Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

Здесь есть возможность читать онлайн «Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Город: Paris, Год выпуска: 1997, ISBN: 1997, Издательство: Grasset, Жанр: Иронический детектив, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Deux fois n’est pas coutume»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

Deux fois n’est pas coutume — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Deux fois n’est pas coutume», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

— Ah ouais. Ben, tu veux savoir ce que j’en dis ?

Il me tourna le dos, baissa son pantalon aux chevilles et se pencha en avant.

— Tu peux toujours compter les poils de mon cul !

Il était tourné dans le mauvais sens pour que je lui mette du gaz lacrymogène dans le nez, aussi je plongeai une main dans la poche de mon Levi’s et en sortis le boîtier paralysant. Je ne m’en étais jamais servi, mais ça ne me paraissait pas très compliqué. J’appuyai fermement ce gadget dans le gras de la fesse d’Eugène et pressai sur la détente. Eugène poussa un cri bref et perçant et s’écroula par terre tel un sac de farine.

— Oh, mon Dieu ! s’écria Kitty. Qu’est-ce que vous lui avez fait ?

Je considérai Eugène qui gisait, inerte, le regard vitreux, cul nu. Il respirait avec un peu de difficulté, mais je me dis que c’était normal chez quelqu’un qui venait de prendre assez de jus pour éclairer une petite pièce. Il avait le teint ni plus ni moins blafard que tout à l’heure.

— Boîtier paralysant, dis-je. Si l’on en croit la notice, il ne laisse aucune séquelle.

— Quel dommage. Moi qui espérais que vous l’aviez tué.

— Et si vous lui remontiez son pantalon ? suggérai-je à Kitty.

Le monde était suffisamment hideux sans que je doive en plus admirer les bijoux de famille d’Eugène.

Une fois qu’elle l’eut reculotté, je le titillai du bout de ma chaussure et obtins une réaction minimale.

— Je pense qu’il vaut mieux qu’on le porte jusqu’à ma voiture avant qu’il ne se réveille.

— Comment on va faire ? demanda Kitty.

— J’ai bien peur qu’on doive le tirer.

— Pas question. Je ne veux pas me mêler de ça. Bon Dieu, ce serait terrible. Il me ferait voir les trente-six chandelles si jamais je faisais ça.

— Il ne pourra pas vous battre s’il est en prison.

— Non, mais quand il sortira.

— Si vous êtes encore là.

Eugène remua mollement les lèvres, et Kitty cria.

— Il va se relever ! Faites quelque chose, il va se relever !

Je n’avais pas vraiment envie de lui refiler un supplément de volts. Je me disais que ça la ficherait mal si je le traînais au poste les cheveux en tire-bouchons. Aussi je le saisis par les chevilles et le fis glisser vers la porte.

Kitty courut au premier et, aux bruits de tiroirs ouverts à toute volée, je conclus qu’elle faisait ses paquets.

Je réussis à sortir Eugène de la maison et à le traîner sur le trottoir jusqu’à la Buick. Mais, sans aide, il m’était impossible de le charger dans la voiture.

J’aperçus Kitty qui rassemblait des valises et des sacs de voyage dans la pièce de devant.

— Kitty ! lui criai-je. J’ai besoin d’un coup de main !

Elle regarda par la porte ouverte.

— Quel est le problème ?

— Je n’arriverai pas à le hisser dans la voiture.

Elle se mordilla la lèvre inférieure.

— Il est conscient ? demanda-t-elle.

— Il y a conscient et conscient. Lui, il ne le serait plutôt pas trop.

Elle fit un petit pas en avant.

— Il a les yeux ouverts.

— Peut-être, mais révulsés. Je ne pense pas qu’il y voie grand-chose.

Pour toute réponse, les jambes d’Eugène se mirent à tressauter.

On le prit chacune sous un bras et on le souleva à hauteur d’épaules.

— Ç’aurait été plus facile si vous vous étiez garée plus près, me dit Kitty, tout essoufflée. Vous êtes à mi-hauteur de la rue.

Je repris mon équilibre sous notre fardeau.

— Je ne peux me garer sur le trottoir que s’il y a un parcmètre qui me serve de repère.

On unit nos efforts pour le soulever et on plaqua contre l’arrière de la voiture le pantin désarticulé qu’était Eugène. On le flanqua sur la banquette arrière et je le menottai à la barre du dosseret, où il resta accroché comme un punching-ball.

— Qu’est-ce que vous allez faire ? demandai-je à Kitty. Vous savez où aller ?

— Chez une amie dans le Nouveau-Brunswick. Elle pourra m’héberger quelque temps.

