Brown, Dan - Da Vinci code
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— Corruption ? fit Sophie.
— Diplomatie créative. Biggin Hill est un petit aéroport d'affaires, qui tolère certaines petites anomalies... Un officier des douanes m'accueillera certainement à la sortie du hangar.
S'il demande à monter à bord de l'avion, je lui dirai que je voyage avec une vedette de cinéma - vous, ma chère Sophie - qui souhaite que son séjour en Angleterre demeure à l'abri des médias. Il recevra ce petit pourboire pour le remercier de sa discrétion.
— Et il l'acceptera ? s'étonna Langdon.
— Ils ne l’accepteraient pas de n'importe quel pèlerin...
mais ici tout le monde me connaît. Je ne suis pas un trafiquant d'armes, après tout. Je suis historien de Sa Majesté la reine, anobli par elle, que diable !
Rémy s'approchait, le Heckler & Koch du moine à la main.
— Monsieur pourrait-il me dire ce qu'il a l'intention de faire de moi ?
– 364 –
— Vous resterez dans l'avion avec votre protégé jusqu'à notre retour. Nous ne pouvons tout de même pas traîner cet énergumène avec nous dans Londres !
— J'ai bien peur que la police française n'ait retrouvé votre avion avant, objecta Sophie.
— Imaginez alors leur surprise en tombant sur Rémy..., plaisanta Teabing.
— Je suis très sérieuse, Leigh. Vous avez franchi la frontière avec trois passagers clandestins, dont un otage.
— Mes avocats sont eux aussi très sérieux. Cet olibrius s'est introduit chez moi par effraction, et il a failli me tuer. Rémy pourra en témoigner.
— Mais vous l'avez ligoté et kidnappé..., intervint Langdon.
Teabing leva la main droite.
— Votre Honneur, je vous demande de pardonner à un vieil excentrique, chevalier de la Couronne britannique, qui n'aurait certes pas dû recourir à de tels moyens pour venir se mettre sous la protection de la justice de son pays. Cet homme a failli m'assassiner. J'ai effectivement commis une grave erreur en l'emmenant avec moi en Angleterre, mais j'étais dans un état d'extrême nervosité. Mea culpa . Je regrette très sincèrement mon acte.
— Vous prenez tout de même un gros risque, fît Langdon, que cette plaidoirie laissait sceptique.
— Sir Leigh ? appela le pilote. La tour de contrôle me dit qu'ils ont un problème de maintenance à proximité de votre hangar, et que je dois garer l'avion devant l'aérogare.
— Ils vous ont dit ce que c'était, ce problème ?
— Une fuite dans la cuve de kérosène... Je suis censé vous garder à bord jusqu'à nouvel ordre, par mesure de précaution.
Teabing fit une moue dubitative. Les réservoirs de kérosène étaient situés, il s'en souvenait très bien, à deux bons kilomètres de son hangar.
— Si Monsieur me permet, cela me paraît assez étrange, fit Rémy.
L'Anglais se tourna vers Langdon et Sophie.
— Mes amis, j'ai le pressentiment que nous allons avoir droit à un comité d'accueil.
– 365 –
— Cela ne m'étonne pas. Fache est toujours à mes trousses, fit Langdon.
Teabing n'écoutait plus. Il fallait réfléchir, et vite.
Ne pas perdre de vue le but final. Le Graal. Nous sommes si près de la solution...
L'avion sortit son train d'atterrissage.
— Leigh, proposa Langdon d'un ton penaud, je vais me rendre à la police et me défendre par des moyens légaux. Je ne veux pas vous impliquer tous les deux dans cette histoire de crime.
— Il n'en est pas question ! s'exclama Teabing. Et vous croyez qu'ils nous laisseront partir pour autant ? Je vous ai fait quitter la France clandestinement, Mlle Neveu vous a aidé à vous échapper du Louvre, et nous transportons un moine ligoté à l'arrière de l'appareil. Nous sommes tous logés à la même enseigne, à présent.
