Fédor Dostoïevski - La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit

Здесь есть возможность читать онлайн «Fédor Dostoïevski - La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Классическая проза, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

L'écrivain renoue ici avec la veine comique, mais dans un genre légèrement scabreux qui était alors en vogue. Dans le premier récit, nous voyons le mari jaloux attendre sa femme à l'issue d'un rendez-vous: il entre en conversation avec un jeune amant de celle-ci qui l'attend lui aussi. Enfin l'épouse infidèle sort, accompagnée d'un homme. Elle a trompé et son mari et son premier amant… Dans le second chapitre, le même mari jaloux voudrait surprendre en flagrant délit sa femme, mais il se trompe d'étage et, ayant pénétré dans un logement inconnu, il se cache sous le lit où se trouve déjà un jeune homme qui s'est, lui aussi, trompé d'étage…

La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

– Quels chats?

– Mais des chats, ma petite colombe… J’entre donc l’autre jour dans mon cabinet… et voici que Vasska s’y trouve assis… chiou, chiou, chiou, et il ronronne… Alors moi: Qu’as-tu, Vassenka? Et mon minet de nouveau: chiou, chiou, chiou… Tout le temps comme s’il murmurait. Alors moi de me dire: «Ah! mes ancêtres. Ne me prédit-il point tout bas la mort?»

– Vous en débitez des sottises aujourd’hui. Vous devriez avoir honte.

– Soit, ce n’est rien. Ne te fâche pas, ma chérie… Je vois que tu serais malheureuse si je mourais. Ne te fâche pas… Oh! c’est pour dire quelque chose. Tu devrais, petite âme, te déshabiller, te coucher. Je resterai ici pendant que tu te coucheras…

– Je vous en supplie… nous avons le temps…

– Allons, ne te fâche pas, ne te fâche pas. Mais je t’assure, il y a des souris ici.

– Il ne manquait plus… des souris et des chats! Je ne sais vraiment ce qui vous prend.

– Je… des bêtises. Je ne… khi, khi. Je ne… khi, khi, khi. Oh! Seigneur… khi.

– Vous avez entendu? murmura le jeune homme, vous faites un tel potin qu’il a…

– Si vous saviez ce qui m’arrive. Je saigne du nez.

– Eh bien, saignez et taisez-vous. Attendez que le vieux s’en aille.

– Jeune homme, mettez-vous à ma place. Je ne sais près de qui je me trouve couché ici.

– Vous ne vous porteriez pas mieux si vous l’appreniez. Croyez-vous que je sois curieux de connaître votre nom?… Eh bien, comment vous appelez-vous?

– Pourquoi diable vous le dirais-je?… Ce qui m’importe, c’est de vous expliquer la manière ridicule dont…

– Chut, il parle de nouveau…

– Je t’assure, mon trésor; qu’il y a des souris… un murmure…

– Mais non… c’est le coton qui s’est mis de travers dans tes oreilles.

– Tiens, à propos de coton… Sais-tu qu’ici, en haut… khi, khi. En haut… khi, khi…

– En haut! murmura le jeune homme, ah! que le diable, moi qui pensais que c’était le dernier étage… Sommes-nous donc au premier?

– Jeune homme! Ivan Andreievitch était tout frémissant. Que dites-vous? Je vous en supplie, que je sache pourquoi vous vous intéressez… Moi aussi, je pensais que c’était le dernier étage… Au nom du ciel, dites-moi s’il y en a encore un autre dans la maison.

– Je te jure que quelqu’un remue, déclara le vieillard qui avait enfin cessé de tousser.

– Chut! Vous entendez?… murmura le jeune homme, saisissant les deux mains d’Ivan Andreievitch.

– Cher Monsieur, vous me faites mal aux mains… Lâchez-moi.

– Chut!

Après une courte lutte, il y eut de nouveau un silence.

– Me voici donc qui rencontre une jolie petite… commença le vieillard.

– Quoi?

– Voyons; ne t’ai-je pas déjà dit que j’avais rencontré une jolie petite dame dans l’escalier? Il est vrai que j’ai omis, peut-être… J’ai peu de mémoire… C’est le mille-pertuis… khi.

– Quoi?

– Il me faut boire du mille-pertuis… on assure que j’irai mieux… Khi, khi, khi. J’irai mieux.

– Tu m’as dit que tu avais rencontré je ne sais quelle dame aujourd’hui, dit l’épouse.

– Hein?

– Une jolie…

– Qui te l’a dit?

– Mais toi!

– Moi, quand? ah oui…

– Enfin! En voilà une momie! murmura le jeune homme, fouettant en pensée la mémoire affaiblie du vieillard.

– Mon cher Monsieur, je frémis de terreur! Seigneur! Que m’est-il donné d’entendre? Tout comme hier, absolument comme hier…

– Chut!

– Ah! oui, oui. Je me souviens… Oh! la rusée mâtine. Et de petits yeux… et un chapeau bleu.

