Erik L'Homme - A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas
Здесь есть возможность читать онлайн «Erik L'Homme - A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Год выпуска: 2012, Жанр: Старинная литература, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas
- Автор:
- Жанр:
- Год:2012
- ISBN:нет данных
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 60
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
Je récapitule.
Un : Ernest Dryden et son collègue, bien qu’ils soient Normaux, prétendent travailler pour l’Association, essayent de me tuer et parviennent à… assassiner Ombe.
Deux : À en juger par la réaction de Walter, Ombe et moi sommes les principales cibles de leurs attaques. Qu’est-ce qui justifie ce choix et cet acharnement ?
Trois : Ces assassins obéissent à quelqu’un (le quelqu’un que la goule ne parvenait pas à identifier ?). Ils appartiennent à une organisation (ils en portent d’ailleurs les marques de reconnaissance), une organisation dont les secrets sont protégés par une magie puissante.
Quatre : À propos de magie… Ernest Dryden s’est montré insensible au rayon du Taser mais pas au pouvoir de ma bague. Les membres de cette organisation sont-ils immunisés contre les effets de leurs propres armes ?
Cinq : Ernest Dryden était persuadé d’agir pour une cause juste (sa sincérité était carrément flippante). Il me vouait une haine dévorante, confinant au sentiment mystique.
Six : Walter me prend pour un jambon et en sait beaucoup plus qu’il ne veut le dire (après-demain, ça sera donnant, donnant !).
Sept : Un sentiment nouveau est en train d’éclore en moi. Un mélange de frustration et d’inachèvement, de colère froide et de détermination. Je pensais venger Ombe en tuant son meurtrier. En réalité, je sais maintenant de façon lumineuse que c’est le commanditaire de sa mort, le marionnettiste et pas la marionnette, qui doit connaître un juste châtiment. Je croyais la traque achevée : elle commence…
— Jasper ?
Plongé dans mes réflexions, j’entends à peine toquer à ma porte. Ma mère entre dans la chambre.
— Le thé est servi !
— Chouette ! je réponds sans me forcer parce que l’idée d’une tasse de thé et (je croise les doigts très fort) d’une part de gâteau (et de quelques biscuits ?) me met l’eau à la bouche. Je ferme les applications en cours et j’arrive !
— Je t’accorde deux minutes.
Elle a retrouvé son sourire. Je sais qu’elle a pris le temps de passer, elle aussi, à la salle de bains. Elle est redevenue elle-même.
— Tu n’as pas froid, en tee-shirt ?
Mon pull est resté sur le lit. Je n’avais pas remarqué que j’étais en manches courtes.
— Non, ça va. J’ai même un peu chaud.
— Moi, je trouve qu’il fait froid dans cet appartement. Ça ne te dérange pas si je monte le chauffage ?
— Non, fais comme tu veux.
— Il te reste une minute, Jasper.
— Ça y est, j’ai fini, j’arrive !
Je ferme l’ordinateur et me lève. Peu importe la teneur de la discussion que nous allons avoir, ma mère et moi. Au moins elle est là, et je sais qu’elle va me consacrer du temps, en proportion de sa culpabilité que j’espère énorme !
Je me sens bien. Non, pas bien, c’est faux. Mais depuis que je sais ce qui me reste à faire, je me sens mieux. Ce n’est déjà pas si mal !
« The conflict is pure
The truth devised
The future secured
The enemy designed », je fredonne en rejoignant ma mère dans la cuisine.
Tiens, je ne savais pas que je la connaissais, celle-là. Ce n’est pas les Doors . Une rengaine entendue dans le café ce matin, sans doute…
r& matina Orë matina - Le cœur mangé
J’ai pensé à des mots, Ombe, en m’endormant chez toi dans le salon. Ils sont pleins de cette mélancolie que les elfes ont emportée avec eux, sur les rivages gris. Je te les dédie.
###ty& hrestallo iciri& fana ciryass&,
#ty& alanti& siv i lass& sirinnen
Si I eleni nyen&ar, I ungor ahostar
Ar I tier unculav lumtl&, morni& caitar
Ar hisi& enty)a or&nya oial)
Amarn&, mte Q ir& I romta lamyuva,
Entuvuvalv i sinca ancuness&
Etyë hrestallo icirië fana ciryassë,
Etyë alantië sivë i lassë surinnen…
Si i eleni nyenëar, i ungor ahostar
Ar i tier undulavë lumbulë, mornië caitar
Ar hisië entupa orënya oialë !