— Et si nous atterrissions sur un autre aéroport ? proposa Sophie.
Teabing secoua la tête.
— Trop tard, nous sommes descendus trop bas. Si nous remontons maintenant, nous aurons droit à un comité d'accueil encore plus musclé où que nous atterrissions... Si nous voulons garder une chance de retarder la confrontation avec les autorités britanniques, le temps de trouver notre Graal... (Il hésita un instant.) Je vais tenter un coup d'audace. Donnez-moi une minute, ajouta-t-il en se dirigeant vers le cockpit.
— Où allez-vous ? s'inquiéta Langdon.
— Tenir une petite réunion à huis clos, répondit Teabing, qui tentait d'évaluer la somme d'argent qui lui serait nécessaire pour persuader le pilote d'effectuer une manœuvre complètement interdite.
– 366 –
80
Le Hawker est en approche finale.
Simon Edwards, directeur de l'aéroport de Biggin Hill, faisait les cent pas dans la tour de contrôle, en surveillant d'un œil inquiet la piste d'atterrissage. Il n'appréciait guère les réveils matinaux le samedi et la perspective de participer à l'arrestation de l'un de ses plus gros clients lui semblait de fort mauvais goût.
Sir Leigh Teabing payait pour son hangar un loyer mensuel confortable, ainsi qu' une taxe annuelle qui lui permettait d'atterrir quand bon lui semblait. Il prévenait en général de son arrivée quelques jours à l'avance, de manière à s'assurer les petits extras auxquels il avait l'air de tenir. Sa Jaguar Sovereign limousine l'attendait toujours dans
son hangar, lavée, réservoir plein, et le Times du jour plié sur la banquette arrière. Un employé de l'aéroport l'accueillait à sa descente d'avion, pour lui éviter d'aller présenter ses papiers et bagages au terminal. De temps à autre, Edwards acceptait de juteux pourboires pour fermer les yeux sur les denrées alimentaires luxueuses et interdites dont Teabing raffolait : escargots de Bourgogne, une variété artisanale de roquefort particulièrement bien affiné, ainsi que certains fruits. La législation des douanes était, après tout, absurde, et si Biggin Hill n'accédait pas aux désirs de ses clients, les aéroports concurrents s'en chargeraient. On laissait donc sir Teabing en faire à sa tête, pour la plus grande satisfaction des employés bénéficiaires de ses largesses.
En apercevant l'avion dans le ciel, Edwards réprima difficilement un accès de nervosité. Était-ce son penchant pour la corruption qui avait attiré des ennuis à Teabing ? La police française paraissait en tout cas fermement résolue à le coffrer.
On n'avait pas encore donné à Edwards les détails du chef d'accusation, qui semblait toutefois très sérieux. À la demande de la PJ, la police du Kent avait exigé du contrôleur de Biggin Hill qu'il ordonne au pilote du Hawker de se présenter devant le terminal au lieu de se rendre au hangar de son client. Et le
– 367 –
mécanicien avait eu l'air de gober sans broncher le prétexte douteux de la fuite de kérosène.
Si les policiers britanniques ne portaient généralement pas d'arme, la gravité de la situation avait exigé ce matin une équipe spéciale. Postés devant l'aérogare, huit agents équipés d'armes de poing attendaient l’avion de Teabing. Juste après l'atterrissage un employé devait placer des cales sous les roues.
Puis les policiers se déploieraient devant la porte de l'appareil et empêcheraient les passagers de descendre en attendant la venue de la police française.
Le Hawker arrivait au-dessus des arbres qui bordaient la droite de l'aéroport. Simon Edwards descendit sur le tarmac pour assister à l'atterrissage. Les policiers, prêts à intervenir, restaient invisibles et le mécanicien tenait ses cales à la main.
L'avion se plaça dans l'axe de la piste, ralentit, le nez se redressa et les roues touchèrent le sol en faisant jaillir un nuage de poussière. Le pilote décéléra. La carlingue blanche luisant sous la bruine bifurqua de gauche à droite en face du terminal.
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