Cf. Vieillir : « Mourir de frissonner / Mourir de se dissoudre / De se racrapoter… »
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Clara , 1961 © Productions musicales Alleluia Gérard Meys.
À l’auteur.
Eddy Przybylski, op. cit.
Thierry Denoël, Pierre Brel, le frère de Jacques, op. cit.
Giulia Salvatori, Annie Girardot, la mémoire de ma mère , Michel Lafon, 2007.
En janvier 1972, à Broadway, Mort Shuman avait créé avec Eric Blau la comédie musicale Jacques Brel Is Alive and Well and Living in Paris , qui fut ensuite portée à l’écran par Denis Héroux, en 1974.
À côté d’une autre photo représentant Miche et Maddly, sous le titre « Elles pleurent Jacques Brel » et le sous-titre « Sa femme, ses filles, son amie sont venues ensemble lui dire adieu », France-Soir , 12 octobre 1978.
Odette Ventura ( Lino , Robert Laffont, 1992) : « Nous avons dîné à quatre, avec Maddly, dans sa chambre. Jacques avait commandé un dîner de fête, avec caviar et champagne. Son regard avait une intensité inouïe. La conversation fut très gaie. Lino promit de rejoindre Jacques [à Hiva Oa]. » Le lendemain, précise-t-elle, ils recevaient un petit mot de Brel, plein d’espoir en l’attente de nouvelles retrouvailles : « Oh oui, je vous remercie tous les deux et vous embrasse tendrement. À tout à l’heure. Jacques le Belge. »
À l’auteur. Le gouverneur en question, en fait haut-commissaire de la République (le statut de gouverneur ayant pris fin en juillet 1977 avec Charles Schmitt qui accueillit plusieurs fois Jacques et Maddly à sa table, à Papeete), était Paul Cousseran, que Jacques Brel rencontra également pour lui demander de contribuer à l’essor social, médical et culturel des Marquises. Débuté le 18 décembre 1977, son mandat s’acheva le 27 juillet 1981.
Eddy Przybylski, op. cit . Malgré tout, des journaux parisiens parviendront à obtenir des photos « volées », qui seront publiées dans les jours suivants.
Daté du 7 janvier 1973, il faisait de Miche, son épouse légitime, sa légataire universelle. À Maddly, outre le Jojo et les affaires communes d’Hiva Oa, il laissait un appartement à Paris et un autre à Neuilly, achetés à son nom comme l’avion.
Mourir pour mourir (du film Mon oncle Benjamin , 1970) © Famille Brel.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
Le Bon Dieu n’a pas d’oreilles, op. cit.
Eddy Przybylski, op. cit.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
À l’auteur.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Pierre Berruer, op. cit.
« Là-bas, écrit Brouillet ( L’Ile aux perles noires, op. cit .), dans le grand giron du Pacifique, se trouve un atoll de forme ovale où, pour la première fois de ma vie, j’ai désigné la place que je me réserve dans le cimetière. Là-bas, au fond d’un lagon, parmi les cathédrales de corail, dorment les nacres aux perles fabuleuses. »
Alors deuxième du nom. Aujourd’hui, l’ Aranui III est un gros cargo mixte qui n’a plus guère à voir avec la « goélette » initiale que Jacques Brel a connue.
Eddy Przybylski, op. cit.
Quarante-neuf ans à ce moment-là, l’âge de Brel à ses adieux définitifs.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Tu leur diras, op. cit.
Ibid.
Maddly Bamy, Pour le jour qui revient…, op. cit.
Achevée d’imprimer le 18 septembre 1981, l’édition originale du Grésivaudan proposait (telles les anthologies de luxe de Brassens et de Brel) 2 volumes grand format (24 × 32) emboîtés dans un coffret ; tirée à 5 000 exemplaires sur vélin d’Arches en feuilles séparées (120 et 140 pages), elle était illustrée de 10 lithographies en couleurs signées Maddly Bamy et de 350 photos inédites (dont 320 en couleurs). Dès mars 1982, des rééditions reliées en un volume unique furent publiées dans un format inférieur, avec une sélection d’illustrations, sous couverture souple ou cartonnée. Enfin, en 1999, l’ouvrage ressortit sous le même titre en édition courante chez Fixot (222 p. et cahier photo de 8 p.).
Paris Match , 10 juin 1998.
Pour le jour qui revient… (Ce que la mort nous apprend de la vie) , éd. Yva Peyret, Suisse, 1988 ; Fleur d’amour , à compte d’auteur, 1992 ; La Parole de Jacques Brel , à compte d’auteur, 1998 ; La Rivière sans rives , roman, Flammarion, 2000 ; La Gymnastique énergétique (Majim) , avec Catherine Brosset, éd. du Rocher, 2001 ; Et si la parole de Jacques Brel était vivante ? , éd. du Rocher, 2001 ; Lettre à mon fils que je n’ai pas eu , éd. du Rocher, 2003 ; Deux enfants du soleil pour deux monstres sacrés , avec Érick Bamy, Christian Pirot éd., 2003 ; De l’amour à vivre , Christian Pirot éd., 2006 ; La Force d’aimer , Christian Pirot éd., 2009. Maddly Bamy a également créé en 1998, à Béziers, Le Monde de Brel , un spectacle avec six comédiens-chanteurs autour du répertoire de l’artiste.
Maddly Bamy, Pour le jour qui revient…, op. cit.
Auprès d’Eddy Przybylski, op. cit.
Le Moribond , 1961 © Éditions Intersong-Paris.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Ibid.
Ibid.
Alors époux de Marina Vlady qui, rappelons-le, avait été mariée à l’aventurier Jean-Claude Brouillet, lequel céderait quelques années plus tard sa ferme perlière à Robert Wan, l’acquéreur du Jojo de Jacques Brel…
Paul-Robert Thomas, op. cit .
Ibid.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit. On peut penser qu’il s’agissait de Jean Dutourd, lequel avait évité alors de faire son « compliment à Monsieur Brel, qui a adapté le livret. Tout semble affadi, poussé vers la niaiserie, avec des formules du genre “Rêver un impossible rêve”. Monsieur Brel ne sait visiblement pas l’anglais, mais il ne sait pas non plus le français ». Si on l’avait encore ignoré, on aurait su aussi, grâce au critique de France-Soir appelé à devenir académicien, que le ridicule ne tue pas. Pas forcément rancunier mais en aucun cas oublieux, Brel ne se privera pas d’une petite vengeance ultérieure en évoquant « les livres de Jean Dutourd » dans Knokke-le-Zoute tango .
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