– Un chapeau bleu! Oh! Oh!…

– C’est elle. Elle a un chapeau bleu. Mon Dieu! s’écria Ivan Andreievitch.

– Elle, qui, elle? fit tout bas le jeune homme, serrant les mains d’Ivan.

– Chut! ordonna à son tour Ivan Andreievitch. Il reparle.

– Ah! mon Dieu, mon Dieu!…

– Du reste, tout le monde peut avoir un chapeau bleu… Alors…

– Et quelle petite coquine! continua le vieillard. Elle vient ici chez je ne sais quels amis… Il faut voir les yeux doux qu’elle fait! Et d’autres amis arrivent chez ces amis…

– Dieu, que c’est ennuyeux! interrompit la dame. En quoi cela t’intéresse-t-il?…

– Bien, bien, parfait. Ne te fâche pas, déclara le petit vieux d’une voix dolente. Je vais me taire, puisque tu le veux. Tu me parais de mauvaise humeur ce soir…

– Mais comment vous êtes-vous donc fourré ici? demanda le jeune homme.

– Vous voyez. Vous voyez. Cette fois cela vous intéresse, vous qui ne vouliez pas m’entendre.

– Oh! et puis peu m’importe. Ne dites rien si vous voulez…

– Ne vous fâchez pas, jeune homme… Je ne sais plus ce que je dis… Simplement je… il y a là certainement quelque raison mystérieuse qui fait… que vous… Mais qui êtes-vous jeune homme? Évidemment, un inconnu… mais enfin qui êtes-vous? Dieu, je ne sais plus ce que je dis…

– Oh! je vous en prie… suffit, coupa le jeune homme.

– Je vais tout vous raconter, tout. Peut-être vous dites-vous que je ne raconterai rien, que je vous en veux? Non. C’est tout simplement que je suis déprimé, voilà tout… Mais au nom du ciel, apprenez-moi tout, vous aussi, depuis le début: comment êtes-vous tombé ici? Par quel miracle? Quant à moi, je ne me fâche pas, je vous le jure… Voici ma main. Seulement il y a beaucoup de poussière ici et je l’ai salie, mais cela n’empêche pas la sincérité des sentiments.

– Fichez-moi la paix avec votre main! Pas moyen de faire un mouvement, et il m’embête avec sa main!

– Cher Monsieur, vous me parlez comme si…, comme si j’étais une vieille semelle, dit Ivan Andreievitch dans un accès d’humilité désespérée. Sa voix était suppliante. Soyez plus poli, un tout petit peu plus aimable, et je vous raconterai tout, je suis prêt à vous inviter à dîner, vraiment. Nous serions des amis. Mais impossible de rester ici couchés tous deux. Vous vous trompez, jeune homme. Vous ignorez…

– Quand donc l’a-t-il rencontrée? bégaya le jeune homme qui paraissait bouleversé. Elle m’attend peut-être maintenant… Décidément, je sors d’ici…

– Elle? Qui elle? Seigneur! De qui parlez-vous, jeune homme? Vous pensez que là-bas, en haut… Seigneur, Seigneur.» Pourquoi suis-je ainsi puni?

Ivan Andreievitch essaya de se tourner sur le dos en signe de désespoir.

– Que vous importe de savoir qui elle est? Zut, qu’il arrive ce qui doit arriver, je fiche le camp…

– Cher Monsieur, que faites-vous? Et moi, moi que deviendrai-je? chuchota Ivan Andreievitch, se cramponnant dans sa détresse aux pans du frac de son voisin.

– Que voulez-vous que cela me fasse? Eh bien, vous resterez seul… Et si vous ne le voulez pas, je puis dire à la rigueur que vous êtes mon oncle… qui s’est ruiné… le vieux ne pourra penser que je suis l’amant de sa femme.

– C’est impossible, jeune homme, être votre oncle, ce n’est pas naturel. Personne ne vous croira. Un petit enfant comme ça ne vous croirait pas. Ivan Andreievitch murmurait avec désespoir ces paroles.

– Alors ne bavardez plus et restez là immobile comme un mort. Restez toute la nuit et, au matin, vous sortirez d’une manière ou d’une autre. Personne ne vous remarquera… Puisque l’un a déguerpi, on ne pensera pas qu’un autre se cache encore… Vous ne nous voyez tout de même pas une dizaine ici? Du reste vous en valez douze à vous tout seul… Avancez ou je sors.

– Vous vous fichez de moi, jeune homme… Et si je toussais? Il faut tout prévoir.

– Chut!

– Que se passe-t-il donc? Il me semble entendre un tapage là-haut, balbutia le vieillard, qui, semble-t-il, s’était un instant assoupi.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Fédor Dostoïevski - L’Honnête Voleur
Fédor Dostoïevski
Fédor Dostoïevski - Le Bouffon
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
Fédor Dostoïevski - La Logeuse
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
Fédor Dostoïevski - Roman En Neuf Lettres
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
Отзывы о книге «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit»

Обсуждение, отзывы о книге «La Femme D’Un Autre Et Un Mari Sous Le Lit» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x