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Frédéric Dard: Mesdames, vous aimez « ça » !

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Frédéric Dard Mesdames, vous aimez « ça » !

Mesdames, vous aimez « ça » !: краткое содержание, описание и аннотация

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La vérité ? Rarement je suis passé aussi près de la grande faucheuse que dans ce book. Un tout petit peu plus, c'était : « bon suaire, m'sieurs-dames » sur l'air des lampions. Et tout ça, tu veux que je te dise ? A cause d'une gentille opticienne qui n'avait pas mis de culotte pour faire sa vitrine. Nous autres tringleurs, on est peu de chose, tu sais ! Pendant que j'y pense : n'en parle pas à maman, elle se ferait du mouron. Tu connais Félicie !…

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Rien à espérer de lui. Tchao !

Maintenant, s’agit de consoler Annie ; je la vois mal partante pour faire un sort au gigot froid ! Pour désensabler sa joie de vivre, va me falloir un rude tracteur, je te le dis. Que je lui sorte le grand jeu, et pas de ma culotte, espère. L’heure du chauve à col roulé est passée. Empaffer une sœur en larmes, c’est pas du sport d’appartement ! Ça m’est arrivé, mais je me faisais l’effet d’un affreux satyre violeur de chagrin, qu’à la fin, tu sais plus où fourrer ta grosse bitoune à veine bleue. Je dois absolument frapper un grand coup. Procéder à un électrochoc carabiné.

Alors, tu sais quoi ? Non, y a que moi, je te jure ! Voilà que je lui déclare d’un ton décidé :

— Je devais prendre dix jours de vacances à partir de la semaine prochaine, mais je vais les avancer et, au lieu d’aller chez des amis à Marrakech, j’irai à Bangkok pour y rechercher votre petite Rosy !

Alors là, ça lui produit un sacré effet ! Elle est prête à me lécher des pieds à la tête, quand bien même je porterais des bottes d’égoutier qui viendraient de servir.

— Vous feriez ça ? hoquette-t-elle. Vous, San-Antonio, vous feriez une chose pareille ?

— Oui, ma chère petite. Allons, ne pleurez plus et buvons cet excellent vin sans lequel la France ne serait pas tout à fait la France.

Bientôt, le divin breuvage achève d’assécher sa peine, comme l’a si ravissamment écrit la comtesse de Paris (née Rostopchine) dans ses mémoires.

Il fait affreusement chaud dans mon bureau (une initiative aussi conne que thermostatique de la femme de ménage qui est mauricienne par sa mère et un ami de son père et que, donc, nos climats de merde incommodent), alors j’induis mon invitée à déjeuner nue.

Tout en remplissant son verre, je me dis que si l’élastique de sa culotte ne lui avait pas meurtri le frifri, je ne partirais pas pour Bangkok demain.

A quoi tiennent les choses…

Et les miennes, donc !

Cela dit, elle a la reconnaissance du ventre, l’Annie chérie. Toujours, les dames de cet âge, quand se profile la perspective de la morille déshydratée à pas très longue déchéance, dirait le Gros. En attendant, on s’offre une bioutifoule partie de régalade, pleine d’ingéniosités techniques. Pas la fourrée en trombe, comme naguère dans sa salle d’examens, mais la queutée intello, faisant appel à une expérience dûment affûtée. Le badigeon de l’écailler, pour commencer : ça plaît toujours. Dans sa phase deux, la main de masseur intervient pour porter à l’incandescence ; ensuite, c’est l’enfilade du Louvre, très élitiste et qui réchauffe davantage qu’un Viandox au sel de céleri.

Je joue de ses sens comme un archange du luth. Quand elle va s’engager sur le chemin fleuri de la pâmade, je passe à un autre exercice qui, sans la déconcentrer, bien au contraire, l’expédie dans des zones éthérées. Stopper une chevauchée gaucho pour une feuille de rose dans la forêt viennoise, façon Strauss, la nière n’y perd pas au change, que je suce ?

Ainsi la prolonge-t-elle-je durant près d’une plombe dans une accumulation de délices qui ont bien raison d’être féminins au pluriel. Quand, n’en pouvant plus de longer sans cesse les rives du fleuve panard sans parvenir à y plonger, elle m’implore de la finir, je serre à bloc mes cale-pieds pour le sprint final. Quelque part (si j’ose dire), je dois pulvériser un record car elle continue d’aboyer longtemps après qu’elle ait donné carte blanche à ses salivaires australes.

Son raffut est si grand que le planton m’appelle au turluphone :

— Besoin de quelque chose, monsieur le directeur ?

