Brown, Dan - Da Vinci code
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Un curieux dessin était gravé au centre : deux lettres entrelacées, entourées d'une drôle de fleur.
— P-S..., murmura-t-elle.
Qu'est-ce que ça peut bien être ?
— Sophie ?
Son grand-père apparut dans l'embrasure de porte.
Elle sursauta et fit tomber la chaîne sur le plancher.
Elle la fixait des yeux, n'osant regarder grand-père en face.
— Je... je cherchais mon cadeau d'anniversaire, bredouilla-t-elle, tête baissée, consciente d'avoir trahi sa confiance.
Il resta silencieux pendant une éternité. Puis il dit d'une voix très calme :
— Ramasse la clé, Sophie.
Elle s'exécuta et il s'approcha d'elle.
— Ma petite fille, il faut que tu apprennes à respecter l'intimité d'autrui.
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Il s'agenouilla devant elle et lui prit doucement la clé des mains.
— C'est une clé très spéciale, ma chérie. Si tu l'avais perdue...
Sa voix douce mettait Sophie encore plus mal à l'aise.
— Je te demande pardon. Je ne le ferai plus. Je croyais que c'était un collier que tu voulais m'offrir pour mon anniversaire.
Il la regarda encore longuement.
— Je vais te le redire encore une fois, Sophie, parce que c'est important : il faut respecter l'intimité des autres.
— Oui, grand-père.
— Nous en reparlerons une autre fois. Pour le moment, il y a du désherbage à faire.
Elle descendit en courant dans le jardin.
Le lendemain matin, il ne lui offrit pas de cadeau, et elle ne s'attendait plus à en recevoir. Il lui souhaita même pas un bon anniversaire de toute la journée. Après le dîner, elle monta se coucher, traînant les pieds dans l'escalier. En se mettant au lit, elle trouva sur son oreiller une petite carte sur laquelle était inscrite une énigme. Elle sourit avant même de l'avoir déchiffrée. Je sais ce que c'est! Elle en avait trouvé une semblable le matin du Noël précédent.
Une chasse au trésor !
Elle se mit au travail avec empressement, et trouva rapidement la solution de l'énigme, qui l'envoya dans une autre partie de la maison, où l'attendait une autre devinette, dont la réponse la précipita au rez-de-chaussée, et ainsi de suite... Elle traversa ainsi toute la maison d'une pièce à l'autre, d'indice en indice, jusqu'à ce que le dernier la reconduise à sa chambre. Elle monta l'escalier quatre à quatre et s'arrêta net sur le seuil : devant son lit trônait une bicyclette neuve, le guidon enrubanné de rouge. Elle poussa un cri de joie.
— Je sais que tu avais demandé une poupée, dit son grand-père en sortant de derrière le rideau de la fenêtre. Mais j'ai pensé que tu préférerais ce cadeau-là.
Le lendemain, il lui avait appris à pédaler et à se tenir sur la selle, courant à côté d'elle dans les allées du jardin. Lorsqu'elle
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s'était lancée sur l'épaisse pelouse, elle avait perdu l'équilibre et ils avaient tous les deux roulé dans l'herbe en riant.
— Je suis désolée pour hier, grand-père, avait-elle dit en se jetant dans ses bras.
— Je sais, ma chérie. Tu es pardonnée. Comment veux-tu que je t'en veuille ? Les grands-pères et les petites-filles se pardonnent toujours.
Transgressant ce qu'elle savait être un tabou, elle lui demanda :
— Je n'avais jamais vu de clé comme celle-ci. Elle est très jolie. Qu'est-ce qu'elle ouvre ?
Il sembla hésiter longuement avant de répondre.
Grand-père ne ment jamais.
— Une boîte dans laquelle je garde beaucoup de secrets.
Elle fît la moue.
— J'ai horreur des secrets !
— Je sais, mais ceux-là sont très importants. Et un jour, tu apprendras à les apprécier autant que moi.
— Il y avait des lettres sur la clé, et une fleur.
— C'est une fleur de lys, ma fleur préférée. Il y en a dans le jardin. Tu sais, les grandes fleurs blanches...
— Je les connais. Ce sont mes préférées, à moi aussi !
