Brown, Dan - Da Vinci code
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— Vous voulez dire que cette société est une secte païenne qui adore une déesse ?
— C'est même le culte de la déesse païenne par excellence.
Mais les membres du Prieuré sont surtout les gardiens d'un secret très ancien, qui les rend extrêmement puissants.
Malgré la force de conviction et l'évidente sincérité de Langdon, Sophie était instinctivement sceptique. Un culte païen secret ? Autrefois précédé par Leonardo Da Vinci ? Cela paraissait absurde. Pourtant, plus elle essayait de le chasser, plus le souvenir vieux de dix ans s'imposait à elle - cette nuit où elle avait surpris son grand-père et assisté à une scène qu'elle ne pouvait toujours pas accepter. Est-ce que c'était là l'explication... ?
– 124 –
Langdon parlait toujours :
— L'identité des membres du Prieuré de Sion est un secret jalousement gardé. Mais les initiales et la fleur de lys que vous avez vues enfant ne peuvent renvoyer qu'au Prieuré de Sion.
Sophie se rendait compte que Langdon en savait beaucoup plus sur son grand-père qu'elle ne l'avait imaginé. Cet Américain avait certainement encore bien des choses à lui apprendre, mais pas ici, pas cette nuit.
— Robert, je ne peux pas prendre le risque de laisser la police vous arrêter. J'ai trop besoin de vos lumières. Il faut que vous partiez, tout de suite !
Langdon ne l'entendait plus que dans un murmure. Il n'était pas question qu'il parte. Il était déjà ailleurs, dans un ailleurs où d'anciens secrets remontaient à la surface, où des histoires oubliées émergeaient de l'ombre.
Lentement, il tourna la tête en direction du portrait de la Joconde.
La fleur de lys... la fleur de Lisa... Mona Lisa.
Tout était intimement mêlé. Les échos des secrets inviolés du Prieuré de Sion et de Leonardo Da Vinci s'unissaient maintenant en une symphonie silencieuse.
À deux kilomètres de là, tout près des Invalides, le chauffeur médusé d'un semi-remorque, tenu en joue par des policiers furieux, regardait le chef de la police judiciaire jeter une savonnette dans les eaux troubles de la Seine en poussant un hurlement de rage retentissant.
– 125 –
24
Silas avait les yeux levés vers l'obélisque de Saint-Sulpice.
La hauteur du monument de marbre blanc l'impressionnait.
Tous ses muscles étaient tendus par une excitation euphorique.
Il scruta encore une fois l'espace de l'église pour vérifier qu'il était bien seul, puis il s'agenouilla au pied de la colonne, plus par nécessité que par vénération.
La clé de voûte est cachée sous la Rose Ligne.
À la base de l'obélisque de Saint-Sulpice.
Tous les frères avaient fait le même aveu.
Il passa les mains sur le sol de pierre qui l'entourait. Ne sentant ni ne distinguant aucune fente, aucune marque indiquant une dalle mobile, il les frappa une à une de ses doigts repliés. Suivant la règle de laiton jusqu'au pied de l'obélisque, il donna une série de petits coups secs sur les carreaux de marbre qui la bordaient. L'une d'elles rendit un son creux.
Il y a une niche sous cette plaque de marbre !
Silas sourit. Ses victimes avaient dit la vérité. Il se releva, cherchant des yeux un objet lourd avec lequel il pourrait casser la dalle.
Dissimulée derrière le pilier en face de la sacristie, sœur Sandrine étouffa un cri. Ses pires craintes étaient fondées. Son visiteur n'était pas ce qu'il paraissait. Le mystérieux moine de l'Opus Dei n'était pas venu pour visiter l'église.
Il avait un but inavouable.
Vous n'êtes pas le seul à détenir un secret , se dit-elle.