Namaryë, Ombe ! Irë i romba lamyuva,
Vë entuvuvalvë i sinda andunessë…
Tu as quitté le rivage sur un bateau blanc,
Tu es tombée comme la feuille dans le vent…
Maintenant les étoiles se lamentent, les sombres nuages se rassemblent
Et les routes sont noyées dans l’ombre, les ténèbres s’étendent
Et la brume recouvre mon cœur pour toujours !
Adieu, Ombe ! Quand sonnera le cor,
Nous nous retrouverons dans le gris crépuscule…
Tu me manques, Ombe.
Épilogue
— Walter ?
— Rose !
— Nina et Jules sont avec moi.
— Jules ? Mais… qu’est-ce qu’il fait là ? Il ne devrait pas… ?
— C’est bien le problème. Vous venez ?
— Bon sang, j’arrive tout de suite !
— Nina, raconte ton histoire à Walter.
— Voilà. Mademoiselle Rose m’a téléphoné il y a trois heures environ pour me confier une nouvelle mission. Elle m’avait prévenue que l’Association risquait d’avoir besoin de moi, alors je n’ai pas été surprise.
— Je n’étais pas au courant !
— C’est moi qui ai pris cette initiative, Walter.
— Ah ! Bon, bon. Continue, ma fille.
— Je me suis rendue sur le boulevard de Fombelle, où devait passer le fourgon que mademoiselle Rose m’avait chargé de surveiller.
— Une mission de surveillance ! Très bien, très bien.
— J’ai attendu longtemps, très longtemps. Ça m’a paru louche. J’ai téléphoné à mademoiselle Rose, qui m’a demandé de remonter le boulevard à sa recherche.
— Et alors ?
— J’ai trouvé la camionnette à la hauteur de la rue des Épouvantails. Renversée sur le côté.
— Hein ?
— Du calme, Walter. Et toi, Nina, poursuis.
— Le chauffeur était dans l’habitacle, couvert de sang. C’était horrible ! Il ne respirait plus.
— Et le corps, à l’arrière ?
— Disparu.
— Par tous les dieux !
— Jules, tu peux expliquer à Walter ce qui s’est passé ensuite ?
— Ben, quand j’ai vu Nina arriver, je suis sorti de ma cachette et je me suis précipité vers elle. J’avais les jambes comme du coton ! Je m’étais glissé, comme on me l’avait demandé, dans le fourgon quand les employés ont chargé le coffre réfrigéré contenant le corps d’Ombe. À un moment, j’ai entendu une explosion. La camionnette s’est retournée et a percuté un mur. Puis la porte a été arrachée par deux types habillés d’une combinaison noire qui les couvrait entièrement. Comme des ninjas. Vous voyez ce que je veux dire ?
— On voit très bien.
— Évidemment, ils ne m’ont pas remarqué. Ils ont sorti le coffre et se sont enfuis. L’un d’eux le portait sur ses épaules. Je me suis mis à l’abri et j’ai attendu d’avoir moins peur pour vous prévenir. Nina m’a devancé.
— Par tous les dieux !
— Ça pèse combien, à votre avis, Walter, un coffre réfrigéré ?
— Je ne sais pas, moi. Cent vingt kilos ?
— Auxquels on peut ajouter le poids d’un corps. Vous connaissez beaucoup de personnes capables de partir en courant avec cent quatre-vingts kilos sur l’épaule ?
— Oui. Un troll, un garou, un vampire…
— Mais pas un humain.
— Jules a également relevé que leurs gestes étaient très rapides.
— Vampires, alors.
— Vampires.
— Mais, Rose, pourquoi des vampires ?
— Un instant, Walter… Jules, Nina, merci beaucoup. Vous pouvez rentrer. Vous l’avez bien mérité.
— Vous êtes sûrs qu’on… ?
— Certaine. Ce soir, c’est le réveillon, non ? Vos amis ou vos parents vous attendent ! J’ai pris bonne note de vos déclarations. Je vous appellerai s’il me manque quelque chose. Ah oui : malgré la fête, n’oubliez pas de garder vos téléphones près de vous. Nous sommes en état d’urgence.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «A Comme Association T5 - Là où les mots n'existent pas» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.