Brown, Dan - Da Vinci code

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— C'est Sophie Neveu qui le lui a dit.

— Quoi ? Mais pourquoi ?

— Très bonne question. En tout cas, je viens d'écouter son message téléphonique. C'est elle qui l'a mis au parfum.

Collet était sans voix. À quoi pensait Sophie Neveu ? Fache détenait la preuve qu'elle venait de faire obstruction à une enquête policière. Elle risquait non seulement de se faire virer, mais aussi d'aller en taule.

— Mais commissaire... Où est Langdon ? s'enquit l'inspecteur.

— Vous avez eu un autre signal d'alarme ?

— Non.

— Et personne n'est repassé sous la grille ?

— Non plus. Nous avons mis un agent de sécurité du Louvre à l'entrée, comme vous nous l'aviez demandé.

— Donc Langdon est encore dans la Grande Galerie, conclut le commissaire.

— Mais qu'est-ce qu'il peut bien y faire ?

— Est-ce que l'agent du musée est armé ?

— Oui, monsieur. C'est un gradé.

— Dites-lui d'aller y faire un tour. Mes hommes n'arriveront pas au musée avant une dizaine de minutes, et il n'est pas question que Langdon nous file entre les doigts. Prévenez le garde que l'agent Neveu est sans doute avec lui.

— Je pensais qu'elle avait quitté le Louvre...

— Vous l'avez vue partir, de vos yeux ?

— Non, commissaire, mais...

— Personne d'autre ne l'a vue sortir du musée. On ne l'a vue qu'entrer !

– 134 –

Collet était sidéré par le culot de cette fille. Elle est toujours dans le musée !

— Débrouillez-vous, Collet, mais je les veux menottes tous les deux à mon retour.

Le camion reprit sa route et Fache rassembla ses hommes.

Langdon jouait les filles de l'air et, avec l'aide de Sophie Neveu, il allait sans doute s'avérer plus difficile à serrer que prévu.

Le commissaire décida de ne plus prendre aucun risque.

Pour parer à toute éventualité, il ne renvoya au musée que la moitié de son équipe, et fit poster le restant autour du seul autre endroit de Paris où Langdon pouvait encore trouver refuge.

– 135 –

28

Sur la face externe du caisson de Plexiglas, éclairées par le faisceau de lumière noire, les lettres pourpres et luisantes semblaient suspendues dans l'espace. Leurs ombres irrégulières flottaient sur le sourire mystérieux de Mona Lisa.

— Le Prieuré ! chuchota Langdon. Voici la preuve que votre grand-père en faisait partie.

Sophie le dévisagea, perplexe.

— À quoi voyez-vous cela ?

Les pensées de Langdon se bousculaient dans sa tête.

— L'allusion est impeccable, elle évoque le fondement même de la société secrète !

De plus en plus déconcertée, Sophie relut encore une fois les mots du message.

SA CROIX GRAVE L'HEURE

— C'est la croix des croisés ! Celle des Templiers, l'origine même du Prieuré de Sion...

Mais Sophie avait l'air d'en douter.

— Si mon grand-père m'a envoyée ici, c'est certainement pour y trouver quelque chose de plus important.

Elle pense qu'il ne s'agit que d 'une étape de plus dans le jeu de piste. Langdon ignorait si le message recelait ou non un autre sens caché. Son imagination galopait pour essayer de saisir les implications possibles.

— Robert ! souffla soudain Sophie en le poussant brusquement. Il y a quelqu'un !

On entendait en effet un bruit de pas qui venait de la Grande Galerie.

— Par ici ! s'écria-t-elle à voix basse en éteignant la lampe.

Et elle disparut.

L'espace d'un instant, Langdon ne vit plus rien. Où ça, par ici ? Ses yeux s'accoutumant peu à peu, il distingua la silhouette de Sophie qui se précipitait vers le centre de la pièce et se

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faufilait à plat ventre sous la banquette centrale. Il allait la rejoindre lorsqu'une voix cria du seuil de la pièce :

— Arrêtez !