La sœur Sandrine Bieil, gardienne en titre de Saint-Sulpice, faisait avant tout fonction de sentinelle. Et cette nuit, les rouages anciens de l'organisation s'étaient remis en mouvement. La présence de cet étranger au pied de l'obélisque était un signal de la Fraternité.
Un cri de détresse silencieux.
– 126 –
25
L'ambassade des États-Unis à Paris occupe un complexe de bâtiments situés à l'entrée de l'avenue Gabriel, au nord des Champs-Elysées. Sur un hectare et demi de territoire national, les ressortissants américains sont soumis aux mêmes lois et bénéficient des mêmes droits que dans leur pays.
La gardienne de nuit était plongée dans la lecture de Time Magazine quand le téléphone sonna.
— Ambassade des États-Unis, j'écoute !
— Bonsoir, dit une voix au fort accent français. J'ai besoin de votre aide.
Malgré la politesse des formules, l'homme parlait sur un ton sec et administratif.
— On m'a dit que vous aviez un message enregistré pour moi. Au nom de Robert Langdon. Mais je ne me souviens plus des trois chiffres de mon code d'accès. Si vous aviez la gentillesse de bien vouloir me le faire écouter...
— Je suis désolée, monsieur, mais ce message doit être très ancien. Nous avons abandonné ce système de messages enregistrés il y a deux ans, par mesure de sécurité. Et de plus, les codes d'accès comportaient cinq chiffres. Qui vous a dit que vous aviez un message chez nous ?
— Vous n'avez plus de messagerie automatique ?
— Non, monsieur. Si vous aviez un message, il serait enregistré par écrit dans nos services. Pouvez-vous me répéter votre nom ?
Mais l'homme avait raccroché.
Bézu Fache, interloqué, alla faire les cent pas le long du quai pour réfléchir tranquillement. Il était certain d'avoir vu Langdon taper un numéro à dix chiffres, suivi de trois autres, avant d'écouter son message.
Si ce n'était pas l'ambassade qu'il appelait, qui était-ce ?
Il regarda son téléphone portable, comprenant que la réponse se trouvait là. Langdon s'est servi de mon portable .
– 127 –
Il fit défiler le menu, afficha un à un les derniers numéros appelés, et trouva celui que Langdon avait composé.
Un numéro à Paris, suivi de trois chiffres : 454.
Il composa le premier. Un répondeur, avec une voix de femme : « Bonjour, vous êtes bien chez Sophie Neveu, je suis absente pour le moment, mais... »
Son sang bouillonnait dans ses veines lorsqu'il composa le code à trois chiffres, 4... 5... 4...
– 128 –
26
Malgré sa réputation monumentale, le portrait de la Joconde ne mesure que soixante-dix-huit centimètres sur cinquante-deux - moins que les reproductions grand format que l'on vend dans les boutiques du Carrousel du Louvre.
Le tableau, peint sur un panneau de bois de peuplier, était accroché sur le mur nord-ouest de la Salle des États, protégé par un caisson de Plexiglas de cinq centimètres d'épaisseur. La célèbre atmosphère éthérée et brumeuse qui baigne cette peinture illustre le talent et le goût de son auteur pour le style sfumato, où les formes semblent se fondre les unes dans les autres.
Depuis son admission au musée du Louvre, la Joconde a été dérobée deux fois, le vol le plus récent datant de 1911. Cette année-là, elle disparut du Salon carré, la « salle impénétrable »
du Louvre de l'époque. Les Parisiens pleuraient dans les rues et les journaux suppliaient les voleurs de rendre au musée son chef-d'œuvre. On devait la retrouver deux ans plus tard à Florence, dans une chambre d'hôtel, dissimulée dans le double fond d'une malle.
Ayant signifié clairement son intention de rester, Langdon accompagna Sophie vers la Salle des États. La jeune femme se trouvait à une vingtaine de mètres de la Joconde quand elle alluma sa lampe torche. Elle balaya le plancher de son rayon violet tout en avançant, à la recherche d'une trace d'encre luminescente.
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