Larry Niven - Protecteur

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La vie d’un Pak passait par trois phases : jeune, reproducteur, et enfin protecteur. Phssthpok était un protecteur. Il voyageait depuis près de 32 000 ans. Sa mission était de rechercher, sauver, développer et protéger le groupe de Paks reproducteurs envoyé dans l’espace quelque deux millions et demi d’années auparavant…
Brennan était un Zonier, le produit d’une société indépendante, plutôt anarchique qui vivait dans la Zone des Astéroïdes. Les Zoniers étaient tous des rebelles et Brennan était un contrebandier.
Les mondes de la Zone avaient repéré et pistaient le vaisseau Pak depuis des jours. Brennan comptait l’atteindre le premier…
On ne le revit jamais… du moins, sous la forme humaine.

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« La racine n’a pas une odeur que je pourrais nommer, sauf peut-être une odeur de lait ou de crème aigre. L’air dans l’astronef de l’intrus était raréfié, avec une suffisante pression partielle d’oxygène, sans composés toxiques, au moins deux pour cent d’hélium. Nous avons procédé à une spectro-analyse de la matière du hublot et… » Elle énuméra un spectre d’éléments d’une teneur élevée en silicone. « L’auto-docteur continue de répondre « Données insuffisantes » pour la maladie d’Einar, mais maintenant un signal d’urgence s’est allumé. De toute façon, ce n’est pas bon. D’autres questions ?

— Pas pour l’instant, répondit Nick. Ne nous rappelez pas, parce que nous allons être trop occupés à atterrir. » Il coupa et se remit à tambouriner sur le pupitre avec ses longs doigts minces. « De l’hélium. Cela devrait signifier quelque chose.

— Un petit monde sans lune, hasarda Luke. De grosses lunes ont tendance à écumer l’atmosphère d’une planète. La Terre ressemblerait à Vénus sans son énorme satellite. L’hélium serait le premier à disparaître, n’est-ce pas ?

— Peut-être. Il serait aussi le premier à quitter une petite planète. Réfléchissez à la force de l’intrus. Ce n’était pas d’une petite planète qu’il venait. »

Nick et Luke étaient des hommes qui réfléchissaient toujours avant de parler. La conversation à bord de l’ U Thant s’interrompit donc pendant quelques minutes avant de repartir juste au point où elle s’était arrêtée.

« D’où, alors ?

— De quelque part dans un nuage de gaz avec beaucoup d’hélium. Le noyau galactique se trouve dans la direction d’où il venait. Il y a quantité de nuages de gaz et de nuages de poussière par là.

— Mais c’est à une distance invraisemblable. Voudriez-vous ne plus tambouriner ?

— Cela m’aide à réfléchir. Comme, pour vous, fumer.

— Dans ce cas, tambourinez à votre aise.

— Je ne vois pas de limites à la distance d’où il a pu venir. Plus rapidement un statoréacteur Bussard se déplace, plus il récolte de carburant.

— Il faut qu’il y ait une limite où la vitesse d’éjection égale la vitesse à laquelle le gaz frappe l’ouverture d’admission.

— Possible. Mais ce doit être ainsi qu’il est venu. Ce réservoir d’air était immense. L’intrus se trouve très loin de chez lui. »

L’auto-docteur était installé dans la paroi du fond, au-dessus de l’une des trois couchettes amortisseuses de catastrophe. Einar était dans cette couchette. Il avait le bras enfoncé presque jusqu’à l’épaule dans l’auto-docteur.

Tina surveillait son visage. Son état empirait régulièrement. Mais pas sous l’effet d’une maladie : à moins que la sénescence ne fût une maladie. Einar avait vieilli de plusieurs dizaines d’années en une heure. De toute urgence, il lui fallait un médecin humain… mais une poussée supérieure à celle du Bœuf l’aurait tué, et ils ne disposaient d’ailleurs que du Bœuf.

Auraient-ils pu l’en empêcher ? Si elle avait crié tout de suite… mais aussitôt Einar avait cherché à l’étrangler, et c’était trop tard. D’où Einar avait-il une force pareille ? Il avait failli la tuer.

Sa poitrine ne bougea plus.

Tina leva les yeux vers les cadrans de l’auto-docteur. D’ordinaire un panneau les recouvrait ; un vaisseau spatial possède assez de gadgets à surveiller sans que des distractions supplémentaires soient utiles. Tina, depuis des heures, avait regardé les cadrans toutes les cinq minutes. Cette fois, ils étaient tous rouges.

