Brown, Dan - Le symbole perdu
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Il a dit que Peter m’indiquerait le chemin, songea Langdon en baissant les yeux sur l’index tendu, dégoûté par l’ironie sadique du kidnappeur.
Peter vous montrera la voie.
Il avait déjà suivi du regard le doigt qui pointait le dôme. Une porte ? Là-haut ? Absurde !
— À part l’homme qui m’a fait venir, dit-il à Sato, personne ne savait que je serais au Capitole ce soir. J’ignore comment vous est parvenue cette information, mais ça venait forcément de lui. Je vous suggère donc de...
— La provenance de mes informations ne vous concerne pas ! Pour l’instant, ma priorité est de coopérer avec cet homme et j’ai de bonnes raisons de penser que vous êtes le seul à pouvoir lui donner ce qu’il veut.
— Et ma priorité à moi, c’est de retrouver mon ami !
Sato inspira profondément ; Langdon mettait sa patience à rude épreuve.
— Si nous voulons récupérer M. Solomon, nous n’avons pas le choix, professeur : nous devons coopérer avec la seule personne qui sait où il se trouve. Le temps nous est compté, dit-elle en consultant sa montre. Croyez-moi, il est impératif que nous accédions au plus vite à ses demandes.
— Comment ? s’exaspéra Langdon. En localisant et en ouvrant une porte magique ? Il n’y a pas de porte ! Ce type est cinglé.
Inoue Sato s’approcha à quelques centimètres de Langdon.
— Je vous ferais remarquer que votre « cinglé » n’a eu aucun mal à manipuler deux personnes qui sont tout sauf idiotes. (Elle regarda bien Langdon, puis jeta un coup d’œil à Anderson.) Dans mon domaine, on apprend vite que la frontière est très mince entre la folie et le génie. Il serait sage d’accorder un peu de respect à notre suspect.
— Il a amputé la main d’un homme !
— Oui, justement. Quelle meilleure preuve de sa détermination, de son assurance ? Le plus important en ce moment, c’est qu’il est persuadé que vous pouvez l’aider. Il n’a pas ménagé ses efforts pour vous attirer à Washington : il a forcément ses raisons.
— La seule raison pour laquelle il m’a fait venir, rétorqua Langdon, c’est que, d’après lui, Peter lui aurait confié que je pouvais ouvrir sa « porte ».
— Pourquoi Solomon aurait-il déclaré cela si ce n’était pas vrai ?
— Je suis sûr qu’il n’a rien dit du tout. Et même si c’était le cas, il a parlé sous la contrainte. Il devait être terrifié.
— Oui, ça s’appelle un interrogatoire sous la torture ! C’est très efficace – raison de plus pour croire que votre ami a dit la vérité. (Elle semblait parler d’expérience.) Vous a-t-il expliqué pourquoi Peter Solomon pense que vous pouvez ouvrir cette porte ?
Langdon secoua la tête.
— Si j’en crois votre réputation, M. Solomon et vous partagez un intérêt commun pour ce genre de choses – énigmes, ésotérisme, mysticisme... Dans toutes vos conversations avec lui, il n’a jamais mentionné une porte qui serait cachée en plein Washington ?
Langdon n’en revenait pas d’entendre une question pareille de la bouche d’une haute responsable de la CIA.
— Je vous assure que non. Nos discussions touchent parfois des sujets assez obscurs, mais, croyez-moi, je l’aurais envoyé consulter un psychiatre s’il m’avait parlé d’une porte magique cachée Dieu sait où. Surtout une porte censée conduire aux Mystères anciens.
— Pardon ? fit Sato en levant la tête. Le suspect vous a dit spécifiquement où menait cette porte ?
— Oui, même si c’était superflu. La Main des mystères, expliqua-t-il en désignant le trophée macabre, est une invitation à franchir un portail mystique pour acquérir un savoir ancien – connu sous le nom de Mystères anciens. La grande sagesse perdue.
— Ah, vous en avez entendu parler, alors.
— Oui, comme beaucoup d’historiens.
