Gilles Legardinier - Nous étions les hommes

Здесь есть возможность читать онлайн «Gilles Legardinier - Nous étions les hommes» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Город: Paris, Год выпуска: 2014, ISBN: 2014, Издательство: Editions Pocket, Жанр: Триллер, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Nous étions les hommes: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Nous étions les hommes»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

C’est l’une des plus fascinantes énigmes qui soit. Sur notre planète, il existe plus de 1800 espèces de bambous. Chaque fois que l’une d’elles fleurit, tous ses spécimens, où qu’ils se trouvent sur Terre, le font exactement au même moment. Ensuite, l’espèce meurt. Personne ne sait expliquer ce chant du cygne, ni l’empêcher. Aujourd’hui, l’homme va peut-être connaître le même sort. Arrivé lui aussi à son apogée, il risque de disparaître…
Dans le plus grand hôpital d’Edimbourg, le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Associé à une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert une clé de cette maladie qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. Leurs conclusions sont aussi perturbantes qu’effrayantes. Si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. Nous redeviendrons des animaux.
C'est le début d'une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux. Partout sur la Terre, face à ceux qui veulent contrôler le monde et les vies, l’ultime course contre la montre a commencé…
Né à Paris en 1965, Gilles Legardinier a travaillé comme pyrotechnicien sur les plateaux de cinéma anglais et américains. Il s'oriente ensuite vers la production et réalise des films publicitaires ainsi que des bandes-annonces. Il se consacre aujourd'hui à la communication écrite pour le cinéma et la réécriture de scénarii. Parallèlement, il a publié plusieurs romans.
son premier roman publié au Fleuve Noir en 2009, a reçu le
du polar 2009. Il vit dans le Val d'Oise.
Retrouvez l'auteur sur

Nous étions les hommes — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Nous étions les hommes», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

— Bloque la porte du quartier ! ordonna Hold pendant qu’il se précipitait récupérer les armes.

Lorsqu’il revint à la chambre où étaient réfugiés ses trois compagnons, il découvrit Thomas, blanc comme un linge.

— Il a été touché, expliqua Kinross.

— C’est grave ?

— Je ne crois pas.

— Bon, on file au passage.

En longeant le mur, le groupe gagna la porte étanche qui menait à la partie désaffectée de la base. Découvrant la zone sombre et poussiéreuse, Jenni interrogea :

— C’est vraiment par ici la sortie ?

— C’est une longue histoire, répondit Kinross. Fais-nous confiance.

Pendant que Hold distribuait les lampes frontales, Fawkes entailla le sweat-shirt de Thomas avec son couteau pour évaluer la blessure. Le docteur éclaira la plaie.

— La balle est ressortie, je pense que seul le muscle a été touché.

— Tant mieux, plaisanta faiblement Thomas. Un Jésuite mort au combat, ça ne fait pas sérieux.

Hold s’adressa à Fawkes pour activer le mouvement :

— Ben, tu emmènes tout le monde aux motoneiges. Ne traînez pas. Si tu as l’impression qu’ils te poursuivent, fais sauter le passage. Compris ?

Le jeune commando hocha la tête.

— Et vous ? interrogea Scott.

— Je vais essayer de reprendre les documents des brevets.

— Je reste avec vous, affirma Kinross.

— Ne recommencez pas, docteur.

— À part vous faire tuer, qu’est-ce que vous comptez réussir à vous seul ? Vous n’êtes même pas certain d’identifier tous nos documents.

Jenni intervint :

— Je ne sais pas où Brestlow a pu les cacher. Sa résidence est un dédale truffé de gadgets high-tech. Il y a même des passages secrets.

Kinross prit les choses en main :

— Ben, Thomas, je compte sur vous pour sortir Jenni de ce traquenard. Dès que vous serez dehors, activez la balise radio et demandez la protection de la police.

Hold sentait la situation lui échapper. Fawkes eut un regard dans sa direction, mais c’est au docteur qu’il répondit :

— D’accord. Je vais vous laisser deux ou trois trucs qui pourront vous être utiles.

Le jeune homme déballa ce qu’il lui restait d’explosifs, ses détonateurs, des chargeurs, une arme de secours et une grenade.

— Ma mère avait raison, ironisa Scott, ce job va me tuer.

85

Les deux ombres glissaient de section en section. Un silence absolu régnait dans le complexe souterrain.

— On dirait que ça ne vous fait pas plaisir que je sois resté avec vous, souffla Kinross.

— J’ai déjà assez de boulot à essayer de me protéger moi-même sans vous avoir dans les jambes, répliqua Hold en neutralisant une autre caméra de surveillance.

— Ne vous en faites pas, je suis assez grand, et j’ai moi aussi envie d’en découdre avec Brestlow.

Un instant, Hold relâcha sa vigilance pour regarder le docteur.

— Vous voulez vous venger ? demanda-t-il.

Scott ne répondit pas. Du canon de son arme, il fit signe à Hold de continuer à avancer.