« Il est mort », dit-elle. Elle entendit l’intonation de surprise dans sa voix et elle s’en étonna. Les parois de la cabine commencèrent à se brouiller et à reculer.

Nate dégringola du siège de commande et se pencha au-dessus d’Einar. « Et c’est seulement maintenant que vous vous en apercevez ! Il est sans doute mort depuis une heure !

— Non, je vous jure… » Tina se débattit contre l’anesthésie croissante qui bloquait ses veines. Son corps n’était plus que de l’eau. Elle manqua s’évanouir.

« Regardez sa tête, et osez me dire cela ! »

Tina se redressa sur ses jambes flageolantes. Elle considéra le visage ravagé. Einar, mort, avait l’air vieux de plusieurs siècles. Avec un mélange de chagrin, de culpabilité et d’aversion, elle se pencha pour caresser la joue sans vie.

« Il est encore chaud.

— Chaud ? » Nate toucha le cadavre. « Il est brûlant. La fièvre. Il devait être encore vivant il y a quelques secondes. Pardon, Tina. J’ai conclu trop vite. Hé ! Vous n’allez pas vous trouver mal, j’espère ? »

« Jusqu’à quel point ces approches sont-elles dangereuses ?

— Faites disparaître de votre voix cette petite note tremblée », répondit Nick. C’était pure calomnie. Luke n’était qu’intéressé. « J’ai effectué au moins deux cents manœuvres semblables dans ma vie. En ce qui concerne les sensations fortes, je n’ai rien trouvé de mieux que de vous laisser me piloter vers Death Valley Port.

— Vous m’aviez dit que vous étiez pressé.

— Je l’étais. Luke, je réclame un silence admiratif pour les prochaines minutes.

— Ah ! Ah ! AH ! »

La planète rouge s’offrait à eux, se dépliait comme le poing d’un dieu de la guerre. La gouaille de Nick s’envola. Sa physionomie se crispa. Il n’avait pas été tout à fait franc avec Luke. Il avait accompli plusieurs centaines d’approches propulseur allumé, c’était vrai ; mais sur des astéroïdes d’une pesanteur négligeable.

Diemos surgit dans la direction techniquement appelée « la trajectoire de décollage de l’astronef. » Nick tira doucement un levier vers lui. Mars s’aplatissait et, en même temps, s’enfuyait doucement pendant qu’ils se dirigeaient vers le nord.

« La base devrait être par ici, dit Luke. À la lisière nord de cet arc. Ah ! Ce petit cratère : c’est sûrement là.

— Utilisez le télescope.

— Hum… Zut !… Ah ! Le voici. Dégonflé, naturellement. Vous le voyez, Nick ?

— Oui. »

On aurait dit le lambeau abandonné d’un ballon bleu ciel d’enfant.

La poussière s’éleva en nuages tourbillonnants à la rencontre du jet de leur propulseur. Nick dévida un chapelet de jurons et augmenta la poussée. Maintenant, Luke était accoutumé à la variété des jurons de Nick. Quand il jurait par Finagle, c’était par humour ou par emphase ; s’il blasphémait d’une manière chrétienne, c’était sérieux.

U Thant ralentit et s’immobilisa. Il se trouva au-dessus de la poussière, puis dans la poussière ; peu à peu les nuages ocres s’éclairèrent et reculèrent. Une tempête de sable en forme d’anneau battit en retraite vers trois cent soixante degrés d’horizon. La couche rocheuse se trouvait exposée à découvert pour la première fois depuis des millénaires. Elle était bosselée, brune, érodée. À la lueur du jet, les roches arrondies brillaient toutes blanches, avec des ombres noires accentuées. Lorsque le jet les touchait, elles fondaient.

« Je vais être obligé de me poser dans le cratère, dit Nick. Cette poussière reviendra dès que j’aurai coupé le moteur. » Il dirigea son engin sur la gauche et stoppa le propulseur. Le fond s’éloigna. Ils descendirent.

Ils exécutèrent cette descente à l’aide des jets orientables, et en prenant contact, ils ne rebondirent même pas. « Magnifique, commenta Luc.

— C’est comme ça chaque fois. Je pars à la recherche de la base. Vous me suivrez sur la caméra du casque. »

Le mur en forme d’anneau s’élevait au-dessus de lui avec ses roches usées, arrondies, d’aspect volcanique. La poussière dégouttait du bord, coulant sur la pente comme de la mélasse pour se réunir en flaques autour des amortisseurs de l’astronef. Le cratère mesurait huit cents mètres de diamètre. À peu près au centre, le dôme s’élevait au milieu d’une mer de poussière qui le léchait.

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