— Dans ce cas, comment pouvez-vous affirmer que cette porte n’existe pas ?
— Sans vouloir vous offenser, madame, nous avons tous « entendu parler » de la fontaine de Jouvence et de Shangri-La. Cela ne signifie pas qu’ils existent.
La radio d’Anderson grésilla, interrompant leur échange.
— Chef !
— Oui, ici Anderson.
— Nous avons fouillé tout le complexe. Il n’y a personne ici qui corresponde à la description du suspect. Quels sont vos ordres ?
Anderson jeta un coup d’œil rapide vers Sato, s’attendant à une réprimande, mais elle n’écoutait même pas. Il s’éloigna discrètement et continua de parler à voix basse.
Inoue Sato, elle, restait focalisée sur Langdon.
— Donc, d’après vous, ce grand secret n’est que pure fiction ?
Langdon opina.
— Un très vieux mythe – plus vieux encore que le christianisme. Des milliers d’années.
— Et il circule toujours aujourd’hui ?
— Avec d’autres légendes tout aussi improbables, oui.
Langdon rappelait souvent à ses élèves que la plupart des religions modernes étaient truffées d’histoires qui s’effondraient devant un examen scientifique – de Moïse ouvrant les flots de la mer Rouge à Joseph Smith utilisant des lunettes magiques pour traduire une série de plaques en or enfouies sur une colline dans l’État de New York, et en tirer le Livre de Mormon.
L’acceptation populaire d’une idée ne prouvait en aucun cas sa validité.
— Je comprends, dit Sato. Ces Mystères anciens, c’est quoi exactement ?
Langdon laissa échapper un soupir.
— Pour faire court, ils font référence à un corpus de connaissances amassées il y a fort longtemps. L’un des aspects intrigants de ces secrets est qu’ils sont censés permettre à leurs adeptes de débloquer d’extraordinaires capacités latentes dans l’esprit humain. Les maîtres éclairés qui possédaient ce savoir jurèrent de le conserver à l’écart des masses, le considérant trop puissant et donc dangereux pour les non-initiés.
— Dangereux ? Pour quelle raison ?
— La même raison qui nous pousse à interdire aux enfants de jouer avec des allumettes. Entre de bonnes mains, le feu apporte la lumière... entre de mauvaises mains, c’est une force dévastatrice.
Retirant ses lunettes, Sato étudia le visage de Langdon.
— Dites-moi, professeur, croyez-vous qu’un tel savoir puisse exister ?
Il resta silencieux. Les Mystères anciens constituaient le plus grand paradoxe de sa carrière. Quasiment toutes les traditions mystiques de l’Histoire reposaient sur le postulat d’un savoir occulte capable d’insuffler des pouvoirs spirituels, presque divins, au commun des mortels : les tarots et le Yi-King permettaient aux hommes de prédire l’avenir ; l’alchimie leur promettait l’immortalité à travers la pierre philosophale ; la Wicca ouvrait à ses disciples les plus érudits les portes de la magie. La liste était longue.
En tant qu’universitaire, Langdon ne pouvait nier la légitimité historique de ces croyances. Quantité de documents, d’artefacts et d’œuvres d’art prêtaient indubitablement à croire que les Anciens possédaient une sagesse supérieure transmise par le biais d’allégories, de mythes et de symboles, garantissant ainsi que seuls les initiés auraient accès à son pouvoir. Cependant, son pragmatisme naturel le laissait dubitatif.
— Disons que je suis sceptique, répondit-il enfin. Je n’ai encore vu aucune preuve tangible que ces Mystères sont autre chose qu’une collection de légendes – un archétype mythologique récurrent. S’il était possible pour l’être humain d’acquérir des pouvoirs miraculeux, nous en aurions des traces. Or, à ce jour, l’Histoire n’a toujours pas révélé de surhommes.
Sato leva les sourcils.
— Ce n’est pas tout à fait exact.
Langdon hésita, se rendant compte que la plupart des croyants estimaient qu’il existait bel et bien des précédents, parmi lesquels Jésus.
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