Terry Pratchett - Les zinzins d'Olive-Oued

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Les zinzins d'Olive-Oued: краткое содержание, описание и аннотация

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La manivelle tourne…
Et les diablotins se décarcassent dans la boîte à images.
Car un alchimiste d’Ankh-Morpork a découvert la magie des images animées. Une activité fébrile s’empare d’une colline déserte au bord de l’océan : Olive-Oued.
Du friçon ! De l’aventure !
Avec les étoiles
**Victor Marasquino**
et **Delorès de Vyce**
Et avecque mille éléfants !
Une daibauche de passionne et de grands aiscaliers sur fond d’hystoire tumulte-tueuse :
QUAND S’EMPORTE LE VENT D’AUTAN
Après le pestacle, l’Antre à Côtes de Harga vous attend. Sa cuisine gaz trop gnomique.
Mais les rêves d’Olive-Oued cachent un noir mystère qui menace le Disque-monde.
Il était une fois à Olive-Oued…

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— Oh si, fit Victor sombrement.

— Je veux dire, est-ce qu’on n’a pas apporté quelque chose d’extraordinaire au monde ?

— Là, pas de doute.

— Je ne voulais pas dire ça. Être une déesse de l’écran, ce n’est pas aussi sensationnel qu’on croit, vous savez.

— Exact. »

Ginger soupira. « Terminée, la magie d’Olive-Oued, fit-elle.

— Je pense qu’il en reste peut-être un peu, dit Victor.

— Où ça ?

— Elle se balade ici et là. Elle s’arrange pour se consumer entièrement, j’imagine. »

Ginger contempla son verre. « Qu’est-ce que vous allez faire, maintenant ? demanda-t-elle.

— J’sais pas. Et vous ?

— Retourner à la ferme, peut-être.

— Pourquoi ?

— Olive-Oued, c’était ma chance, vous voyez ? Il n’y a pas beaucoup de boulots pour les femmes à Ankh-Morpork. Du moins, ajouta-t-elle, aucun qui m’intéresse. J’ai reçu trois demandes en mariage. D’hommes assez importants.

— Ah bon ? Pourquoi ? »

Elle se renfrogna. « Hé, je ne suis pas si moche…

— Je ne voulais pas dire ça, fit aussitôt Victor.

— Oh, quand on est un gros marchand, c’est bien d’avoir une femme célèbre, je suppose. C’est comme posséder des bijoux. » Elle baissa le nez. « Madame Cosmopilite a demandé si elle pouvait avoir un de ceux dont je ne veux pas. J’ai répondu qu’elle pouvait prendre les trois.

— Moi, c’est pareil, je n’aime pas avoir à choisir, se dérida Victor.

— Ah oui ? Si c’est tout ce que j’ai comme choix, je préfère ne pas choisir. On devient quoi, quand on a été soi-même et qu’on a été au sommet ?

— Rien.

— Personne ne sait quelle impression ça fait.

— Sauf nous.

— Oui.

— Oui. »

Ginger fit un grand sourire. C’était la première fois que Victor lui voyait la figure nette de toute mauvaise humeur, colère, inquiétude ou maquillage olive-ouédien.

« Courage, dit-elle. Demain est un autre jour. »

Les zinzins dOliveOued - изображение 149

Clic…

Le sergent Côlon, du Guet d’Ankh-Morpork, fut tiré de son petit somme paisible dans le corps de garde au-dessus de la porte principale par un grondement lointain.

Un nuage de poussière couvrait l’horizon d’un bout à l’autre. Il l’observa un instant d’un air songeur. Le nuage grossit et finit par vomir un jeune homme à la peau sombre juché sur un éléphant.

Le pachyderme remonta au petit trot la route menant au portail et s’arrêta pesamment devant le mur de la cité. Le nuage de poussière, ne put s’empêcher de remarquer Côlon, s’étendait toujours à l’horizon et continuait de grossir.

Le jeune homme se mit les mains en coupe autour de la bouche et cria : « Pouvez-vous me dire par où c’est, Olive-Oued ?

— Y en a plus, d’Olive-Oued, à ce qu’on m’a dit », répondit Côlon.

Le gamin eut l’air de réfléchir. Il baissa les yeux sur un bout de papier dans sa main. Puis il demanda : « Est-ce que vous savez où je peux trouver monsieur Planteur J.M.T.L.G. ? »

Le sergent Côlon répéta les initiales à voix basse.

« La Gorge, tu veux dire ? fit-il. Planteur Je-m’tranche-la-gorge ?

