Orly , 1977 © Éditions musicales Pouchenel.
Prisca Parrish, op. cit.
Olivier Todd, op. cit.
Marc Robine, op. cit.
Maddly Bamy, Pour le jour qui revient…, op. cit.
Marc Robine, op. cit.
Charley Marouani, op. cit.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
Jef ( op. cit. ). France Brel vogua sur l’ Askoy du port d’Anvers jusqu’à Fort-de-France, c’est-à-dire du 24 juillet 1974 au 26 janvier 1975, en passant par les Canaries (et le fameux réveillon de Noël en compagnie d’Antoine).
Le Soir , 19 mars 2003, supplément « Brel 25 ans, Brel Bruxelles 2003 ».
Jef ( op. cit. ).
Jean-Roger Caussimon, op. cit.
Devant présenter un poème symphonique à son examen de composition musicale au Conservatoire de Paris, François Rauber demanda spécialement à Jacques Brel de lui écrire les trois histoires de Jean de Bruges. Le jour de l’examen, le 27 juin 1962, le récitant fut Jean-Christophe Benoît.
Il aura fallu attendre le printemps 2013, soit cinquante ans après le 25 cm, pour que Jean de Bruges sorte enfin dans le commerce. En l’occurrence, dans un CD de François Rauber, Suites d’orchestre , qui s’ouvre sur le poème symphonique dit par Brel (et Janine de Waleyne) et s’achève, en « bonus », par ses trois mouvements en version orchestrale (Classics Jazz France/Universal).
Jean de Bruges ( L’Ouragan ), 1962 © Éditions musicales Pouchenel.
Pour le documentaire de Claude Val, Askoy II, le voilier de Jacques Brel , dans la série « Navires de légende » de la Télévision suisse romande.
La Dernière Heure , Bruxelles, mai 2008.
Le 17 février 2013, Katherine Cleveland est décédée d’un cancer dans sa maison de l’île Oahu (Hawaï) ; elle avait soixante-cinq ans.
http ://www.askoyii.be/
« Plus d’une vérité est restée longtemps ou totalement sans effet, simplement parce que personne n’a envisagé qu’elle pût devenir réalité », déclara Albert Schweitzer lors de son discours de réception du prix Nobel de la paix, le 4 novembre 1954, à Oslo.
Créée en 1981 par France Brel sous forme d’association (ASBL), la Fondation Brel a cédé la place en 2006 aux Éditions Jacques-Brel, dont le siège à Bruxelles abrite aussi, depuis 2011, la nouvelle Fondation Jacques-Brel, désormais d’utilité publique (voir « Annexes »).
Jean-Roger Caussimon, op. cit.
Cette rencontre, montée le 6 janvier 1969 par un jeune journaliste indépendant, François-René Cristiani (dans le petit trois pièces de ses beaux parents, rue Saint-Placide à Paris), en collaboration avec Jean-Pierre Leloir, donna lieu à une publication partielle dans le numéro de février du mensuel Rock & Folk et à la diffusion d’extraits sur RTL. Il fallut ensuite attendre l’été 1997 et le n° 20 de la revue Chorus ( Les Cahiers de la chanson ) pour la découvrir enfin dans son intégralité, puis l’automne 2003 pour la voir publiée en beau-livre : Brel, Brassens, Ferré : Trois hommes dans un salon (coédition Chorus/Fayard).
Paul-Robert Thomas, op. cit .
Charley Marouani, op. cit.
« Je ne pensais pas qu’une chanson pouvait être à ce point bouleversante, et qu’un chanteur pouvait transmettre autant de vie et d’émotion… » (PRT, op. cit. )
Claude Lemesle, Plume de stars, 3 000 chansons et quelques autres , L’Archipel, 2009.
Paul-Robert Thomas, op. cit .
Charles Schmitt sera le dernier gouverneur de la Polynésie française (du 4 décembre 1975 au 13 juillet 1977) et le premier haut-commissaire de la République en Polynésie française, mais seulement pendant trois mois et demi (du 13 juillet 1977 au 31 octobre 1977), du fait de son décès accidentel par noyade.
Paul-Robert Thomas, op. cit .
Claude Lemesle, op. cit.
Ibid.
Ibid.
À l’auteur.
Une chanson de son deuxième album (1976), où il évoquait aussi Gréco et d’autres artistes appréciés de Brel : « Quand vous chantiez en ce temps-là / L’argent ne faisait pas la loi / Les hit-parades n’existaient pas / Du moins, ils n’étaient pas de poids / Et Trenet avait mis des années / Brassens commençait à emballer / Et Bécaud astiquait son clavier / Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles… »
Chanson extraite de son quatrième album (1977), Et la fête est finie…
En fait, l’album éponyme était paru un an plus tôt, en novembre 1975.
À la clinique Hartmann de Neuilly, en septembre 1978.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
Ibid.
Jean Ferrat, La femme est l’avenir de l’homme , 1975 © Productions Alleluia.
Claude Lemesle, op. cit.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Souvent, dans le show business, les artistes reçoivent les représentants de la presse à la suite, pour ne pas dire à la chaîne, « évacuant » ainsi la plupart des périodiques nationaux et régionaux en une ou deux journées seulement, à raison de courts entretiens standardisés de promotion. Avec Ferrat, rien de tel ce jour de décembre 1980 (ni les nombreuses fois suivantes), mais plusieurs heures de conversation sans tabou et dans une ambiance chaleureuse. À la fin, il m’accorda même tout le temps nécessaire à une séance photo en vue de la couverture du numéro concerné ( Paroles et Musique n° 7, février 1981).
Au début des années 1960, Brel lui confia l’édition de plusieurs chansons dont La Fanette , reprise par Isabelle Aubret, et Vieille , écrite pour Juliette Gréco.
« L’Invité du dimanche », diffusée le 16 mars 1969 sur la deuxième chaîne : trois heures en direct autour de l’écrivain Jean-Pierre Chabrol. Furieux du ton libertaire de l’émission, le directeur de la chaîne exerça ensuite des représailles à l’encontre de son équipe et fit en sorte que Ferrat, dès lors, fût interdit d’antenne.
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