Brown, Dan - Da Vinci code
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Elle remarqua alors le cilice qui lui entourait la cuisse gauche, et comprit. Quel est le Dieu qui exige de tels supplices corporels ? Elle ne comprendrait jamais les rituels de l'Opus Dei. Mais elle avait d'autres soucis en tête pour l'instant. L'Opus Dei est à la recherche de la clé de voûte ! Incapable d'imaginer comment ils avaient pu découvrir la cachette, elle se dit qu'elle n'avait pas le temps de se poser la question.
Le moine au dos meurtri ramassait tranquillement sa robe et la renfilait. Sans lâcher son butin, il se dirigea vers le maître-autel.
Retenant son souffle, la religieuse se précipita dans son appartement. Elle se mit à quatre pattes devant son sommier en bois et plongea un bras en dessous pour en sortir l'enveloppe cachetée qui était dissimulée sous son lit depuis de longues années.
Elle l'ouvrit et y trouva quatre numéros de téléphone.
– 139 –
D'une main tremblante, elle composa le premier.
Silas posa la stèle gravée sur l'autel, et feuilleta fébrilement la grosse bible. Ses gros doigts blancs étaient moites de transpiration. Dans l'Ancien Testament, il trouva le Livre de Job, et localisa le trente-huitième chapitre. Il suivit du doigt un à un les versets, tremblant d'excitation à l'idée des mots qu'il allait lire.
Ils conduiront à la clé de voûte.
Arrivé au onzième, il le lut religieusement. Il n'y avait que neuf mots. Déconcerté, il les relut, sentant que quelque chose clochait.
TU VIENDRAS JUSQU'ICI,
TU N'IRAS PAS AU-DELÀ.
– 140 –
30
Claude Grouard, le sous-chef de la sécurité du musée du Louvre, fulminait de rage tout en maintenant au sol l'assassin de Jacques Saunière. Le conservateur en chef était très aimé de tout le personnel du musée, et Grouard grillait d'envie de trouer la peau de cet Américain qui l'avait assassiné.
Il était l'un des seuls gardiens du musée à porter une arme, et se disait que, pour Langdon, la mort était peut-être préférable à l'interrogatoire de Fache et à la vie de détenu dans une prison française.
Il tira son talkie-walkie de sa ceinture, mais n'entendit qu'un souffle surchargé de parasites. Les systèmes électroniques de sécurité de la Salle des Etats et leurs interférences... Il faut que je retourne dans la Grande Galerie.
Maintenant toujours Langdon en joue, il commença à reculer lentement en direction de la porte d'entrée, mais un léger bruit de pas le cloua sur place à mi-chemin.
Qu'est-ce que... ?
Un mirage se matérialisa au centre de la salle. Une silhouette de femme avançait à pas vifs vers le mur de gauche, précédée d'un faisceau lumineux violacé qui balayait le sol devant elle, comme un sourcier avec sa baguette.
— Qui est là ? demanda Grouard, qui ne savait plus sur qui braquer son pistolet.
— Police technique et scientifique, répliqua calmement la femme, sans cesser d'avancer.
Police technique et scientifique ? Grouard était en sueur. Je croyais qu'ils étaient tous partis ! Il savait bien que les enquêteurs travaillaient avec des lampes à lumière noire, mais pourquoi la PJ recherchait-elle des preuves dans la Salle des États ?
— Votre nom ? cria-t-il. Son instinct lui soufflait que quelque chose clochait.
— C'est moi ! répondit la voix calme, Sophie Neveu.
Un souvenir se matérialisa dans l'esprit de Grouard. Sophie Neveu ! La petite-fille de Jacques Saunière. Il l'amenait souvent
– 141 –
ici lorsqu'elle était gosse. Mais il y avait bien longtemps...
Qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ici cette nuit ? Et quand bien même ce serait vraiment elle, quelle raison avait-il de lui faire confiance ? Il avait entendu des rumeurs selon lesquelles elle était brouillée avec son grand-père.
— Vous me connaissez ! dit la jeune femme. Je peux vous affirmer que Robert Langdon n'est pas l'assassin de mon grand-père.
