Gérard Villiers - Arnaque à Brunei
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- Название:Arnaque à Brunei
- Автор:
- Издательство:Éditions Gérard de Villiers
- Жанр:
- Год:1989
- Город:Paris
- ISBN:2-7386-0005-0
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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— Nous avons un sérieux problème, annonça Guy Hamilton. J’ai parlé à Michael, je pense qu’il a raison. Il ne peut pas faire ce que vous lui demandez. Cela déclencherait un incident diplomatique de première grandeur avec les Etats-Unis. Sans garantie de succès. Il vaut mieux agir demain.
— Ce sera trop tard.
Hadj Ali se retrouvait seul et bien seul. L’ambassadeur des Etats-Unis allait demander une entrevue officielle au Sultan, via le ministère des Affaires étrangères. II pouvait gagner un peu de temps, pas beaucoup, mais il lui était impossible d’empêcher le Sultan de rencontrer le diplomate. Si ce dernier venait avec les chèques, la carrière et peut-être la vie d’Al Mutadee Hadj Ali étaient terminées. Il lui restait une possibilité : s’enfuir tout de suite à Singapour où se trouvaient ses affaires. Avec ce qu’il avait volé, il pouvait vivre tranquille le restant de ses jours. Seulement il craignait le poids financier du Sultan de Brunei. Si ce dernier se déchaînait, personne n’oserait lui tenir tête…
Etourdi, il regarda sa montre. Angelina devait l’attendre.
La rage le saisit à nouveau. Si elle n’avait pas prévenu l’agent des Américains, tout serait en ordre…
Il quitta son bureau, laissant tout allumé, sans prendre le « bip » sur lequel l’appelait le Sultan.
Le temps d’arpenter les couloirs semés de gurkahs en tenue verte, il sautait dans sa Ferrari grise et prenait la route de Jerudong.
Angelina Fraser était super sexy dans une jupe de cuir blanc bien ajustée sur ses fesses nerveuses et un pull de même couleur moulant sa poitrine aigue. Les cheveux tirés, on ne voyait que sa grosse bouche et ses yeux à l’expression provocante. Un verre de Dom Perignon à la main, elle bavardait près du buffet avec le jeune ambassadeur allemand. Hadj Ali eut brutalement chaud au ventre en la voyant. Elle était toujours aussi désirable, en dépit de ce qu’elle lui avait fait…
Le sourire éblouissant qu’elle lui adressa le mit en transes. Sans doute pour s’amuser, elle portait des bas noirs à couture, moulant ses jambes un peu fortes de cavalière et ses habituels escarpins de douze centimètres.
— Ali, tu es en retard !
Elle lui prit la main et la serra très fort, les yeux dans les yeux. Le Brunéien s’aperçut qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Les pointes de ses seins se dessinaient sous la laine et cela augmenta son désir. Au garçon penché sur lui, il réclama
— One orange juice special.
C’est à dire 10 % de jus d’orange et 90 % de Johnny Walker… Quand il y avait des étrangers à Jerudong on servait de l’alcool, mais les pengirans n’en buvaient pas officiellement.
On lui apporta son breuvage qu’il vida presque d’un coup son estomac s’enflamma. Discrètement, l’ambassadeur d’Allemagne s’éloigna. Aussitôt, Angelina minauda, le frôlant de sa hanche gainée de cuir,
— Je croyais que tu n’allais pas venir… Tu n’as plus envie de moi ?
Il l’aurait bien prise séance tenante pour lui prouver le contraire. Le contraste de la jupe blanche et des bas noirs l’affolait. Ce soir, elle semblait particulièrement chargée d’érotisme.
— Emmène-moi, dit-elle, c’est mortel ici. Il paraît que le Sultan ne viendra pas. Tu peux disparaître.
De fait, la plupart des invités étaient en train de s’éclipser. Ils montèrent au premier où l’orchestre philippin jouait languissamment pour un parterre clairsemé.
Il se fit servir un second « special orange juice »qu’il but aussi vite. La tête commençait à lui tourner. Tantôt, il avait envie d’étrangler Angelina, tantôt de la violer sur-le-champ. Mais il n’arrivait pas à déconnecter la machine infernale qui faisait tic-tac dans sa tête. Il était probablement en train de vivre ses dernières heures de liberté.
— Tu viens ? insista Angelina.
— Allons chez toi, dit-il.
