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Gilles Legardinier: Nous étions les hommes

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Gilles Legardinier Nous étions les hommes
  • Название:
    Nous étions les hommes
  • Автор:
  • Издательство:
    Editions Pocket
  • Жанр:
  • Год:
    2014
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    978-2266220354
  • Рейтинг книги:
    3 / 5
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C’est l’une des plus fascinantes énigmes qui soit. Sur notre planète, il existe plus de 1800 espèces de bambous. Chaque fois que l’une d’elles fleurit, tous ses spécimens, où qu’ils se trouvent sur Terre, le font exactement au même moment. Ensuite, l’espèce meurt. Personne ne sait expliquer ce chant du cygne, ni l’empêcher. Aujourd’hui, l’homme va peut-être connaître le même sort. Arrivé lui aussi à son apogée, il risque de disparaître… Dans le plus grand hôpital d’Edimbourg, le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Associé à une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert une clé de cette maladie qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. Leurs conclusions sont aussi perturbantes qu’effrayantes. Si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. Nous redeviendrons des animaux. C'est le début d'une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux. Partout sur la Terre, face à ceux qui veulent contrôler le monde et les vies, l’ultime course contre la montre a commencé… Né à Paris en 1965, Gilles Legardinier a travaillé comme pyrotechnicien sur les plateaux de cinéma anglais et américains. Il s'oriente ensuite vers la production et réalise des films publicitaires ainsi que des bandes-annonces. Il se consacre aujourd'hui à la communication écrite pour le cinéma et la réécriture de scénarii. Parallèlement, il a publié plusieurs romans. son premier roman publié au Fleuve Noir en 2009, a reçu le du polar 2009. Il vit dans le Val d'Oise. Retrouvez l'auteur sur

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L’homme nu suffoquait, mais il ne prononça pas un mot.

— Ne m’oblige pas à répéter, menaça Hold en resserrant sa prise.

— Deux, lâcha-t-il d’une voix étranglée. Les autres sont de permanence.

Il toussa.

— Tu fais quoi, ici ?

L’homme essaya de dégager son bras. David pesa dessus, lui arrachant un gémissement.

— L’informatique.

— Tu me prends pour un abruti ?

L’homme jeta un coup d’œil vers la porte.

— Si tu espères voir arriver Vance, n’y compte pas trop. À mon avis, tu ne verras pas le match non plus. Donc tu bosses à l’informatique. Et vous êtes combien de gentils informaticiens physiquement entraînés comme toi ?

Une silhouette s’encadra dans la porte. David releva vivement son arme et reconnut Kinross juste à temps.

— Qu’est-ce que vous foutez là ? Je vous avais dit d’attendre.

— J’aime pas ce qui passe à la télé, alors je suis venu voir ce que vous faisiez.

— Retournez de l’autre côté.

Kinross s’avança et dévisagea l’homme immobilisé qui avait de plus en plus de mal à respirer.

— Son visage rougit, variation de vascularisation typique en cas de strangulation.

Il s’approcha encore plus près et ajouta :

— Les yeux commencent à s’injecter de sang. Encore quelques minutes et il perdra connaissance.

Hold grogna :

— À quoi vous jouez ?

— Cet homme sait peut-être où est Jenni.

— Ce n’est pas comme ça qu’on s’y prend, gronda David, les dents serrées.

L’homme avait beau suffoquer, la stupéfaction dominait dans son regard. Scott sortit son arme et la pointa contre son flanc.

— Qu’est-ce que vous foutez, Kinross ?

— Je ne sais pas bien me servir d’un flingue, mais je sais exactement où tirer pour le paralyser à vie sans le tuer.

L’affolement commença à s’emparer de l’homme. Kinross s’adressa à lui :

— Nous cherchons une jeune femme blonde de taille moyenne, les yeux bleus. Elle s’appelle Jenni Cooper. Vous savez peut-être où elle est ?

— Kinross, laissez-nous faire ça !

Le docteur enfonça un peu plus son canon dans le flanc de l’homme. Il essaya d’articuler quelque chose.

— Elle est… dans l’autre aile, râla-t-il.

— C’est un bon début. Maintenant, il va falloir nous conduire à elle.

83

L’ouverture de la porte tira Jenni d’un demi-sommeil angoissé. Même en ayant perdu la notion précise du temps, elle devinait qu’il était tard. Aveuglée par la lumière du couloir, elle ne distingua qu’une grande silhouette qui s’approchait d’elle. Elle se redressa, sur la défensive.

— Professeur Cooper ? fit l’homme.

Elle reconnut la voix.

— Monsieur Hold ?

Elle se frotta les paupières.

— Qu’est-ce que vous faites ici ?

Soudain, son visage se durcit.

— Espèce de salaud, lança-t-elle. Scott avait raison de se méfier : vous êtes avec ces ordures !

Le docteur Kinross apparut dans l’encadrement de la porte.