— N’oubliez pas de signaler votre nouvelle adresse au tribunal.

Elle fit oui de la tête et courut jusque chez elle. Je sautai au volant et me faufilai à travers le Bourg jusqu’à Hamilton Avenue. La tête d’Eugène bringuebalait au gré des virages, mais à part cela, le trajet jusqu’au poste de police se passa sans incident notable.

Je roulai jusqu’à l’arrière du bâtiment, descendis de la Buick, pressai sur le bouton d’appel sur la porte coupe-feu qui donnait sur l’accueil et me reculai pour faire un signe de la main à la caméra de surveillance.

La porte s’ouvrit instantanément et Crazy Cari Costanza passa sa tête qu’il tourna vers moi.

— C’est pour quoi ? fit-il.

— Une livraison de pizza.

— Mentir à un flic est un délit.

— Aide-moi à faire sortir ce type de ma voiture.

Cari se balança sur ses talons et sourit.

— Quoi ? Ça, c’est ta voiture ?

Je me rembrunis.

— Elle te donne des idées ? lui fis-je.

— Bon Dieu non. Je suis politiquement correct, moi. Je ne délire pas sur les femmes qui ont des gros cylindres.

— Elle m’a électrocuté, geignit Eugène. Je veux parler à mon avocat.

Cari et moi échangeâmes un regard.

— C’est dingue ce que l’alcool peut faire comme ravages, dis-je, démenottant Eugène. Il peut faire dire les pires âneries.

— Tu ne l’as pas vraiment électrocuté, hein ?

— Bien sûr que non !

— Tu lui as brouillé ses neurones ?

— Je lui ai buzzé les fesses.

Le temps que j’obtienne mon reçu, il était plus de six heures. Trop tard pour passer se faire payer à l’agence. Je me baguenaudai un moment dans le parking, regardant à travers le grillage l’assortiment composite de petits commerces sur le trottoir d’en face. L’église du Tabernacle, une modiste, un dépôt-vente, une épicerie au coin. Je n’y avais jamais vu aucun client et je me demandais comment ces commerçants faisaient pour survivre. Je supposai que c’était précaire, même si, apparemment, les boutiques tenaient le coup. Leurs devantures ne changeaient jamais. Vous me direz, le bois fossilisé non plus.

Craignant que mon taux de cholestérol n’ait chuté durant la journée, je décidai de faire un saut chez Popeye. Je lui achetai une part de poulet frit et une salade de chou rouge à emporter, et d’un coup de voiture, je nous trimbalai, mon petit plat et moi, jusqu’à Paterson Street où je me garai en face de chez Julia Cenetta. Je me disais que je serais aussi bien là qu’ailleurs pour manger et que, qui pouvait savoir, j’aurais peut-être la chance que Kenny passe par là.

Je finis le poulet, mangeai un peu de chou rouge, éclusai un soda et me dis que je ne pouvais pas rêver mieux. Pas de Spiro, pas de vaisselle à faire, le pied !

La lumière brûlait chez Julia, mais les doubles rideaux étaient tirés. Je ne pouvais donc pas aller zieuter au carreau. Il y avait deux voitures dans l’allée. Je reconnus celle de Julia, et je supposai que l’autre devait appartenir à sa mère.

Une voiture dernier modèle se gara le long du trottoir. Un type blond et baraqué en descendit et alla à la porte de la maison. Julia lui ouvrit, en jean et veste. Elle cria quelque chose par-dessus son épaule à quelqu’un derrière elle et sortit. Le blond et Julia s’embrassèrent dans la voiture pendant quelques minutes. Puis le blond mit le contact et les deux tourtereaux s’éloignèrent. Je repasserais pour Kenny.

Je partis pleins gaz pour Vic’s Video où je louai la cassette de S.O.S. Fantômes, mon film-culte et ma source d’inspiration préférée. J’en profitai pour faire une provision de pop-corn, des Fingers, un paquet de petits pots de beurre de cacahuètes, une boîte de chocolat instantané et des guimauves. Et après on dira que je ne sais pas m’éclater !

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Deux fois n’est pas coutume»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Deux fois n’est pas coutume» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Janet Evanovich - Hot Stuff
Janet Evanovich
Janet Evanovich - The Grand Finale
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Amor Comprado
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Bastardo numero uno
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Full Scoop
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Full Blast
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Full Speed
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Wicked Appetite
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Visions Of Sugar Plums
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Motor Mouth
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Dos Por La Pasta
Janet Evanovich
Janet Evanovich - Wytropić Milion
Janet Evanovich
Отзывы о книге «Deux fois n’est pas coutume»

Обсуждение, отзывы о книге «Deux fois n’est pas coutume» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x