Elle ne protesta pas. Ils prirent chacun leur voiture. Vingt minutes plus tard, ils stoppèrent devant la maison des Fraser. Arrivé dans le living, Hadj Ali se jeta sur Angelina. Elle savait éveiller le désir d’un homme, rien qu’avec ses yeux. Hadj Ali posa une main entre les genoux et remonta le long des bas. La jupe était si étroite qu’il avait du mal à progresser et cela fit pouffer Angelina. Elle la fit glisser vers le haut et Hadj Ali découvrit qu’elle n’avait rien dessous.
Elle libéra son érection et se mit à le masturber presque avec fureur, comme elle le faisait parfois.
— Ça m’excite ! murmura-t-elle, tu ne peux pas savoir.
Elle avait une voix rauque de salope en manque et son ventre dégoulinait de miel. Malgré tout, Hadj Ali pensait au Sultan et avait du mal à maintenir son érection… Pourtant, ce ventre offert l’excitait, mais Angelina refusait d’ôter sa jupe. Il voulut le faire à sa place, mais elle se déroba en riant, murmurant
— Soumets-moi.
Elle se pencha et saisit une cravache noire dissimulée derrière le divan, la tendant à son amant. Un de ses fantasmes favoris, quand elle était très excitée. En même temps, elle roula sur le ventre, offrant sa croupe gainée de cuir blanc à la cravache, les jambes écartées autant que le permettait la jupe étroite, guignant Hadj Ali du coin de l’œil. Ce dernier n’hésita qu’une seconde. Une façon comme une autre de se défouler.
Craaac ! La cravache cingla le cuir et Angelina eut un sursaut. Jamais il n’avait frappé aussi fort. D’habitude, c’était presque une caresse.
— Doucement ! demanda-t-elle.
Sans l’écouter, Hadj Ali redoubla. Le cuir noir fouettait le cuir blanc, sans arrêt et Angelina roulait sur le lit, tentant de protéger sa croupe, offrant parfois son ventre et même ses cuisses à la cravache. L’ambiance avait brusquement changé. Hadj Ali ne voyait plus que cette croupe qui frémissait sous ses coups et le regard trouble d’Angelina. La jeune femme avait les larmes aux yeux, mais en même temps une sensation étrange embrasait son ventre. Parfois, quand elle chevauchait un pur-sang et qu’elle le cravachait pour aller encore plus vite, elle sentait le miel couler de son ventre, sans pouvoir se retenir. Là, c’était elle le pur-sang…
Soudain revenue sur le dos, les jambes ouvertes, repliées, elle supplia le Brunéien.
— Prends-moi, maintenant ! Prends-moi !
Hadj Ali avait les yeux injectés de sang. Le Johnny Walker faisait son effet et tout se mélangeait dans sa tête. Essoufflé, il se laissa tomber à côté d’elle sur le lit, en pleine érection. Angelina le saisit aussitôt, reprenant sa masturbation. Elle répéta les yeux mi-clos
— Baise-moi, baise-moi avec ta grosse queue.
— Salope ! siffla le Premier aide de camp.
Elle sourit, ravie. Pour elle c’était le plus beau compliment. Celui que lui faisaient tous ses amants. Hadj Ali effleura le sexe inondé. Curieusement, au lieu d’en être excité, il en éprouva une sorte de dégoût. Cette femelle en chaleur qui le suppliait de s’enfoncer en elle, et en même temps l’avait trahi le faisait disjoncter. Il se pencha sur elle
— Tu as répété à ton ami de la CIA ce que je t’avais dit ? demanda-t-il.
Angelina entrouvrit les yeux, étonnée qu’il pose une telle question à cet instant précis.
— Qu’est-ce que ça peut faire ! Viens !
Hadj Ali fut submergé brutalement par la haine. Angelina ne pensait qu’à son plaisir ! Alors qu’elle avait peut-être détruit sa vie à lui.
Retournant la cravache, il enfouit brutalement le pommeau d’argent entre les cuisses gainées de nylon noir, poussant vers le haut. Quand le métal toucha son sexe, Angelina sursauta mais ne se referma pas. Parfois, aussi, son amant s’était amusé ainsi, dans son sexe ou dans ses reins. Elle poussa un petit cri quand la grosse boule d’argent ciselé la pénétra. C’était plus froid et plus dur qu’un homme mais l’idée de faire l’amour avec une cravache l’excitait prodigieusement…
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