Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

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Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

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Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

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— Vous pourriez me la décrire ?

— Assez grosse, genre camionnette de déménagement. Pas un semi-remorque, non. Le genre qui peut contenir le mobilier d’un deux-pièces. Et ce n’était pas un véhicule de location. Il était blanc avec une raison sociale écrite sur la portière, mais il était trop loin du bureau pour que je puisse lire.

— Vous avez vu le chauffeur ?

— Non, désolée. Je n’y ai pas prêté attention. J’avais mes factures à faire.

Je la remerciai et on raccrocha. Difficile de dire si ce tuyau valait quelque chose. Il devait y avoir une bonne centaine de camionnettes à Trenton qui correspondaient à cette description.

Quand j’arrivai à la table, Morelli leva vers moi un regard interrogateur.

— Alors ? fit-il.

— Elle n’a rien trouvé, mais elle se souvient avoir vu une camionnette blanche avec une raison sociale en lettres noires sur la portière faire plusieurs allers-retours à la fin du mois dernier.

— Voilà qui limite nos recherches.

Ranger, qui avait sucé les os de ses côtelettes, jeta un coup d’œil à sa montre et repoussa sa chaise.

— J’ai un mec à voir, dit-il.

Morelli et lui se livrèrent à quelques frappements de mains rituels, et Ranger partit.

Morelli et moi mangeâmes en silence pendant un moment. Manger était l’une des rares activités physiques que nous partagions avec décontraction. Une fois avalé le dernier haricot vert, nous poussâmes à l’unisson un soupir de satisfaction et, d’un signe, demandâmes l’addition.

Même si Big Jim ne pratiquait pas les tarifs d’un restaurant cinq étoiles, il ne me resta plus grand-chose dans mon porte-monnaie une fois que j’eus payé mon écot. C’était le moment d’aller voir si Connie n’avait pas des arrestations faciles à me proposer.

Morelli s’était garé dans la rue. J’avais préféré laisser le mastodonte dans un parking public un peu plus bas. Nous sortîmes du restaurant. Morelli partit de son côté et moi du mien en me disant qu’après tout, une voiture en valait bien une autre. Qu’est-ce que ça pouvait faire que des gens me voient au volant d’une Buick 1953 ? C’était un moyen de transport comme un autre, non ? Mais oui ! C’était d’ailleurs la raison pour laquelle je m’étais garée à cinq cents mètres de là dans un parking souterrain.

Je regagnai la voiture et pilotai le long de Hamilton Avenue, passai devant la station-service de Delio et devant chez Perry Sandeman, et repérai une place juste devant l’agence de cautionnement. Plissant les yeux, je jaugeai le capot bleu ciel en me demandant où finissait ce paquebot. J’avançai au pas, montai sur le trottoir et touchai le parcmètre. Je me dis que j’étais assez près, coupai le contact, descendis de voiture et verrouillai la portière.

Connie était assise à son bureau, la mine encore plus renfrognée que d’habitude. Elle fronçait ses sourcils noirs et fournis d’un air menaçant, et sa bouche ne formait plus qu’une fine balafre peinte en rouge sang. Des dossiers à classer étaient empilés sur les meubles de rangement, et son bureau était un fatras de feuilles volantes et de tasses à café vides.

— Alors, lançai-je, comment va ?

— Évite de me poser cette question.

— Personne n’a encore été embauché ?

— Elle commence demain. En attendant, je ne peux rien trouver de ce que je cherche parce que c’est le foutoir !

— Tu devrais demander à Vinnie de t’aider.

— Il n’est pas là. Il est parti en Caroline du Nord avec Mo Barnes pour coincer un Défaut de Comparution.

Je pris une pile de chemises et commençai à les classer par ordre alphabétique.

— Je suis provisoirement dans l’impasse avec Kenny Mancuso. Rien de nouveau qui te semblerait une prise facile ?

Elle me tendit plusieurs fiches agrafées les unes aux autres.

— Eugène Petras ne s’est pas présenté au tribunal hier. Sans doute chez lui, rond comme une barrique à ne pas savoir quel jour nous sommes.

