Paul Gaffarel - Bonaparte et les Républiques Italiennes (1796-1799)
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Bonaparte et les Républiques Italiennes (1796-1799): краткое содержание, описание и аннотация
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L'archiduc Ferdinand était accusé de spéculer sur les grains. Le fameux peintre Gros fit sa caricature sous la forme d'un cochon, dont un soldat français ouvrait le ventre, pour en extraire le grain mal acquis. Il se vendit en un jour vingt mille exemplaires de ce dessin. Voir Stendhal, Chartreuse de Parme , § 1 er.
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On lui avait adjoint le décurion Giuseppe Resta.
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Lettre de Marmont à son père (Milan, 15 mai 1700) insérée dans les Mémoires du maréchal (t. I, p. 322). «Mon tendre père, nous sommes aujourd'hui à Milan. Hier, nous y avons fait notre entrée triomphale. Elle m'a donné l'idée de l'entrée à Rome des anciens généraux romains, lorsqu'ils avaient bien mérité de la patrie. Je doute que l'ensemble de l'action offrit un coup d'œil, un spectacle plus beau et plus ravissant. Milan est une très grande ville, très belle et très peuplée. Les habitants aiment les Français a la folie, et il est impossible d'exprimer toutes les marques d'attachement qu'il nous ont données.»
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Verri, cité par Cantu, Histoire des Italiens , t. XI, p. 01. Cf. les premières pages de la Chartreuse de Parme , par Stendhal. Ce n'est qu'un roman, mais qui, par la précision des détails et l'exactitude des descriptions, vaut bien des livres d'histoire.
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Dans sa Vie de Napoléon (p. 127), Stendhal est revenu sur ce dénuement de l'armée d'Italie. Il raconte que le lieutenant Robert possédait pour toute chaussure des empeignes, mais dépourvues de semelle. Deux officiers n'avaient à eux deux qu'un pantalon de Casimir couleur noisette et une longue redingote croisée sur la poitrine, plus trois chemises, le tout misérablement rapiécé. Ce fut seulement à Plaisance que ces deux officiers, qui venaient de toucher quelques pièces de monnaie sur leur solde arriérée, purent compléter leur garde-robe. – Cf. Moniteur du 7 juin 1796.
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On citait alors parmi ces Milanaises M meVisconti, qui inspira à Berthier une passion si persistante, M meGrassini, qui aima Bonaparte, M meLambert, jadis distinguée par l'empereur Joseph II, M meMonti, la femme du poète, M meRuge, femme d'un avocat qui plus tard devint Directeur, M mePietra Grua Marini, femme d'un médecin, etc.
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Il n'y eut qu'un seul homme, un acteur, Marchesi, qui eut le courage de rester fidèle à ses opinions. Il refusa de chanter au théâtre en l'honneur des Français. Voir Alfieri, Miso Gallo , ép. XXIV, note 36. Le général Dupuy lui intima l'ordre de quitter Milan dans les vingt-quatre heures. Par grâce, Berthier lui permit de rester enfermé dans une maison de campagne qui lui appartenait. Pourtant, dès l'année suivante, Marchesi, qui se trouvait alors à Gênes, ne refusa pas, dans l'opéra de Sauli intitulé: Il Trionfo della Liberta , le rôle du dieu Mars combattant pour l'humanité oppressée. Cf. Masi: Parruche e Sanculotti , p. 337. D'après Botta (liv. VI, p. 430): «D'innombrables écrits furent publiés à la louange de Bonaparte bien plus qu'à la louange de la liberté. Il faut le dire, les Italiens se répandirent alors en adulations dégoûtantes. Celui-ci l'appelait Scipion, cet autre Annibal, le républicain Ranza le nommait Jupiter.»
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Arrêté du 10 mai 1796.
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La municipalité de Milan comptait seize membres: Visconti, Caccianini, Serbelloni, Lattuada, Bignami, Corbetta, Sopransi, Poro, Verri, Pioltini, Sommariva, Sangiorgio, Crespi, Pelegata, Ciani, Parea.
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Correspondance , t. I, p. 322 (Milan, 24 mai 1796). Cf. lettre aux municipalités de Milan et de Pavie (Milan, 24 mai 1796. Corresp. , t. I, p. 323): «Je désire, Messieurs, que l'Université de Pavie, célèbre à bien des titres, reprenne le cours de ses études. Faites donc connaître aux savants professeurs et aux nombreux écoliers de cette Université que je les invite à se rendre de suite à Pavie, et à me proposer les mesures qu'ils croiront utiles pour activer et redonner une existence plus brillante à la célèbre Université de Pavie.»
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Correspondance , t. I, p. 286. Milan, 17 mai 1797.
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Correspondance , t. I, p. 298.
15
Correspondance , t. I, p. 300.
16
Correspondances t. I, p. 292. État des objets de sciences et arts désignés par le général Bonaparte pour être emportés à Paris.
17
Milan, 21 mai 1796. Corresp. , t. I, p. 312.
18
Peschiera, 1 erjuin 1796. Corresp. , t. I, p. 346.
19
Cf. Lettre au Directoire (8 mai 1796. — Correspondance , t. I, p. 291). «J'ai fait passer à Torlone pour au moins deux millions de bijoux et d'argent en lingots, provenant de différentes contributions. Ils attendront là jusqu'à ce que vous ayez donné des ordres pour leur destination ultérieure.»
20
Alfieri, Misogallo , épigramme LXI. Traduction inédite d'Hugues.
21
Modène, 17 octobre 1796. Corresp. , t. II, p. 58.
22
Correspondance , t. I, p. 295. Lettre de Bonaparte à la municipalité de Milan.
23
Rosa. Il sacco di Pavia , 1797. – Muoni. Binasco , studi storici, 1864.
24
Ces otages, auxquels on joignit ceux de Pavie, furent jetés en voiture, avec escorte de cavalerie, conduits à Tortone, puis à Cuneo, et enfin à Nice. Ils revinrent les uns après les autres, mais après avoir fait très humblement leur soumission. Voir G. de Castro, ouv. cit., t. I, p. 87-88. – Cf. Correspondance , t. I, p. 135. Lettre de Bonaparte au général Despinoy.
25
Proclamation aux habitants de la Lombardie, Milan, 25 mai 1796. Correspondance , t. I, p. 323.
26
Botta (VII, p. 473) reconnaît pour tant que les soldats se contentèrent de voler, de violer et de brûler: ils ne tuèrent pas. «N'oublions pas de dire que, parmi ces violations de la propriété, ces insultes à la chasteté, le sang du moins ne rougit pas les mains du vainqueur, sujet bien digne, je ne dirai pas de surprise, mais des plus grands éloges, puisque le soldat trouvait à la fois impunité et profit.»
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Lettre au Directoire, 1 erjuin 1796, Correspondance , t. II, p. 34. – L'ordre avait été donné de respecter les bâtiments de l'Université et les maisons des professeurs. Il fut scrupuleusement exécuté.
28
Lanfrey, Histoire de Napoléon 1 er , t. I.
29
Vérone, 9 août 1796. Correspondance , t. I, p. 533.
30
Cusani. Storia di Milano , V, 10.
31
Ordre. Milan, 13 juillet 1797. Correspondance , t. III, p. 179: «Le général en chef, instruit que la tranquillité publique a été un moment troublée à Milan, que l'on n'y a pas vu sans quelque inquiétude des individus vêtus d' habits dits carrés , forme d'habillement signalée dans l'opinion comme tenant à un parti, défend à tout individu tenant à l'armée de porter des habits dits carrés, sous peine d'être arrêté et puni comme perturbateur»
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