où flotte l’Espace-Temps. Francis Carsac est, avec Fred Hoyle, John Taine et Isaac Asimov, un des rares scientifiques à avoir écrit de la science-fiction et ce roman, dont l’intrigue est, en apparence, celle d’un banal « space opera », repose en fait sur une hypothèse rigoureusement étayée que Jacques Bergier salue du reste dans sa préface: celle d’un autre univers partageant avec le nôtre un super-espace et un super-temps. Ainsi, les Misliks, les Hiss et les Terriens sont-ils, les uns par rapport aux autres des « Êtres de Nulle Part et de Nul Temps » … Mais, si l’accent est mis sur la science, la fiction, elle, emporte le lecteur dans un passionnant « hyperespace-opera » où se mêlent aventure, humour et poésie.

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Francis Carsac

CEUX DE NULLE PART

AVERTISSEMENT

Ce récit n’est qu’une fantaisie, et ne représente nullement les opinions scientifiques, politiques ou religieuses de l’auteur. Toute coïncidence de nom ou de caractère ne serait évidemment, que pur hasard.

PREMIÈRE PARTIE

LES VISITEURS

PROLOGUE

Je sonnai, ce matin de mars 197… à la porte de mon vieil ami le docteur Clair, ne me doutant certes pas que j’allais bientôt entendre un fantastique et incroyable récit. Je dis « mon vieil ami », bien que nous ayons, lui et moi-même, à peine dépassé la trentaine, car nous nous connaissions depuis l’enfance, et ne nous étions perdus de vue que depuis quatre ans.

La porte fut ouverte — ou plutôt entrouverte — par une vieille femme habillée de noir, comme toutes les vieilles femmes de ce pays. Elle bougonna:

« Si c’est pour une visite, le docteur ne reçoit pas aujourd’hui. Il fait ses « expériences ».

Excellent médecin, Clair n’exerçait pourtant pas régulièrement. Grâce à une solide fortune il pouvait consacrer presque tout son temps à de délicates expériences de biologie. Son laboratoire, installé dans la maison paternelle, près de Rouffignac, n’avait, de l’avis des savants étrangers qui l’avaient visité, que peu d’égaux au monde. Fort discret sur ses travaux, il n’y faisait, dans les rares lettres que nous échangions, que de brèves allusions, mais je savais, par les rumeurs des facultés, qu’il était un de ceux qui, dispersés un peu partout dans le monde, entrevoient la solution du problème du cancer.

La vieille femme me toisait avec méfiance.

« Non, je ne viens pas en consultation, répondis-je. Dites simplement au docteur que Frank Borie voudrait le voir.

— Ah ! Vous êtes monsieur Borie ? Alors c’est différent. Il vous attend ».

Du fond du couloir, une profonde voix de basse cria:

« Eh bien, Madeleine, qu’y a-t-il ? Qui est là ?

— C’est moi, Séva !

— Entre, sacrebleu ! »

De sa mère, Russe émigrée, Clair tenait une voix à la Chaliapine, une stature de Cosaque sibérien et le prénom de Vsévolod ; de son père, pur Périgourdin, un teint basané et des cheveux noirs qui lui avaient valu, dans notre groupe d’étudiants, le surnom de « Clair-Obscur ».

Il arriva à grandes enjambées, me démonta le bras de sa poignée de main, me fit plier d’une tape sur l’épaule — j’ai joué au rugby comme pilier ! — et au lieu de m’introduire tout de suite dans son bureau, comme d’habitude, me ramena devant la porte.

« Quel beau jour, déclama-t-il emphatiquement. Le soleil luit, et tu arrives ! À vrai dire je ne t’attendais que ce soir, par l’autobus.

— Je suis venu avec mon auto. Te dérangerais-je ?

— Non, non, pas du tout ! Je suis fichtrement content de te voir. Que deviens-tu ? Comment marche votre nouvelle pile ?

— Chut, mystère ! Tu sais bien que je ne dois pas en parler.

— C’est bon, atomiste mystérieux ! À propos, je vous remercie pour votre dernier envoi d’isotopes radioactifs. Ils m’ont permis du bon travail. Mais je ne vous embêterai plus à ce sujet. J’ai mieux.

— Quoi donc ! Fis-je, étonné.

— Chut, mystère ! Je ne dois pas en parler ! »

Dans le couloir, derrière nous, il y eut un léger bruit de pas, et, par la porte restée entrouverte, je crus entrevoir une mince silhouette féminine. Pourtant, à ma connaissance, Clair était célibataire et n’avait pas de liaison.

