Victor Hugo - Les Misérables Tome V – Jean Valjean
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(1862)
[1] Victor Hugo Les Misérables Tome V – Jean Valjean EN HOMMAGE À NOTRE AMI GUY QUI NOUS A QUITTÉ LE 30 JUIN 2004. Tes amis du groupe qui pensent à toi.
Sur ces faits, voir Choses vues , ouv. cit., 1847-48, p. 337-347.
[2]Du grec ochlos: populace.
[3]«Boue de la ville, loi du monde», voir III, 1, 12 et note 25.
[4]Sans se désavouer, Hugo ici s'interroge – c'est la seule fois à notre connaissance – et semble douter d'avoir bien agi lorsque, en juin 1848, conformément au mandat donné par l'Assemblée à soixante députés dont il était, il alla aux barricades ordonner leur reddition et, au moins une fois, conduisit l'assaut. Sur cet épisode mal connu, voir l'article de B. Leuilliot, «Les barricades mystérieuses», Europe , mars 1985.
[5]C'est, sauf erreur de notre part, le seul «je» du texte qui désigne non le narrateur, mais l'auteur.
[6]Constantine fut prise en 1837, mais Zaatcha ne le fut qu'en 1849.
[7]Ces noms et l'histoire de ces deux hommes sont absolument authentiques. Hugo avait fait le portrait de Cournet sur la barricade Saint-Antoine du 3 décembre 1851, où Baudin fut tué, dans Histoire d'un crime (II, 3).
[8]La Fontaine dit:
Car que faire en un gîte à moins que l'on ne songe?
(Fables, II, 14, Le Lièvre et les Grenouilles .)
[9]Hugo lui aussi avait traduit cet épisode des Géorgiques de Virgile en 1816. (Voir Cahiers de vers français , éd. J. Massin, t. I, p. 69.)
[10]Ce sophiste grec du IVe siècle avant J.-C., assez mesquin semble-t-il, était surnommé «le fléau d'Homère». Figure de l'impuissance critique face au génie, il revient souvent chez Hugo; voir, en particulier, le titre d'un livre de William Shakespeare , Zoïle aussi éternel qu'Homère ou le poème des Quatre Vents de l'esprit (I, 42), Dieu éclaboussé par Zoïle .
[11]Probalinthe n'est pas un homme, mais un dème de l'Attique au sud-est de Marathon. Cydathénée est une ville d'Attique dont tous les habitants prétendaient être nobles. Quant à Myrrhinus, peut-être s'agit-il de Myrine, ville de Lesbos, à moins que ce ne soit une transformation de l'adjectif latin myrrhinus – a, um: de myrrhe.
[12]Ce discours de Combeferre fait écho à une scène de Histoire d'un crime (IV, 10) où Hugo, Charamaule, Quinet, Versigny et d'autres délibéraient sur l'opportunité d'une mort héroïque, le 6 décembre 1851. «Dans de certains cas, n'être que des héros, c'est de l'égoïsme […]. On laisse à d'autres derrière soi le rude labeur de la longue protestation, l'inébranlable résistance de l'exil, la vie amère et dure du vaincu qui continue de combattre la victoire.»
[13]Le trépied: célèbre siège de la Pythie de Delphes, et de toutes les prophétesses antiques.
[14]Ces députés des douze peuples grecs, réunis en assemblée, organisaient les fêtes religieuses communes et jouaient le rôle de tribunal international, souvent plus belliqueux que pacifique.
[15] Enéide , II, 354. Énée aux Troyens: « Una saius victis, nullam sperare salutem »: «Un seul salut pour les vaincus, n'espérer aucun salut.»
[16]Aubervilliers s'appelait jadis Notre-Dame des Vertus.
[17]C'est à Hugo que cette mésaventure est arrivée. Il la raconte, dans Choses vues : «Je me souviens qu'à l'époque des émeutes d'avril 34, je passais devant un poste de garde nationale ayant sous le bras un volume des œuvres du duc de Saint-Simon. J'ai été signalé comme saint-simonien et j'ai failli être tué.» (ouv. cit., 1830-1846, p. 167.) Hugo attribue cette histoire à Garnier, en souvenir peut-être de la parodie des Burgraves que ce jeune poète avait écrite en 1843: Les Barbus graves , en tout cas avec générosité, puisque c'est sous le porche de sa propre maison qu'il l'«héberge», n° 6, place Royale.