L'agent de sécurité avançait dans la Salle des États, un pistolet braqué sur Langdon qui, instinctivement, leva les bras en l'air.

— À terre, couchez-vous ! cria le garde.

En un quart de seconde, Langdon se retrouva à plat ventre sur le parquet. Le type se rua sur lui et lui écarta les jambes d'un coup de pied.

— C'était une mauvaise idée, monsieur Langdon, dit-il en lui appuyant un pied sur le dos.

Une très mauvaise idée.

Bras et jambes écartés, le visage plaqué au sol Langdon tenta une note d'humour. Encore l'Homme de Vitruve, se dit-il.

Mais face contre terre, cette fois...

– 137 –

29

Dans la pénombre de l'église Saint-Sulpice, Silas transporta jusqu'à l'obélisque le lourd candélabre en fer forgé qu'il avait pris sur le maître-autel. Le piétement devrait pouvoir lui servir de bélier. En regardant la dalle de marbre qui dissimulait la cache, il se rendit compte alors qu'il n'arriverait à la briser qu'au prix d'un bruit fâcheux. Du métal contre du marbre. L'écho se répercuterait dans la voûte de l'église...

La sœur entendrait-elle ? Elle devait dormir maintenant.

Mais Silas ne pouvait prendre un tel risque. Il chercha des yeux un morceau de tissu dans lequel envelopper le pied de métal, mais ne trouva que la nappe de l'autel, qu'il se refusait à profaner. Ma robe , se dit-il. Se sachant seul dans l'église, il dénoua sa ceinture et ôta sa soutane. Le frottement des fibres rêches raviva les éraflures de son dos.

Vêtu du seul lange de coton blanc qui lui ceignait les hanches, il drapa le pied du candélabre dans sa robe de bure et, visant le centre de la dalle, frappa un grand coup. Le bruit était bien étouffé mais la pierre ne se fendit même pas. Il abattit le chandelier de plus haut et de toutes ses forces. Même bruit sourd, accompagné cette fois d'une longue fêlure. Au troisième coup, la pierre se cassa en deux, et des éclats de marbre tombèrent au fond d'un trou.

Le compartiment secret !

Il enleva rapidement les morceaux de marbre restés en place et observa la cavité vide. Le sang battant à ses tempes, il y plongea un bras nu.

Au début, sa main ne sentit qu'un sol de pierre lisse. Il repassa la main sur toute la surface, jusque sous la Rose Ligne et sentit enfin quelque chose. Une épaisse tablette de pierre, qu'il saisit et remonta à la lumière. Elle était grossièrement taillée et portait sur une face des mots gravés. Silas eut un instant l'impression d'être Moïse recevant les Tables de la Loi.

Mais il était surpris. Il s'attendait à trouver une carte géographique, des indications d'itinéraire, même codées, mais pas cette simple inscription.

– 138 –

Job 38, 11.

Un verset de la Bible ? Il était stupéfié de cette simplicité démoniaque. L'emplacement secret de la clé de voûte révélé par un verset de la Bible ? La Fraternité ne reculait devant rien pour rabaisser les justes.

Livre de Job, chapitre trente-huit, verset onze.

Sans se souvenir de la citation exacte, Silas savait que le Livre de Job racontait l'histoire d'un homme de grande foi qui avait résisté à toutes les épreuves et tentations auxquelles son Dieu l'avait soumis. Une référence appropriée, pensa-t-il, incapable de retenir son excitation.

Il se tourna vers la Rose Ligne et ne put réprimer un sourire. Sur le maître-autel, posée sur un lutrin doré, une énorme bible à reliure de cuir était ouverte.

Soeur Sandrine ne parvenait pas à calmer le tremblement qui la secouait tout entière. Elle était sur le point de partir en courant vers son téléphone, quand le moine albinos se mit à enlever sa robe de bure. Un frisson d'effroi la parcourut. La chair de son dos, blanche comme l'albâtre, était striée de balafres ensanglantées.

Cet homme a été battu sans merci !

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