— Oui, d’un bidet, lui réponds-je. Mais je sais où en trouver un.

OPÉRATION À GLAGLA !

Bien sûr, toi qui es au courant de beaucoup de choses me concernant, tu connais le studio coquin qui jouxte mon bureau, comme disent les terrassiers portugais. Ce lieu de haulte baise fut conçu et réalisé par le Dabe, à une époque où il pouvait encore honorer les donzelles qu’il recrutait grâce aux bons offices d’une dame maquerelle de la bonne société dont toutes les pensionnaires prenaient leur pied à l’imparfait du subjonctif.

Je me suis laissé dire qu’il les engageait à forfait, pour une quinzaine, et qu’il réglait à la bordelière le montant de cette location afin de n’avoir aucune basse question de fric à débattre avec les charmantes camarades en slip arachnéen, bas résille et porte-jarretelles noir brodé de fleurettes adorables.

Quand je réponds au planton que seul un bidet en état de marche peut répondre à mes besoins, c’est à celui du fripon studio que je pense.

J’y pilote la tendre Annie et, quelle n’est pas notre stupeur embarrassée que d’y découvrir le vieil Achille allongé sur le canapé-lit, tout habillé, un bras derrière sa calvitie, en train de regarder l’écran blanc du plafond.

Annie pousse un nouveau cri et court cacher sa nudité extrême derrière ses harnais.

— Charmante personne, approuve le Dabe, et qui jouit de manière fort sympathique. Mes sincères félicitations, mon petit, vous l’avez comblée d’une façon exceptionnelle. Fichtre, quelle troussée mémorable. Et moi, vieux docteur Faust, d’écouter tout cela en conservant entre mes jambes ce triste morceau de chair rabougrie dont un chacal affamé ne voudrait pas ! Vos ébats étaient aphrodisiaques, mais je les percevais comme un poème dont j’avais oublié les rimes ! Ah ! l’âge, mon pauvre ami, l’âge, quel effroyable « maudissement », si j’ose ce néologisme. Profitez-en bien, mon garçon. Un jour viendront l’impuissance et la gloire, mais vous n’aurez que faire de cette misérable prime de consolation. Dites à cette exquise personne d’entrer, que je ne mords pas. A peine léché-je encore, par habitude et pour me rappeler le goût merveilleux d’une chatte.

Il appelle, à la cantonade :

— Venez, chère petite madame, n’ayez point honte d’une nudité qui vous va si bien !

Comme notre opticienne n’est pas bégueule, elle réapparaît, tenant sa jupe devant son sexe et son bras gauche devant sa poitrine, mais c’est là paravent insuffisant.

Pépère lui sourit tendre.

— Approchez, asseyez-vous sur ce canapé sans vous soucier de le tacher, il en a vu d’autres. Vous sentez la jouissance ! Quel parfum miraculeux. Pourquoi aucun maître parfumeur n’a-t-il songé à créer quelque eau de toilette masculine intitulée : « Après l’amour », ou bien « Fleur de Foutre » tout simplement !

— J’ignorais que vous fussiez là, balbutié-je (éjectable).

— Heureusement. Cela m’a permis de tout entendre.

— Vous êtes seul ? demandé-je en désignant la porte du cabinet de toilette.

— Hélas, Antoine, hélas. Vous ne pouvez imaginer combien un dimanche pèse lourd, à mon âge. Dans mon grand hôtel particulier peuplé seulement d’œuvres d’art, j’ai craqué. J’emmerde mes Watteau et mes Fragonard, voyez-vous. Mon Toulouse-Lautrec me flanque des aigreurs d’estomac, et si je n’avais un débit prostatique, je pisserais contre le bureau Mazarin du salon. Epouvanté par ma solitude, je suis venu ici pour y évoquer le passé. Et grand bien cela m’a fait puisque j’ai eu le privilège d’entendre jouir madame. Jour de chance, mon petit. Merci à vous deux qui baisez si bien !

« Cela dit, j’ai également écouté votre communication téléphonique avec l’ambassadeur de France en Thaïlande. A travers votre conversation et celle que vous eûtes après, avec cette charmante, j’ai réalisé ce qu’il se passait. Vous avez bigrement raison, Antoine, d’aller là-bas. Sage décision. Jamais vous ne sauriez mieux employer vos vacances. Et savez-vous l’idée qui m’est venue ? Je vais me joindre à vous, mon vieux lapin. J’ai besoin de me débarrasser de ces toiles d’araignée qui m’entravent. De l’action ! Oui, Antoine, il m’en faut, mon médecin est formel sur ce point. »

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