Tu leur diras, op. cit.
Des lieux de culte et d’habitation impressionnants, des sculptures étonnantes (des tikis , représentations d’« hommes-dieux »), des pétroglyphes restant à déchiffrer, etc., qu’il faut souvent aller dénicher en pleine brousse.
On pense généralement que les Marquisiens sont à l’origine du peuplement de l’île de Pâques, son dialecte (le rapanui ) et ses statues monumentales (les fameux moaï ) présentant bien des analogies avec la langue et les tikis des Marquises. À noter qu’en rapanui, le nom de l’île de Pâques (d’une superficie moitié moindre que celle d’Hiva Oa) est Motu Motiro Hiva, ce qui signifie « îlot aux oiseaux sur la route d’Hiva ».
Les gendarmes rédigeaient des rapports dans lesquels Gauguin était traité d’anarchiste, de fou dangereux, d’alcoolique invétéré.
Préface à Poète… vos papiers , 1956. Léo Ferré enregistra un texte condensé de celle-ci, en 1973, dans l’album Il n’y a plus rien .
Maurice Malingue, Gauguin, Lettres à sa femme et à ses amis , Grasset, 1946.
Le pasteur Vernier, qui avait étudié la médecine, était un missionnaire que Gauguin estimait et consultait de temps à autre. Début avril 1903, un mois juste avant sa mort, il lui avait fait porter ce mot : « Serait-ce abuser que de vous demander une consultation, mes lumières devenant tout à fait insuffisantes ? Je suis malade. Je ne peux plus marcher. »
Journaliste à Ouest-France , Pierre Berruer (décédé en mai 1996) a notamment écrit une superbe biographie de Gauguin, Le Bon Dieu n’a pas d’oreilles , Plon, 1986. Il fut aussi le premier biographe de Brel à se rendre à Hiva Oa.
Maddly Bamy, op. cit.
Ibid .
Ibid.
Paul-Robert Thomas, op. cit.
La Chanson des vieux amants , 1967.
Vivre debout , 1961 © Éditions musicales Pouchenel.
La Cathédrale , 1977 © Famille Brel.
Ayant prévu une grande bibliothèque sur le bateau, Jacques avait dressé une longue liste des livres à acheter, « dont certains, précisera Maddly, spécialement dans l’intention de me les faire lire ».
Il lui en faudra quatorze de plus, à cause du pot au noir…
Eddy Przybylski, op. cit.
Bruxelles , 1962 © Nouvelles Éditions musicales Caravelle/Pouchenel.
Le Testament , Georges Brassens, 1955.
Prisca Parrish, op. cit.
Thierry Denoël, Pierre Brel, le frère de Jacques , Le Cri, Bruxelles, 1993.
Maddly Bamy, op. cit.
Paru dans Le Hérisson n° 1504, daté du 13 au 15 février.
Olivier Todd, op. cit.
Pierre Perret, A cappella, des Trois Baudets à l’Olympia , Le Cherche Midi, 2008.
Chorus ( Les Cahiers de la chanson ) n° 67, printemps 2009.
« Suivant avec intérêt votre quête du souvenir de Jacques Brel, nous écrira Antoine en 2012, j’ai plaisir à vous dire que j’ai fait récemment don en toute propriété à la Fondation de France Brel des quelques images en super 8 (malheureusement en mauvais état de conservation) que j’avais tournées lors de la rencontre qui donna plus tard lieu à une si mauvaise interprétation. On y voit Jacques Brel très joyeux, ne cessant de faire le clown, comme à son habitude. »
Pierre Perret, op. cit.
Marc Robine, op. cit.
Des néologismes typiquement bréliens, expliquera Marc Robine, « pour décrire une situation en deux mots, sans avoir besoin de plus amples explications. Le panamá est un chapeau et le partagas un cigare ; avec ces deux accessoires, tout le personnage est campé ».
Knokke-le-Zoute tango , 1977 © Famille Brel.
Charley Marouani, Une vie en coulisses ( op. cit. ), dont sont tirés ici des extraits de sa correspondance avec Brel.
La Cathédrale , chanson écrite en 1977 à Hiva Oa.
À l’auteur.
Charley Marouani, op. cit.
Paroles et Musique n° 21, juin 1982 (propos recueillis par Jacques Vassal).
Ibid.
Engagé en 1968 dans la première course autour du monde, sans escale et en solitaire, Bernard Moitessier parviendra le premier devant la ligne d’arrivée. Mais, au lieu de la couper « et d’empocher la double récompense promise — une petite fortune pour l’époque —, il vire de bord au dernier moment et met le cap sur une destination inconnue ! Dès lors, sa légende est en marche. La presse se passionne pour ce “hippie des mers”, chevelu et barbu, qui vient de renoncer, d’un simple coup de barre, aux honneurs et à l’argent qui lui étaient dus. Ce geste incroyable, au lendemain de mai 1968, prend une résonance inouïe. Plus qu’un héros, Moitessier devient un symbole vivant ». (Marc Robine, op. cit. ) Parti de Plymouth, en Angleterre, le 22 août 1968, il touchera terre à Tahiti, le 21 juin 1969, après dix mois de solitude et un périple d’environ soixante-dix mille kilomètres ; la plus longue distance jamais parcourue, d’une traite, par un navigateur solitaire. Puis il s’installera définitivement en Polynésie, d’abord sur l’atoll d’Ahé, dans l’archipel des Tuamotu, ensuite à Moorea (1978), et racontera ce voyage aux allures initiatiques dans La Longue Route , qui, plus qu’un récit maritime, est une véritable réflexion philosophique sur la vanité, les faux-semblants, le pouvoir et l’argent. Bernard Moitessier est décédé le 16 juin 1994.
Marc Robine, op. cit .
Mon enfance , 1967 © Éditions musicales Pouchenel.
Allons il faut partir , 1970 (extrait du Voyage sur la lune ) © Famille Brel.
Charley Marouani, op. cit.
Allons il faut partir.
Mon enfance.
À Jean Clouzet, Jacques Brel , 1964, Seghers, collection « Poètes d’aujourd’hui ».
Plus personne, aujourd’hui, ne donne autant de concerts qu’à l’époque, où l’on se produisait chaque fois qu’on était sollicité. Désormais, les artistes les plus célèbres se contentent d’une tournée limitée dans le temps après la sortie d’un nouvel album, puis se retirent de la scène en attendant le suivant.
Читать дальше