Arthur Doyle - Le Chien Des Baskerville
Здесь есть возможность читать онлайн «Arthur Doyle - Le Chien Des Baskerville» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Классический детектив, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Le Chien Des Baskerville
- Автор:
- Жанр:
- Год:неизвестен
- ISBN:нет данных
- Рейтинг книги:4 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 80
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Le Chien Des Baskerville: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Le Chien Des Baskerville»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Le Chien Des Baskerville — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Le Chien Des Baskerville», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
«Sir Henry Baskerville est en haut et vous attend, nous dit l’employé de la réception. Il m’a prié de vous faire monter immédiatement.
– Verriez-vous un inconvénient à ce que je jette un coup d’œil sur votre registre? demanda Holmes.
– Pas le moindre.»
Le registre révélait que deux noms avaient été inscrits après celui de Sir Henry. L’un était Theophilus Johnson, avec sa famille, de Newcastle; l’autre Mme Oldmore et sa femme de chambre, de High Lodge, Alton.
«Il s’agit sûrement du Johnson que nous connaissons, dit Holmes à l’employé. Un juriste, n’est-ce pas, qui, a des cheveux blancs et qui boitille?
– Non, monsieur. Ce M. Johnson est un propriétaire de mines de charbon, très alerte, pas plus âgé que vous.
– Vous êtes certain que vous ne vous trompez pas au sujet de sa profession?
– Non, monsieur. Il est notre client depuis de nombreuses années et nous le connaissons bien.
– Alors n’en parlons plus. Mme Oldmore… il me semble que ce nom me dit quelque chose. Excusez ma curiosité, mais vous savez qu’en rendant visite à un ami, on tombe souvent sur un autre ami.
– C’est une dame infirme, monsieur. Son mari a été maire de Gloucester. Elle descend toujours chez nous quand elle vient à Londres.
– Merci. Je ne pense pas la connaître… Par ces questions, Watson, nous avons marqué un point important: nous savons que les gens qui s’intéressent si vivement à notre ami ne sont pas descendus à son hôtel. Ce qui signifie que, comme nous nous en sommes aperçus, ils le surveillent de près, mais aussi qu’ils sont très attentifs à ce que lui ne les voie pas. C’est un élément qui donne à penser.
– À penser quoi?
– À penser que… Oh! oh! Mon cher ami, que diable se passe-t-il?»
Comme nous arrivions en haut de l’escalier, nous nous étions heurtés à sir Henry Baskerville en personne. Il avait le visage empourpré de fureur, et il tenait à la main un vieux soulier poussiéreux. Il était si en colère qu’il pouvait à peine articuler; quand il retrouva l’usage de la parole, ce fut pour employer un langage beaucoup plus américain que celui dont il avait usé le matin.
«J’ai l’impression qu’on me prend ici pour un pigeon! cria-t-il. Si l’on me cherche, on me trouvera. Nom d’un tonnerre, si ce type ne peut pas retrouver le soulier qu’il m’a kidnappé, ça fera du bruit! Je ne déteste pas la plaisanterie, Monsieur Holmes, mais cette fois-ci on va un peu fort!
– Vous chercher encore votre soulier?
– Oui, monsieur. Et je le trouverai!
– Vous m’aviez bien dit que c’était un soulier neuf marron?
– C’était en effet un soulier neuf marron, monsieur. Et c’est un vieux soulier noir qu’on me vole maintenant!
– Comment! Vous ne voulez pas dire?…
– Si, si! c’est exactement ce que je veux dire. J’avais en tout et pour tout trois paires de chaussures: la neuve marron, la vieille noire, et la vernie que j’ai aux pieds. La nuit dernière on m’a volé un soulier marron, et aujourd’hui on m’a piqué une chaussure noire. Alors, vous l’avez retrouvée? Parlez, au moins! Ne roulez pas les yeux en billes de loto!»
Un valet de chambre allemand, fort ému, venait d’apparaître.
«Non, monsieur. J’ai cherché dans tout l’hôtel, mais je n’ai rien trouvé.
– Écoutez-moi: ou bien ce soulier me sera rendu avant ce soir, ou bien je me rends chez le directeur pour lui annoncer que je quitte immédiatement cet hôtel.
– On le retrouvera, monsieur… Je vous jure que, si vous avez un peu de patience, on le retrouvera!
