Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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14

Prisonniers des draconiens.

Haletant, Tass se laissa tomber dans l’herbe et observa les draconiens qui s’affairaient autour de ses compagnons pétrifiés. Il s’était mis à l’abri des regards dans les buissons bordant le marécage. Le nain, assommé, gisait à côté de lui. Tass fut pris de remords. Paniqué, Flint avait entraîné le kender avec lui au fond de l’eau. Si Tass ne l’avait pas frappé, ils se seraient noyés tous les deux.

Le kender n’avait rien pu faire pour venir en aide à ses amis pris au piège par ce qui semblait de lourdes toiles d’araignée. Manifestement, ils avaient sombré dans l’inconscience, ou ils étaient morts.

Tass s’amusa beaucoup en voyant un draconien essayer de prendre le bâton de Lunedor. La décharge de lumière bleue fit lâcher prise à la créature, qui sauta en l’air en rugissant une kyrielle de mots que le kender jugea impolis.

Échaudé, le draconien finit par trouver une idée ingénieuse. Il tira la couverture de fourrure du sac de Lunedor et l’étendit sur le sol. Au moyen d’une branche, il poussa le bâton dessus et l’enroula dedans.

Puis les draconiens emmenèrent les prisonniers et leurs affaires.

Tapi dans son fourré, Tass les vit passer ; il lui sembla même entendre ronfler Caramon. Le sort d’endormissement qu’avait lancé Raistlin lui revint à la mémoire. Les draconiens avaient dû en jeter un semblable…

Flint reprit conscience. Il promena de grands yeux autour de lui.

— Que s’est-il passé ? demanda-t-il d’un air hébété, en se frottant le crâne.

— Tu es tombé du tronc d’arbre et tu t’es cogné la tête, répondit Tass sans broncher.

— Ah bon ? dit le nain en fronçant le nez. Je ne m’en souviens pas. Je revois encore les draconiens se ruer vers moi et je me rappelle être tombé à l’eau, mais…

— C’est comme ça, ne discute pas, se hâta de conclure le kender. Peux-tu marcher ?

— Évidemment, je peux marcher ! Où sont passés les autres ?

— Capturés par les draconiens, qui les ont emmenés avec eux.

— Aussi facilement ?

— Ces draconiens-là étaient des magiciens, répondit Tass avec impatience. Ils leur ont jeté un sort, mais ils n’ont blessé personne, sauf Raistlin. Il avait l’air mal en point quand je les ai vus passer ; ils ont dû lui faire subir quelque chose de terrible.

Il tira le nain par la manche.

— Allez, allez ! Il faut les suivre.

— Oui, oui, bien sûr, Tass. Où est mon heaume ?

— Au fond du marécage ! répondit Tass, exaspéré. Veux-tu vraiment aller le chercher ?

Le nain se tourna vers l’eau stagnante et frissonna de dégoût. Il passa et repassa la main sur le gros hématome qui ornait son crâne.

— Je ne me souviens pas de m’être cogné la tête… Ma hache ! s’écria-t-il subitement.

— Chut ! Tu es vivant, c’est le principal. Maintenant, il va falloir délivrer les autres.

— Comment comptes-tu t’y prendre, sans armes, mis à part ta fronde ?

— Nous aviserons, dit Tass rayonnant de confiance, bien qu’il n’eût pas la moindre idée de ce qu’il était possible de faire.

Le kender trouva facilement la trace des draconiens sur une ancienne voie, apparemment très fréquentée, vu la quantité d’empreintes qu’elle comportait. Elle les mènerait probablement au camp ennemi.

Ils cheminèrent pendant une heure ; le soleil commençait à décliner. À la nuit tombée, ils gagnèrent les taillis. Le kender se déplaçait sans faire plus de bruit qu’une souris, tandis que le nain se cognait aux branches et percutait les troncs d’arbres. Heureusement, les draconiens, en liesse, n’auraient pas entendu approcher une armée.

Flint et Tass s’assirent à distance de la lumière du feu de camp et observèrent. Soudain, Flint flanqua au kender une bourrade qui l’envoya presque au sol.

— Par Reorx ! jura-t-il. Un dragon !