— Il est là ? »

Le sergent Côlon lança un coup d’œil à la ville derrière lui. « J’vais aller voir, fit-il. Qui c’est qui l’demande, j’lui dis ?

— On a une commande pour lui. Payable à la livraison. Port en sus.

— Des porcs ? hésita Côlon en jetant un regard au nuage qui se rapprochait. T’amènes des cochons ?

— Pas des cochons, non. »

D’immenses fronts gris devenaient visibles au milieu de la poussière. Il flottait aussi l’odeur typique que dégagent mille éléphants qui ont fourragé des jours durant dans des champs de choux.

« Attends, fit le sergent. J’vais l’chercher. »

Côlon rentra la tête dans le poste et donna un coup de coude à la forme endormie du caporal Chicque, pour l’heure la seconde moitié de la force armée au regard perçant qui gardait en permanence la cité.

« Quoiquya ?

— T’as vu l’vieux la Gorge ce matin, Chicard ?

— Ouais, dans la rue Pignonsur. J’y ai acheté une saucisse-surprise géante.

— Il s’est r’mis à vendre des saucisses ?

— Fallait bien. L’a perdu tout son fric. Qu’est-ce qui s’passe ?

— Jette donc un œil dehors, tu veux ? » fit Côlon d’une voix tranquille.

Chicard jeta un œil.

« Ç’a m’a l’air… On dirait pas mille éléphants, sergent ?

— Ouais. Environ mille, j’dirais.

— M’semblait bien qu’y en avait mille.

— Le type en bas, il dit qu’la Gorge les a commandés.

— Sans charre ? Veut s’lancer dans son affaire de saucisses géantes sur une grande échelle, alors ? Y a d’quoi rire. Y a qu’les éléphants qu’ça fait barrir. »

Leurs regards se croisèrent. Chicard avait un sourire mauvais.

« Oh, allez, fit-il. Laisse-moi aller lui annoncer la nouvelle. S’il te plaît ! »

Les zinzins dOliveOued - изображение 150

Clic…

Thomas Gauledouin, alchimiste et producteur de clics raté, tourna le contenu d’un creuset et poussa un soupir mélancolique.

On avait abandonné beaucoup d’or à Olive-Oued pour ceux qui auraient le cran d’aller creuser et de le remonter. Pour les autres, et Gauledouin se plaçait sans hésiter en tête de cette seconde catégorie, il restait les bonnes vieilles méthodes éprouvées, et même carrément malheureuses, pour produire des richesses. Maintenant qu’il était de retour chez lui, il reprenait son travail là où il l’avait laissé.

« Quelque chose d’intéressant ? demanda Ducroc, venu lui témoigner sa sympathie.

— Ben, c’est argenté, répondit Gauledouin sans assurance. Et c’est plus ou moins métallique. Plus lourd que le plomb, aussi. Et faut chauffer une tonne de minerai. Le plus marrant, c’est que je croyais tenir quelque chose, cette fois. Je nous voyais bien promis à un nouvel avenir radieux…

— Comment vous allez l’appeler ?

— Oh, je ne sais pas. Ça ne vaut sans doute pas le coup de donner un nom à ça.

— Ankhmorporkerie ? Gauledouinium ? Pasduplombium ? proposa Ducroc.

— Inutilium, plutôt, murmura Gauledouin. Je vais laisser tomber ce truc-là et travailler sur autre chose de moins idiot. »

Ducroc jeta dans le fourneau un coup d’œil inquiet.

« Ça ne va pas faire boum, hein ? »

Gauledouin le regarda d’un air méprisant.

« Ce machin-là ? fit-il. En voilà une idée ! »

Les zinzins dOliveOued - изображение 151

Clic…

Il faisait noir comme dans un four sous les décombres.

Il faisait noir depuis longtemps.

Gaspode sentait les tonnes de caillasse au-dessus de son espace réduit. Pas besoin de sens particulièrement canins pour sentir ça.

Il se traîna jusqu’à un pilier qui s’était écrasé dans la cave.

Lazzi leva la tête avec peine, lécha la figure de Gaspode et parvint à pousser un aboiement dérisoire.

« Bon chien Lazzi… Bon chien Gaspode…

— Bon chien Lazzi », murmura Gaspode.

La queue de Lazzi battit sourdement une ou deux fois sur les cailloux. Puis il gémit un moment ; des pauses de plus en plus longues entrecoupaient ses gémissements.

Il y eut un bruit à peine perceptible. Comme de l’os sur de la pierre.

Les oreilles de Gaspode tressaillirent. Il leva la tête vers la silhouette qui s’approchait, visible même dans la nuit la plus noire parce que la nuit n’arrivera jamais à faire aussi noire.

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