Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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Une voix aiguë s’éleva au-dessus du brouhaha du camp.

— Amenez-moi ce guerrier ! ordonna le dragon.

Tanis sentit ses cheveux se dresser sur sa tête. Les draconiens laissèrent retomber leurs armes et se tournèrent avec stupeur vers le dragon. Des murmures s’élevèrent parmi les soldats, qui se mirent en cercle autour de leur idole.

Une des créatures, qui portait un insigne sur son armure, se dirigea vers le draconien en tunique, resté bouche bée depuis que le dragon avait parlé.

— Que se passe-t-il au juste ? demanda-t-il.

Tanis comprit qu’il y avait deux sortes de draconiens : ceux en tunique, des magiciens et des prêtres, et ceux en armure, qui ne devaient pas parler la même langue. Le soldat était visiblement hors de lui.

— Où est votre fichu prêtre ? C’est à lui de nous dire ce qu’il faut faire ! clama-t-il.

— Notre supérieur est absent, répondit le draconien en tunique, qui avait vite repris ses esprits. L’un des « leurs » a volé jusqu’ici et l’a conduit auprès du seigneur Verminaar qui voulait lui parler du bâton.

— Mais le dragon ne prend jamais la parole quand le prêtre n’est pas là ! (Il baissa la voix.) Mes hommes n’aiment pas ça. Tu ferais bien d’agir.

La voix du dragon s’éleva de nouveau, pleine de reproches :

— On me fait attendre ! Amenez-moi ce guerrier !

— Faites ce que dit le dragon ! ordonna le draconien en tunique aux soldats.

Ils se ruèrent sur la cage et écartèrent Sturm et Rivebise de Caramon. Ils le prirent par les bras et le tirèrent devant le feu, face au dragon. À ses pieds, gisaient les armes et les bagages des compagnons, et le bâton de Lunedor.

Prêt à affronter le monstre auréolé de nuages de fumée, Caramon s’avança pour prendre son épée.

— Justice sera vite rendue, vermine humaine ! siffla le dragon en agitant ses ailes.

Les draconiens reculèrent si vite que certains d’entre eux furent piétinés dans la bousculade.

Caramon toisa le dragon de toute sa hauteur.

— Mon frère se meurt ! Fais de moi ce que tu voudras ! Je ne demande qu’une chose : mon épée pour mourir dignement au combat !

Le dragon éclata d’un rire effroyable, imité aussitôt par les draconiens. Dans cet horrible gargouillis, il se mit à agiter frénétiquement la tête et les ailes, prêt à sauter sur le guerrier pour le dévorer.

— Ce sera très amusant. Donnez-lui son arme.

Caramon alla chercher lui-même son épée et la brandit devant le monstre.

— Nous ne pouvons pas le laisser tout seul, il court à sa perte ! gronda Sturm en avançant.

Derrière eux, ils entendirent un vague murmure :

— Psitt ! Tanis !

Le demi-elfe se retourna brusquement.

— Flint ! s’exclama-t-il.

Absorbés par le spectacle, les gardes leur tournaient le dos.

— Fiche le camp, Flint ! Tu ne peux rien faire pour nous. Raistlin est mourant, et le dragon…

— … Est Tass le kender, lâcha le nain, laconique.

— Qu’est-ce que tu dis ? Explique-toi.

— Le dragon, c’est Tass Racle-Pieds, répéta Flint avec irritation.

Tanis resta sans voix.

— La bestiole est en osier, chuchota le nain à toute vitesse. Tass s’est introduit à l’intérieur. Les membres sont articulés. On peut actionner les ailes et le faire parler par un tuyau relié à la gueule. Ça doit être de cette manière que les prêtres s’en servent pour se faire obéir. Quoi qu’il en soit, c’est Tass qui bat des ailes et menace de dévorer Caramon.

— Mais que pouvons-nous faire ? Il y a des draconiens partout. Ils vont finir par s’apercevoir de la supercherie !

— Va rejoindre Caramon, emmène Rivebise et Sturm avec toi. Ramassez nos armes et nos bagages, sans oublier le bâton. Je vais aider Lunedor à transporter Raistlin dans les bois. Tass a son idée. Tiens-toi prêt.