Médusés, ils virent les draconiens se trémousser et se prosterner devant un gigantesque dragon noir trônant sous la voûte à moitié effondrée d’une coupole. Sa tête s’élevait au-dessus de la cime des arbres et des ailes immenses s’étendaient sur ses flancs. Un draconien en tunique s’inclina devant lui en indiquant du geste le bâton gisant à ses pieds parmi les armes.

— Ce dragon a un air bizarre, conclut Tass après l’avoir attentivement observé.

— Par définition, un dragon est bizarre…, fit remarquer Flint.

— Justement, regarde-le bien. Il ne bouge pas, on dirait qu’il n’a aucune réaction. Il est juste posté là, c’est tout. J’ai toujours pensé que les dragons étaient plus actifs que ça, pas toi ?

— Va donc lui chatouiller les pieds ! grogna le nain. Tu verras bien s’il réagit.

— C’est ce que je vais faire, dit le kender d’un air ravi.

Avant que le nain ait pu faire un geste, le kender avait sautillé dans les fourrés et, à la faveur de l’obscurité, il approchait du camp. De fureur, Flint se serait arraché la barbe, mais il était trop tard pour arrêter Tass. Il ne pouvait que le suivre.

— Tanis !

L’appel semblait sortir des profondeurs d’un gouffre. Le demi-elfe essaya de répondre, mais sa bouche était remplie d’une substance gluante. Une main l’aida à se mettre sur son séant, et il parvint à ouvrir les yeux. La nuit était tombée. La lueur diffuse qu’il voyait devait provenir d’un grand feu. Sturm était près de lui.

— Ça va à peu près, répondit Tanis au bout d’un moment. Où sommes-nous ? Personne n’est blessé ?

— Nous sommes dans un camp draconien. Raistlin est gravement malade. Tass et Flint ont disparu.

— Raistlin…, que lui est-il arrivé ?

— Il a reçu une flèche empoisonnée, dit Rivebise.

Tanis et ses compagnons étaient enfermés dans une cage de bambou, gardée par des draconiens armés d’épées courbes. Des centaines de soldats grouillaient autour du feu, face auquel se dressait un gigantesque dragon.

— Eh oui, dit Sturm devant l’expression de surprise de Tanis. C’est un dragon. Balivernes…, prétendait Flint ! Raistlin jubilerait d’avoir eu raison.

Tanis s’approcha du mage, allongé sous un manteau au fond de la cage. Encore inconscient, il grelottait et transpirait de fièvre. Lunedor lui caressait doucement le front.

— Lunedor a retiré ça de son dos, dit Rivebise en tendant une flèche à Tanis. Qui sait quel poison coule maintenant dans ses veines…

— Si nous avions le bâton…, dit Lunedor.

— C’est vrai ! Où est-il ? demanda Tanis.

— Là-bas ! s’exclama Sturm, pointant la main vers le dragon avec une grimace de dégoût.

Tanis vit le bâton, posé sur la fourrure aux pieds du monstre noir.

— Nous pourrions facilement briser cette cage, dit Tanis, agrippé aux barreaux. À lui seul, Caramon en ferait du petit bois.

— Même Tass en serait capable, dit Sturm. Ensuite il ne resterait plus qu’à nous occuper de quelques centaines de ces créatures, sans oublier le dragon.

— D’accord, d’accord, ne remuons pas le couteau dans la plaie.

L’état du mage empirait. Lunedor lui prit le pouls et secoua la tête d’un air navré. À son côté, Caramon poussa un soupir d’impuissance. Son regard se posa sur les deux gardes qui ricanaient bruyamment devant la cage.

— Caramon ! Arrête ! cria Tanis.

Trop tard. Avec un feulement de fauve blessé, le grand guerrier se rua vers les draconiens. Les tiges de bambou cédèrent sous l’impact, des échardes lui déchirèrent la peau. Enragé, Caramon ne s’en rendit même pas compte.

— Tu es complètement fou, dit Sturm en s’agrippant au guerrier pour le retenir.

Mais rien ne pouvait endiguer la furie meurtrière de Caramon. Un des draconiens se retourna, l’épée brandie. D’un geste, Caramon envoya voler dans les airs l’arme et la créature. En quelques secondes, il fut encerclé par six draconiens, arc au poing. Sturm et Rivebise le plaquèrent au sol et s’arc-boutèrent sur ses épaules pour qu’il reste par terre.

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