Je parcourus son dossier. Eugène Petras était domicilié dans le Bourg. Il était poursuivi pour violence conjugale.

— Je devrais le connaître ?

— Tu connais peut-être sa femme, Kitty. Son nom de jeune fille, c’était Lukach. Elle doit avoir deux ou trois ans de moins que toi.

— C’est la première fois qu’il se fait arrêter ?

— Non. Il a un lourd passé. C’est un abruti de première. Chaque fois qu’il a un verre dans le nez, il tabasse sa femme. Parfois, il va trop loin et elle est hospitalisée. Parfois, elle porte plainte, mais elle finit toujours par la retirer. La peur, je suppose.

— Charmant. Sa caution s’élève à combien ?

— Deux mille dollars. La violence conjugale n’est pas très cotée à la bourse des délits…

Je me mis le dossier sous le bras.

— À plus tard, dis-je.

Kitty et Eugène habitaient dans une maison étroite qui faisait l’angle de Baker Street et de Rose Street, juste en face de l’ancienne fabrique de boutons Milped. L’entrée, de plain-pied avec la rue, ne bénéficiait ni d’un jardinet ni d’un porche. La façade en bardeaux était recouverte d’un crépi lie de vin, et les encadrements de fenêtres peints en blanc. Les doubles rideaux de la pièce sur rue étaient tirés. Pas de lumière aux fenêtres du premier.

Ma bombe lacrymo était à portée de main dans la poche de mon blouson, et mes menottes et mon boîtier paralysant dans celles de mon Levi’s. Je frappai à la porte, et entendis une cavalcade à l’intérieur. Je frappai de nouveau, et cette fois une voix masculine beugla des paroles incompréhensibles. Puis j’entendis d’autres bruits de pas, traînants cette fois, et la porte s’ouvrit.

Une jeune femme me dévisagea de derrière une chaîne de sécurité.

— Oui ? fit-elle.

— Kitty Petras ?

— Qu’est-ce que vous voulez ?

— Je voudrais voir votre mari. Il est là ?

— Non.

— C’est curieux, je viens pourtant d’entendre une voix d’homme. J’ai bien cru reconnaître celle d’Eugène.

Kitty Petras était mince comme un fil, avec de grands yeux marron qui lui mangeaient le visage. Elle n’était pas maquillée. Ses cheveux châtains étaient coiffés en queue de cheval. Elle n’était pas jolie, mais pas dénuée de charme. En gros, elle était banale. Elle avait ces traits passe-partout que les femmes battues acquièrent d’année en année à force de vouloir se faire petites.

Elle me lança un regard las.

— Vous connaissez Eugène ?

— Je travaille pour son agence de cautionnement. Eugène ne s’est pas présenté au tribunal hier, et nous aimerions le reconvoquer.

Pas vraiment un mensonge ; plutôt une demi-vérité. Il lui serait signifié une autre date d’audience… jusqu’à laquelle il resterait enfermé dans une cellule miteuse et malodorante.

— Je ne sais pas…

Eugène apparut dans mon champ visuel délimité par l’entrebâillement de la porte.

— Qu’est-ce qui se passe ?

Kitty fit un pas de côté.

— Cette dame voudrait te reconvoquer au tribunal.

Eugène avança le visage. Tout en nez, menton, yeux porcins injectés de sang, et haleine cent degrés d’alcool.

— Quoi ?

Je lui répétai mon laïus au sujet de la nécessité de convenir d’une date pour une nouvelle audience, et me poussai de côté de façon qu’il soit obligé d’ouvrir davantage la porte s’il voulait me voir.

Le coulisseau de la chaîne se libéra et s’en alla cogner contre le montant de la porte.

— Vous me faites marcher, c’est ça ?

Je me glissai dans l’entrebâillement de la porte, ajustai mon sac à mon épaule et mentit effrontément.

— Cela ne vous prendra que quelques minutes. Il s’agit simplement de faire un saut au poste de police pour convenir d’une nouvelle date.

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