[18]Le mot a été employé pour Waterloo, voir II, 1, 5, notes 7 et 10.
[19]Dans Roland furieux de l'Arioste.
[20]Une autre chanson de Gavroche – IV, 14, 1 (voir aussi la note 1) – évoquait déjà l'hostilité de Paris pour la banlieue. Voltaire et Rousseau sont les maîtres à penser de la bourgeoisie libérale – qui soutient le régime et forme la garde nationale – en cette première moitié du XIXe siècle. Sur Rousseau, voir aussi III, 4, 3 et note 79 ainsi que IV, 6, 1 et note 2.
Par ailleurs, deux chansons de 1817, l 'une de Chaponnière, l'autre attribuée à Béranger, utilisaient déjà en refrain «C'est la faute de Voltaire, c'est la faute de Rousseau». Celle de Béranger disait:
Tous nos maux sont venus
D'Arouet et de Jean-Jacques […]
Eve aima le fruit nouveau
C'est la faute de Rousseau;
Caïn tua son frère
C'est la faute de Voltaire.
[21]«Ils trouvèrent un bébé enveloppé de langes» – adapté de Luc, II, 12. L 'inscription « Invenietis (vous trouverez) parvulum pannis involutum » se trouvait et se lit encore au fronton de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul, ancien hospice des Enfants Assistés.
[22]Au livre IV, 6.
[23]«Qui oserait dire que le soleil ment?» (Virgile, Géorgiques , I, 463.)
[24]C'était en III, 6, 4.
[25]Reprise pathétique, au moment où Gavroche tombe sous les balles, de la formule qu'il a employée en IV, 6, 2.
[26]«Le père mort attend son fils qui va mourir»
[27]Expression déjà utilisée par Hugo dans le récit de la mort de Denis Dussoubs (voir IV, 1, note 24). «Pendant ce temps-là, les généraux préparaient la dernière attaque, ce que le marquis de Clermont-Tonnerre en 1822 appelait le coup de collier , et ce que, en 1789, le prince de Lambesc appelait le coup de bas.» ( Histoire d'un crime , IV, 3.)
[28]Gérard de Nerval avait été retrouvé pendu à l'aube du 26 janvier 1855, rue de la Vieille Lanterne.
[29]Américain blanc qui avait milité pour l'émancipation des Noirs et, ne reculant pas devant les actions à force armée, avait déclenché des révoltes d'esclaves. Arrêté, condamné à mort, il fut pendu le 2 décembre 1859, malgré les appels à la clémence d'une vaste campagne internationale. Hugo y avait participé (voir Actes et Paroles II , Pendant l'exil au volume Politique ) et ses écrits dénonçaient les risques de rupture de l'Union américaine. La mort de John Brown, le jour anniversaire du coup d'État, contribua sans doute à la réouverture du manuscrit des Misérables en avril 1860.
[30]La première moitié du vers a été citée en III, 4, 1 – voir note 11; il est maintenant complet: «Comme les coureurs, ils se transmettent les flambeaux de la vie.»
[31]Tout le paragraphe qui suit rappelle l'énergie des combattants de la barricade du Petit Carreau, en décembre 1851: «On se battit corps à corps, quatre cents d'un côté, cinquante de l'autre […].» ( Histoire d'un crime , IV, 4.)
[32]Hugo transpose ici librement les vers 12-36 du chant VI de l'Iliade.
[33]Bière anglaise épaisse, fortement houblonnée, de couleur brune.
[34]Comme Hugo lui-même en décembre 1851, aux Halles, répondant à un insurgé qui lui proposait un fusil: «Non, lui dis-je. Je resterai ici sans fusil. Je n'entre qu'à moitié dans la guerre civile. Je veux bien y mourir, je ne veux pas y tuer.» ( Histoire d'un crime , IV, 3.)
[35]Jean Valjean a porté Cosette en II, 5, 6.
[36]Ce titre renvoie aux discours de V. Hugo des 27 juin et 1er juillet 1846, devant la Chambre des Pairs, sur la «défense du littoral» agressé par l'océan. Voir Actes et Paroles I , Avant l'exil au volume Politique .
[37]Hugo s'est servi, pour ce livre, d'une Statistique des égouts de Paris publiée en 1837 et de la brochure de Pierre Leroux, publiée à Londres et à Jersey en 1853, Aux États de Jersey, sur un moyen de quintupler, pour ne pas dire plus, la production agricole du pays .
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