— Je vous l’avais dit, David : quand elle n’a pas son compte de sommeil, elle peut vous sortir des trucs horribles…

— Scott ! s’exclama Jenni, abasourdie.

— On en reparlera plus tard, répondit Hold, l’expression neutre, en aidant la jeune femme à se lever.

Affaiblie, Jenni avait du mal à émerger complètement de sa torpeur.

— Vous êtes avec la police pour arrêter Brestlow ? demanda-t-elle.

— Pas exactement, fit Scott.

— J’espère au moins que tu n’as pas négocié avec ce malade mental ?

— Sur ce coup-là, je partage ton diagnostic, mais non, je n’ai rien négocié. En fait, il ne sait pas que nous sommes là.

Pour la première fois, Jenni ouvrit grands les yeux.

Kinross s’avança et prit le visage de la jeune femme entre ses mains. Elle s’abandonna à la chaleur de ses paumes. Il étudia rapidement ses pupilles. Elle n’avait pas été droguée. Il la serra dans ses bras.

— J’ai cru que j’allais y rester, murmura-t-elle.

Il lui caressa la tête et lui souffla à l’oreille :

— Je suis désolé. Vraiment.

84

Kinross et Schenkel aidaient Jenni à marcher pendant que Hold et Fawkes les encadraient, arme au poing. Le petit groupe se déplaçait avec prudence, sécurisant chaque intersection de couloir et vérifiant les ouvertures potentiellement dangereuses. Hold se servait du badge pris au garde pour ouvrir les portes. Jenni suivait le mouvement et, malgré la nécessité d’être discrets, elle ne pouvait s’empêcher de raconter tout ce qu’elle avait vu, tout ce qu’elle avait cru. En chuchotant, elle parlait vite, se soulageait, et posait aussi beaucoup de questions.

— La tempête de neige est finie ?

— Depuis hier, répondit Scott. Il t’a retenue prisonnière longtemps ?

— Peut-être deux jours. Avant, il m’a sorti le grand jeu. Un vrai conte de fées. Ce Brestlow est un piège vivant.

— C’est ce que nous avons cru comprendre en enquêtant sur lui.

Après avoir franchi la porte du quartier des chambres, ils reprirent leur souffle. C’est alors que le premier coup de feu déchira le silence. Hold riposta immédiatement, sans atteindre le tireur embusqué au niveau de la salle de bains. Fawkes poussa le reste du groupe à l’abri dans une chambre et revint appuyer David.

— Rendez-vous ! leur cria une voix. Vous n’avez aucune chance, vous ne sortirez jamais d’ici !

Hold avait pris position dans un renfoncement, de l’autre côté du couloir. Il rechargea son arme et indiqua à son jeune équipier qu’il avait repéré deux tireurs.

Dans la chambre, Jenni sursautait à chaque coup de feu. Elle se mordait les lèvres en silence. Scott lui prit la main pour la rassurer et s’aperçut qu’elle avait du sang plein les doigts. Il s’affola et commença à l’ausculter. Avec des automatismes de professionnel, il vérifia ses bras, son cou, lui pencha la tête et souleva son gilet.

— Mais qu’est-ce que tu fabriques ? lui demanda-t-elle.

Thomas se pencha vers eux :

— Ne cherchez pas, docteur, c’est moi qu’ils ont eu.

Alors que les échanges de tirs s’intensifiaient dans le couloir, Kinross s’approcha du jeune frère. Le blessé désigna son épaule. Une tache de sang imbibait déjà son sweat-shirt.

— Pouvez-vous remuer les doigts ? interrogea Kinross.

Thomas s’exécuta en grimaçant.

— Essayez de plier légèrement votre bras, insista le docteur.

Schenkel poussa un gémissement mais y parvint.

— Vous avez de la chance, commenta Kinross.

Scott arracha un drap du lit qu’il déchira pour confectionner un pansement de fortune.

— Collez-vous ça sur la plaie pour freiner l’hémorragie.

Dans le couloir, Hold et Fawkes tenaient leur position. Des impacts criblaient les angles des murs derrière lesquels ils s’étaient abrités. Pour obliger les deux tireurs à quitter leur retranchement, Hold décida de s’approcher d’eux. Il fit signe à Fawkes de se tenir prêt à le couvrir. Lorsqu’il se dégagea, il essuya un tir nourri qui déchiqueta le bois à quelques centimètres de son torse. Il plongea dans l’embrasure suivante. Fawkes ne manqua pas sa cible. L’un de leurs deux adversaires s’écroula. Le jeune garde du corps fit signe qu’il allait à son tour tenter la même manœuvre. Il bondit hors de la chambre et roula sur le sol. Le dernier homme embusqué arrosa alors le couloir sans vraiment viser. Hold le toucha en deux temps. Une première balle l’atteignit au bras, lui arrachant un cri. L’individu tituba sous l’impact et se décala légèrement de son poste de tir, suffisamment pour que Hold le touche mortellement. L’homme s’écroula à terre.

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