Tanis ronchonna un grognement.

— Si tu crois que cela m’amuse ! grommela le nain. Nos vies sont entre les mains d’un kender débile… Mais après tout, il est le dragon…

— Ça ne peut être que lui, dit Tanis en avisant le dragon qui s’agitait dans tous les sens et glapissait devant les draconiens, béats d’admiration.

Tanis attira Rivebise et Sturm près de Lunedor, qui n’avait pas quitté le chevet de Raistlin, et leur explique le stratagème du kender. Ils le regardèrent comme s’il était devenu fou.

— Avez-vous un autre plan à proposer ? Alors, allons-y !

Les trois compagnons se dirigèrent vers la garde draconienne.

Caramon brandissait son épée. La lame brilla à la lumière des flammes, déclenchant la frénésie du dragon. Ses ailes firent jaillir des gerbes d’étincelles, qui mirent le feu aux huttes. Hypnotisés par le spectacle dont ils attendaient le moment crucial, les draconiens n’y prêtèrent aucune attention. Le dragon poussa des cris de plus en plus stridents. Caramon attendait, la gorge sèche, l’estomac noué. Il allait passer à l’attaque quand il constata que Tanis, Sturm et Rivebise, tombés du ciel, étaient à ses côtés.

— Notre ami ne mourra pas seul ! cria le demi-elfe au dragon.

— Va-t’en, Tanis ! lança Caramon. C’est mon affaire !

— Silence ! ordonna le demi-elfe. Sturm, ramasse mon épée et la tienne. Rivebise, prends ton arme, les bagages et toutes les armes des draconiens que tu pourras porter. Caramon, tu te chargeras des deux bâtons.

Ahuri, Caramon le regardait sans comprendre.

— Le dragon, c’est Tass Racle-Pieds. Fais ce que je te dis ! Prends les bâtons et cours dans le bois. Lunedor t’y attend. Dépêche-toi ! Raistlin est sur le point de mourir ! Tu es sa dernière chance.

Pour Caramon, ce fut le déclic. Il se jeta sur les bâtons, tandis que Rivebise et Sturm ramassaient les armes.

— Préparez-vous à mourir, créatures humaines ! vociféra le dragon en s’envolant au-dessus de leurs têtes où il continua de planer.

Des draconiens s’enfuirent en hurlant de terreur, d’autres s’aplatirent sur le sol.

— C’est le moment ! cria Tanis. Cours, Caramon !

Le grand guerrier fila vers le bois, laissant derrière lui un tumulte indescriptible. Sturm avait entonné un chant de guerre solamnique et les draconiens braillaient à qui mieux mieux. Se servant du bâton comme il avait vu faire Lunedor, le chevalier se fraya rapidement un chemin parmi les draconiens, qui reculaient devant lui.

Caramon arriva devant Raistlin, étendu aux pieds de Lunedor. Elle lui arracha le bâton des mains. Flint secoua la tête d’un air pessimiste.

— Ça ne marchera pas, il est à bout…

— Il faut que ça marche ! déclara Lunedor avec conviction. Je t’en prie, qui que tu sois, maître du bâton au cristal bleu, guéris cet homme.

Sans relâche, elle répéta sa litanie.

Ébloui par la lumière, Caramon cligna des yeux. Autour d’eux, les bois étaient en feu.

— Par les Abysses, souffla Flint, regarde !

Le grand dragon d’osier s’était écrasé sur le brasier. Des étincelles et des braises s’éparpillèrent dans le camp, mettant le feu aux huttes de roseaux. Le dragon poussa un rugissement horrible et s’embrasa à son tour.

— Tass ! jura Flint. Ce satané kender est encore à l’intérieur de la carcasse !

Avant que Caramon ait pu l’arrêter, le nain avait rejoint le camp des draconiens.

— Caramon…, murmura Raistlin.

Le grand guerrier s’agenouilla près de son frère. Le mage était livide, mais son regard avait repris vie. Il se redressa, et vit l’incendie.

— Qu’est-il arrivé ? demanda le sorcier.

— Je n’en sais trop rien, répondit Caramon. Tass s’est transformé en dragon, tout le reste est confus. Repose-toi.

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