Il avait levé les sourcils, comme il le faisait chaque fois qu'il voulait la mettre au défi.
— Dans ce cas, je vais conclure un marché avec toi. Si tu es capable de toujours garder pour toi le secret de cette clé, et de ne plus jamais en parler, à moi ni à personne d'autre, alors un jour je te la donnerai.
— C'est vrai?
— C'est promis ! Le moment venu, cette clé sera à toi. Elle est gravée à ton nom. Sophie fronça les sourcils.
— Mais non ! J'ai vu écrit P.S. Ce n'est pas mon nom !
Il jeta un coup d'œil alentour, comme pour s'assurer que personne ne l'écoutait, et chuchota :
— Pour tout te dire, c'est un code. Ce sont tes initiales secrètes.
— J'ai des initiales secrètes ? demanda-t-elle en écarquillant les yeux.
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— Bien sûr. Toutes les petites filles en ont, et leur grand-père est le seul à les connaître.
— P.S. ?
— Princesse Sophie, déclara-t-il en la chatouillant légèrement.
— Je ne suis pas une princesse ! dit-elle en riant.
— Pour moi, si !
Ils ne parlèrent plus jamais de la clé. Et elle devint la Princesse Sophie de son grand-père.
Dans la Salle des États, Sophie avait le cœur serré par une brusque sensation de deuil.
— Réfléchissez, insista Langdon, ces initiales, vous ne les avez jamais vues ?
Elle crut entendre murmurer son grand-père dans la galerie du musée. Ne parle plus jamais de cette clé, Sophie. Ni à moi ni à personne d'autre . Elle l'avait déjà trahi en refusant de lui pardonner. Pouvait-elle trahir sa confiance une seconde fois ?
P.S. Trouver Robert Langdon . Jacques Saunière avait voulu que Langdon l'aide. Elle hocha la tête.
— Oui, je les ai vues une fois... quand j'étais petite.
— Où ?
— Sur un objet auquel mon grand-père attachait une grande importance, répondit-elle après une hésitation.
Langdon la fixa d'un regard intense.
— C'est absolument vital, Sophie. Est-ce que les deux lettres étaient associées à un autre symbole ? À une fleur de lys ?
Elle recula d'un pas.
— Mais... Comment pouvez-vous le savoir? bredouilla-t-elle, stupéfaite.
Il baissa la voix.
— Je suis à peu près certain que votre grand-père faisait partie d'une société secrète. Une des fraternités les plus anciennes et les plus impénétrables qui soient.
Elle sentit son estomac se nouer. Elle aussi en était certaine.
Pendant dix ans, elle s'était efforcée d'oublier l'épisode qui lui avait révélé cette vérité horrifiante. Elle avait assisté à quelque chose d'impensable. D'impardonnable.
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— La fleur de lys, continua Langdon, combinée aux lettres P.S., forme l'emblème de cette société secrète. C'est leur blason, leur logo.
— Comment le savez-vous ?
Elle priait intérieurement pour qu'il ne lui dise pas qu'il en faisait partie, lui aussi.
— J'ai fait des études sur ce groupe, répliqua-t-il, avec une excitation très perceptible. La recherche sur le symbolisme des sociétés secrètes est une de mes spécialités. Celle-ci s'appelle le Prieuré de Sion. Elle est basée en France, mais compte des membres influents dans toute l'Europe. En fait, c'est l'une des dernières sociétés secrètes qui aient survécu dans le monde.
Sophie n'en avait jamais entendu parler. Langdon enchaîna avec fébrilité :
— Elle a compté parmi ses membres certains individus prestigieux, comme Botticelli, Isaac Newton, Victor Hugo et Claude Debussy. Et Leonardo Da Vinci.
— Il faisait partie d'une société secrète ?
— Il a même présidé le Prieuré de 1510 à 1519, en temps que Grand Maître, ce qui pourrait expliquer la passion que votre grand-père avait pour son œuvre. Cet héritage commun aux deux hommes explique à merveille leur fascination pour l'iconologie de la déesse, les cultes et les symboles païens, et leur mépris pour l'Église catholique de Rome. Le Prieuré de Sion a toujours vénéré le Féminin sacré.
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