Il surprit sans doute la direction de mon regard, et, me tenant à bout de bras, me fit pivoter.

« En tout cas, tu n’as pas changé. Toujours le même. Entrons donc !

— Je ne puis te retourner le compliment. Tu as vieilli !

— Eh, peut-être, peut-être. Passe le premier ! »

Son bureau, que je connaissais bien, avec ses rayons de livres dont bien peu se rapportaient à la médecine, était vide, mais il y flottait un faible et agréable parfum, qui me fit humer l’air. Clair s’en aperçut, et, devançant toute question:

« Oui, j’ai eu la visite il y a quelques jours — oh ! En consultation ! — d’une célèbre actrice, et son parfum demeure encore. C’est extraordinaire, les progrès de la chimie ! »

Nous entamâmes une conversation à bâtons rompus. Je lui appris la mort de ma mère, et j’eus la surprise de l’entendre dire: « Ah ! Très bien.

— Comment, très bien ! Dis-je, indigné et peiné.

— Non, je veux dire: je comprends pourquoi tu m’as laissé sans nouvelles ces temps-ci. Alors, tu es maintenant seul au monde ?

— Oui.

— Eh bien, je te proposerai peut-être quelque chose d’intéressant. Mais ce n’est encore qu’un vague projet. Je t’en parlerai ce soir.

— Et ton labo ? Quoi de neuf ?

— Tu veux le voir ? Viens ».

Le laboratoire — construit depuis ma dernière visite, quatre ans plus tôt — vaste pièce vitrée plus longue que large, occupait tout l’arrière de la maison. Je m’arrêtai sur le seuil, et sifflai d’admiration. J’en fis le tour, remarquant au passage le micromanipulateur, le cœur artificiel. Dans une pièce noire contiguë se dressait un énorme générateur de rayons X. Au milieu du labo, sur une table, une légère bâche dissimulait un appareil.

« Et ça ? Fis-je.

— Ce n’est rien. Ce n’est pas encore au point. Un essai …

— Je ne savais pas que tu construisais de nouveaux appareils. Tu sais, en tant que physicien, je pourrais peut-être t’aider.

— On verra. Plus tard. Pour le moment j’aime mieux ne pas en parler.

— Soit, dis-je, un peu vexé. Si ça t’éclate au nez … »

La sonnette de la porte d’entrée tinta.

« Zut, Madeleine est sortie. Il faut que j’y aille moi-même ».

Resté seul, je m’approchai du mystérieux appareil, et, indiscrètement, soulevai la bâche. Je restai pantois. Au lieu de l’ébauche à laquelle je m’attendais, je vis un merveilleux assemblage de tubes de verre et de métal, d’ampoules transparentes ou opaques, de fils ténus. Sur de multiples cadrans d’étranges aiguilles bifides marquaient des graduations dont je ne pus deviner la signification. Je suis habitué à toutes sortes d’appareils scientifiques, et nous en utilisons, à mon laboratoire, de passablement complexes. Mais je ne connaissais rien qui ressemblât à cela.

Entendant sur le dallage du couloir les pas rapides de mon ami, je laissai promptement retomber la bâche, et, d’un air indifférent, regardai distraitement le jardin à travers la fenêtre.

« Un cas de diphtérie chez un enfant. Mon confrère est absent. Je dois y aller. Prends un bouquin dans mon bureau, en attendant.

— Veux-tu que je t’y conduise ? Ma voiture est devant la porte.

— Soit. Cela m’évitera de sortir la mienne ».

Tout en roulant, je songeai aux singularités que j’avais remarquées. Clair ne m’attendait que pour le soir, et avait eu l’air gêné de me voir arriver plus tôt. Il m’avait tenu devant la porte pendant quelques minutes, par une température qui, sans être glaciale, était très fraîche. J’avais entrevu une silhouette s’esquivant dans le couloir, et, immédiatement après, Clair m’avait fait entrer. Il avait eu l’air satisfait de savoir que le décès de ma mère me laissait seul au monde. Enfin il y avait ce bizarre appareil … Du diable soit si je comprenais à quoi il pouvait servir. Et dans un labo de biologie, encore ! Et Clair en serait l’inventeur ? Ça, c’était possible. Mais le constructeur ? Je me souvins de ses montages de physique, au P.C.B., et ne pus m’empêcher de sourire.

Nous stoppâmes devant une ferme. Clair ne fut absent qu’un quart d’heure.

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