– Je l’espère! Car ce sera le dernier objet que je perdrai dans cette caverne de voleurs… Monsieur Holmes, pardonnez-moi de vous agacer avec de semblables bagatelles…
– Je pense qu’elles valent la peine qu’on s’en occupe.
– Comment! Vous voilà tout grave…
– Avez-vous une explication à m’offrir?
– Moi? Mais je n’essaie même pas d’expliquer! C’est la chose la plus folle, la plus étrange qui, je crois, m’est arrivée.
– La plus étrange, soit! dit Holmes en réfléchissant.
– Qu’en pensez-vous?
– Ma foi, je ne prétends pas m’être déjà fait une opinion. Votre affaire est très compliquée, très complexe, Sir Henry. Quand je relie toutes ces incidences à la mort de votre oncle, je me demande si parmi les cinq cents affaires capitales dont j’ai eu à m’occuper, il s’en est trouvé une avec des ramifications d’une aussi grande profondeur Heureusement, nous tenons quelques fils; l’un ou l’autre nous conduira bien à la vérité: il se peut que nous perdions du temps en suivant une mauvaise piste, mais tôt ou tard nous tomberons sur la bonne.»
Nous déjeunâmes fort agréablement, sans faire beaucoup d’allusions à l’affaire qui nous avait réunis. Holmes attendit que nous ayons pris place dans le petit salon attenant à la chambre de Sir Henry pour lui demander quelles étaient ses intentions.
«Je vais me rendre à Baskerville Hall.
– Quand?
– À la fin de la semaine. À tout prendre, répondit Holmes, je crois que votre décision est sage. J’ai toutes mes raisons de croire que vous êtes surveillé à Londres; parmi les millions d’habitants de cette grande ville, il est difficile de découvrir qui sont ces gens et ce qu’ils veulent. S’ils projettent de noirs desseins, ils peuvent vous faire du mal, et nous serions impuissants à l’empêcher. Vous ne saviez pas, docteur Mortimer, que vous avez été suivis ce matin sitôt sortis de chez moi?»
Le docteur Mortimer sursauta.
«Suivis? Et par qui?
– Hélas, je ne saurais vous le dire. Au nombre de vos amis ou connaissances dans Dartmoor, voyez-vous un homme avec une grande barbe noire?
– N… non! Attendez! Si. Barrymore, le maître d’hôtel de Sir Charles, porte une grande barbe noire.
– Ah! Où est Barrymore?
– Il garde le manoir.
– Je voudrais bien vérifier s’il est là-bas, ou s’il ne se trouve pas par hasard à Londres.
– Comment le savoir?
– Donnez-moi une formule de télégramme. Tout est-il prêt pour Sir Henry? Adresse: M. Barrymore, Baskerville Hall. Quel est le bureau de poste le plus proche? Grimpen. Très bien. Nous filons envoyer un deuxième télégramme au chef du bureau de poste de Grimpen: «Télégramme pour M. Barrymore, à remettre en main propre. Si absent, prière de renvoyer le télégramme à Sir Henry Baskerville, Northumberland Hotel.» Avant ce soir, nous devrions être fixés, et savoir si Barrymore est fidèle à son poste dans le Devonshire.
– D’accord! dit Baskerville. À propos, docteur Mortimer, qui est ce Barrymore?
– Le fils du vieux concierge décédé. Depuis quatre générations, les Barrymore sont les gardiens du manoir. Pour autant que je sache, lui et sa femme forment un couple tout à fait respectable.
– En tout cas, observa Baskerville, tant que personne ne loge au manoir, ces gens jouissent d’une demeure agréable et n’ont rien à faire.
– C’est vrai!
– Est-ce que ce Barrymore a été avantagé dans le testament de Sir Charles? s’enquit Holmes.
– Lui et sa femme ont reçu chacun cinq cents livres.
– Ah! Savaient-ils qu’ils recevraient cette somme?
– Oui. Sir Charles aimait beaucoup parler de ses dispositions testamentaires.
– Voilà qui est très intéressant!
– J’espère, dit le docteur Mortimer, que vous ne soupçonnerez pas tous ceux qui ont reçu un legs de Sir Charles, car il m’a laissé mille livres.
– Vraiment! Et quels ont été les autres bénéficiaires?
– Des sommes insignifiantes ont été versées à divers individus et à des œuvres de charité. Tout le reste revient à Sir Henry.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Le Chien Des Baskerville»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Le Chien Des Baskerville» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Le Chien Des Baskerville» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.