Pas question de prendre cette déclaration pour argent comptant. Grouard tenta à nouveau d'appeler son PC. Pas de connexion. Il était encore à une petite dizaine de mètres de la porte.
Il reprit lentement sa marche à reculons, décidant d'abandonner la fille tout en ajustant l'Américain à plat ventre.
Sophie Neveu redressa sa lampe de poche et l'orienta brusquement sur un grand tableau, accroché juste en face de la Joconde. Grouard, découvrant de quel tableau il s'agissait, en eut le souffle coupé.
Mais qu'est-ce qu'elle peut bien fabriquer ? se demandait-il.
Sophie sentit une sueur froide perler à son front. Langdon était toujours étendu sur le sol. Tenez bon, Robert, on y est presque. Persuadée que le garde n'oserait pas tirer sur elle ni sur Langdon, elle avait décidé de poursuivre son enquête. Elle cherchait sur les murs une autre œuvre de Leonardo Da Vinci.
Mais aucune inscription fluorescente n'était apparue.
Il doit pourtant bien y avoir un autre indice !
Elle était certaine d'avoir décodé correctement le message de son grand-père.
Qu'aurait-il pu signifier d'autre ?
Le tableau qu'elle observait maintenant mesurait presque deux mètres de hauteur. Il représentait une scène étrange, regroupant, en une composition pyramidale, la Vierge Marie, l'Enfant Jésus, saint Jean-Baptiste et l'ange Uriel, sur une plate-forme rocheuse assez périlleuse.
Chaque fois que son grand-père l'avait amenée ici pour admirer la Joconde, il l'avait aussi arrêtée devant ce tableau-là.
Grand-père, j'y suis arrivée, mais je ne vois rien !
– 142 –
Elle entendait, derrière elle, le garde appeler vainement à l'aide.
Réfléchis, Sophie !
Elle se répéta le message écrit sur le Plexiglas.
SA CROIX GRAVE L'HEURE.
Le grand tableau qu'elle regardait à présent n'était pas protégé comme le portrait de la Joconde, et elle savait que jamais son grand-père n'aurait rien inscrit sur la précieuse toile, ni même sur le cadre. En tout cas, pas sur la toile. Son regard et sa lampe remontèrent le long des cimaises.
À moins que...
Saisissant à deux mains le côté gauche du cadre, elle le décolla du mur, glissa derrière la tête et les épaules, puis son corps tout entier, et promena sur le revers de la toile le faisceau de la lampe à lumière noire.
Elle mit quelques secondes à comprendre qu'elle se trompait. Pas de lettres ni de chiffres à l'encre pourpre. Rien qu'une grosse toile beige parsemée de taches brunâtres.
Qu'est-ce que... ?
Un petit morceau de métal brillait dans l'interstice séparant le rebord inférieur du châssis de la toile elle-même. Sophie retint son souffle en découvrant qu'une petite chaînette dorée y était suspendue.
Au grand étonnement de Sophie, au bout de ladite chaînette était pendue une clé en or familière. Son anneau en forme de croix s'ornait d'une fleur de lys et de deux initiales qu'elle n'avait pas revues depuis l'âge de neuf ans. P.S. À cet instant, elle entendit les paroles de son grand-père : « Un jour, Sophie, le moment venu, cette clé sera à toi. » Sa gorge se serra quand elle comprit que son grand-père, à l'heure de l'agonie, avait réussi à tenir sa promesse. « Elle ouvre une boîte dans laquelle je garde beaucoup de secrets. »
Sophie comprit que tous les messages codés de Jacques Saunière conduisaient à ce cadeau. Son grand-père l'avait sur lui lors du meurtre, et il était venu le cacher là pour que la police ne mette pas la main dessus. Puis il avait élaboré un astucieux jeu de piste pour que ce soit Sophie qui le découvre.
– 143 –
— Au secours ! hurlait la voix du garde qui reculait vers la porte d'entrée, Sortant la tête de derrière le tableau, Sophie dégagea rapidement la petite clé et la glissa dans sa poche avec la lampe à lumière noire.
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