Le duo dépassa bientôt la pièce dans laquelle avait été enfermée Jenni. Ils arrivèrent à l’angle d’un couloir qui conduisait tout droit à un ascenseur.

— Ne bougez pas d’ici, ordonna Hold. Je vais voir s’il y a des escaliers.

Kinross posa un genou à terre en s’appuyant au mur. David remonta rapidement vers l’ascenseur qu’encadraient deux portes. L’une donnait sur un local technique rempli d’armoires électriques dont les innombrables voyants clignotaient. L’autre était verrouillée. Il passa le badge contre le capteur de la serrure et la porte s’ouvrit sur une cage d’escalier. Hold fit signe à Kinross de le rejoindre pour monter à l’étage supérieur.

— Vous n’êtes pas surpris de croiser si peu de monde ? interrogea Kinross.

— Plaignez-vous ! De l’extérieur, nous n’aurions pas eu l’ombre d’une chance d’atteindre Jenni. Mais on prend tous leurs systèmes à rebrousse-poil. Je vous parie que même ici, peu sont au courant de l’existence de l’ancienne base. Ils n’ont aucun moyen de comprendre ce qui se passe tant qu’ils ignoreront par où nous sommes entrés…

À peine eut-il entrebâillé la porte du palier que Hold entendit des voix et s’immobilisa. Il tendit l’oreille. Deux hommes. Il resserra les doigts autour de la crosse de son arme.

— Essayez d’en laisser un en vie, histoire qu’il nous indique le chemin, glissa Kinross.

Cette fois, le regard de David n’avait plus rien de doux.

86

Comme chaque soir, Desmond prit l’ascenseur et appuya sur le bouton du deuxième sous-sol. Il transportait une petite mallette antistatique grise. À l’intérieur, deux unités de stockage qui renfermaient la totalité des transmissions, transactions et notes de travail de son patron pour la journée écoulée. La fatigue se faisait sentir et, pour se soulager le dos, le secrétaire particulier de M. Brestlow fit rouler ses épaules en attendant d’arriver à destination.

Il vérifia sa montre. Même en faisant vite, il ne serait pas au lit avant 2 heures du matin. Dans un glissement étouffé, la cabine s’immobilisa. Comme d’habitude, Desmond se dirigea vers la console d’identification de la chambre forte. Soudain, les gyrophares rouges situés aux angles du corridor se mirent à tourner en émettant une note stridente et répétitive. Exaspéré, Desmond saisit l’intercom accroché à sa ceinture et composa le 1 :

— Ici Keener, je suis aux archives et l’alerte vient de se déclencher. Qu’est-ce qui se passe ?

— On ne sait pas encore, répondit le responsable de la sécurité de la résidence. L’équipe du troisième nous a signalé de possibles coups de feu entendus à l’étage du dessous.

— À l’étage des gardes ?

— Oui, monsieur, et personne ne répond.

— Encore un de vos mercenaires ivres qui fait l’imbécile !

— Je ne pense pas, monsieur. Plusieurs caméras de contrôle sont hors d’usage.

— Une attaque extérieure ?

— Impossible, monsieur. Tous les systèmes sont opérationnels et aucune intrusion du périmètre de la propriété n’a été détectée.

— Descendez tout de suite vérifier par vous-même.

— Je suis en route, monsieur, mais par prudence, j’ai préféré isoler les niveaux et déclencher l’alerte.

— S’il y a le moindre risque, il faut évacuer M. Brestlow vers la zone confinée, mais je plains sincèrement celui qui l’aura réveillé pour rien après la journée qu’il a eue. Tenez-moi informé.

Desmond raccrocha. Il était arrivé devant une énorme porte blindée. Il posa sa main bien à plat sur un scanner. Une barre de lumière bleue lui balaya la paume, identifiant les empreintes. Le mécanisme d’ouverture de la porte de plusieurs tonnes commença à se déclencher. Tout à coup, Keener sentit quelque chose de froid se poser sur sa nuque.

— Bonsoir, fit une voix derrière lui.

Il leva les mains sans lâcher sa mallette pendant que la porte s’ouvrait. À l’intérieur, les éclairages s’allumèrent progressivement, révélant une salle profonde et basse de plafond. Kinross eut un petit sifflement admiratif en découvrant l’endroit. Hold poussa Desmond à l’intérieur et lui ordonna de refermer derrière eux.

— Qui êtes-vous ? questionna Keener.

— La cause de tous vos soucis, répondit David.

L’endroit était rempli de rayonnages, de dossiers, d’armoires fortes dont certaines étaient ouvertes sur des piles de disques de stockage soigneusement étiquetés. Lorsque Hold essaya de prendre la mallette, Desmond résista, mais une pression appuyée du canon sur la jugulaire le ramena à la raison. David posa l’objet sur un bureau et arracha un câble informatique pour ligoter le prisonnier. Kinross s’avança dans les allées pour jeter un œil.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Nous étions les hommes»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Nous étions les hommes» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «Nous étions les hommes»

Обсуждение, отзывы о книге «Nous étions les hommes» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x