À Jacques Vassal, pour Paroles et Musique n° 21, op. cit.
À Yves Lecordier, pour Paroles et Musique n° 21.
À Jacques Vassal, pour Paroles et Musique n° 21.
Ibid.
Seul bémol dans cette « échappée belle balayant l’ensemble de la vie du chanteur », écrivait notre envoyé spécial à Bruxelles, Jean Théfaine : que cette exposition « ait complètement fait l’impasse sur les femmes qui ont partagé l’existence du Jacquot. Parmi elles, la dernière, Maddly, manque singulièrement dans le paysage » ( Chorus n° 45, automne 2003).
Par Daniel Pantchenko.
Le Figaro , 23 septembre 2003.
Au site belge www.dhnet.be
À l’auteur.
Pierre Perret, op. cit.
Ibid.
Tu leur diras, op. cit.
Ibid.
Paroles et Musique n° 21, propos recueillis par Jacques Vassal.
À l’auteur.
Eddie Barclay a été enterré au cimetière marin de Saint-Tropez, dans une tombe recouverte de reproductions de 33 tours à son nom véritable (Édouard Ruault), avec ses dates et lieux de naissance (26 janvier 1921, à Paris) et de décès (13 mai 2005, à Boulogne-Billancourt) et, en guise d’épitaphe, comme s’il s’agissait du titre du disque, une phrase qui lui était chère : « Que la fête continue ! »
Eddy Przybylski, op. cit.
Chorus n° 45, propos recueillis par Daniel Pantchenko.
Une vie en coulisses, op. cit.
A cappella, op. cit.
Tu leur diras, op. cit.
Le record mondial était jusque-là détenu par les Pink Floyd. Dans l’heure suivant la mise en vente, trois cent mille exemplaires s’écoulèrent dans l’Hexagone. Du jamais vu.
Marc Robine, op. cit .
À la seule exception technique, pour compenser leurs délais de parution par rapport à la presse quotidienne et aux radios-télévisions, des trois principaux hebdomadaires nationaux, L’Express, Le Nouvel Observateur et Le Point .
Le disque fut livré aux radios et autres rédactions au même moment, partout, par des bataillons de coursiers…
En compagnie de Louis Bresson, avec qui nous animions un hebdomadaire régional créé ensemble et que l’on retrouvera quelque trente-cinq ans plus tard à Punaauia, tout près du faré où s’installait Brel…
Jaurès , 1977 © Famille Brel.
Restée inédite jusqu’alors, Marie-Claire Mendès France en confia la teneur (et une copie) à Marc Robine, en vue de son livre Grand Jacques, le roman de Jacques Brel, op. cit .
Maddly Bamy, op. cit.
L’Homme dans la cité, 1958 © Nouvelles Éditions musicales Caravelle.
Fin 1977, le disco, incarné notamment jusque-là par Donna Summer, connaîtra une explosion sans précédent dans l’histoire de la musique et des ventes de disques avec le film Saturday Night Fever , dont l’album, comprenant surtout des chansons des Bee Gees, se vendra à plus de vingt millions d’exemplaires en un an (quarante millions au total).
Voir un ami pleurer , 1977 © Famille Brel.
L’île la plus au sud de l’archipel.
Les Cœurs tendres , 1967 (du film Un idiot à Paris ) © Éditions musicales Pouchenel.
J’arrive , 1968 © Éditions musicales Pouchenel.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Tu leur diras, op. cit.
Eddy Przybylski, op. cit.
Olivier Todd, op. cit.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
Ibid.
À Henry Lemaire, janvier 1971.
Eddy Przybylski, op. cit.
Propos tenus par Léon (Jacques Brel) dans son film Franz , 1971.
Lucien Israël à Eddy Przybylski, op. cit.
À l’auteur.
Eddy Przybylski, op. cit.
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
Olivier Todd, op. cit.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
À l’auteur.
Journaliste culturel à Europe n° 1, très apprécié des amateurs de chanson, Jean Serge avait déjà interviewé Jacques Brel à plusieurs reprises. On se souvient en particulier d’une rencontre croisée avec Georges Brassens, enregistrée fin 1965, au cours de laquelle Brel avait déclaré son admiration pour Brassens : « J’insiste sur le sourire de Brassens qui est le plus beau sourire d’homme que je connaisse. […] Je crois que c’est un péché mortel de ne pas écouter Brassens. On peut ne pas l’aimer, on ne peut pas ne pas l’essayer. »
Maddly Bamy, Tu leur diras, op. cit.
À Eddy Przybylski, op. cit.
Pour le jour qui revient…, op. cit.
Les paparazzi sont allés jusqu’à tenter de photographier la dépouille de Jacques Brel. Charley Marouani (à l’auteur) : « Avant que je ne quitte l’hôpital pour convoyer le cercueil jusqu’à Hiva Oa, le gardien de la morgue — que je venais de remercier d’avoir veillé à ce que personne ne force l’intimité du lieu en notre absence — m’a déclaré qu’il avait dû éconduire un photographe qui lui avait proposé une grosse somme pour lui laisser prendre une photo ! » À Hiva Oa aussi, plusieurs habitants furent sollicités par des journaux et magazines parisiens (après que leurs envoyés eurent été bloqués par Air Tahiti à l’aéroport de Faa’a) désireux à tout prix de leur acheter des photos des obsèques.
Selon la dépêche de l’AFP publiée ce même jour, horaire confirmé depuis par Maddly Bamy. En 2011, dans son album Suppléments de mensonge , Hubert-Félix Thiéfaine écrira ces vers : « Je me regarde au fond des yeux / Dans le miroir des souvenirs / Si partir c’est mourir un peu / J’ai passé ma vie à… partir / Je rêve tellement d’avoir été / Que je vais finir par tomber. » Titre de la chanson ? Petit matin quatre heures dix …
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