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Iain Banks: L'Algébriste

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Iain Banks L'Algébriste

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Pour les humains, et les autres races à la vie brève, la galaxie est un endroit dangereux où règne une paix précaire. Un réseau de trous de ver artificiels sert à voyager entre les étoiles. Il est maintenu sous la férule de la Mercatoria, qui s’efforce de gérer les équilibres entre espèces. Par contre, pour les , ces formes de vie quasi-immortelles apparues peu après le Big bang, la seule chose qui importe, ce sont les géantes gazeuses où ils vaquent à leurs affaires. Le reste n’est que débris épars... Afin de sauver son système solaire menacé par la flotte de l’Archimandrite Luseferous, le jeune Fassin Taak doit plonger dans l’atmosphère de la géante Nasqueron, à la recherche d’une très ancienne formule, d’une clé détenue par les depuis des millions d’années. Mais ceux-ci, joyeux anarchistes avides d’informations en tous genres, ont un sens de l’humour très particulier, des habitudes déplorables comme celle de chasser à mort leur propre progéniture, et il se pourrait bien qu’ils dissimulent plus d’un secret. La quête désespérée de Taak le conduit d’un bout à l’autre de la galaxie. Pendant ce temps, la flotte monstrueuse de Luseferous se rapproche de Nasqueron. Mais la guerre cesse d’être une activité prévisible dès que les y sont mêlés...

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Finalement, elle fut lassée de ce petit jeu. Elle avait déjà tout entendu tant de fois.

Elle n’avait que des preuves indirectes, une intuition, et, pourtant, elle prendrait quand même la vie de cet homme. Lui donner une chance de faire appel ? Le prévenir ?

Pour quoi faire ?

L’éclat glacé du désert et les ténèbres impénétrables du vaisseau bondirent à leur rencontre.

— Merde, Tain… !

Sal aurait pu tenter de s’éjecter – c’était le seul système qu’elle ne pouvait pas désactiver depuis son poste de contrôle –, sauf qu’elle avait pris la précaution de terminer leur vol la tête en bas.

À la fin, elle n’eut qu’à effectuer un dernier et rapide mouvement de poignet.

Le canot percuta le flanc de la carcasse une dizaine de mètres au-dessus de la surface du désert, à près de la moitié de la vitesse du son.

Épilogue

Il est, dans les latitudes nord des Hautes Terres tropicales de la lune baptisée ’glantine, dans le système Ulubis, un oiseau qui, à cause de son chant si particulier, est appelé « Hey-fella-hey [2] Que nous pourrions traduire par « Eh-l’ami-eh » (NdT.) ».

C’est un oiseau migrateur, un voyageur, un oiseau qui ne fait que traverser cette région au début du printemps, pour se rendre plus au nord.

C’était un milieu de matinée un peu frais. Nasqueron, qui n’était qu’à moitié visible, dispensait une lumière rouge-brun sur les ombres claires du jour. Avant, on aurait peut-être pu distinguer des miroirs dans le ciel, d’un côté ou de l’autre, des miroirs grâce auxquels il faisait jour même lorsque Nasqueron obstruait la majeure partie de la voûte céleste. Toutefois, la plupart de ces machines avaient été détruites durant la guerre. Ainsi notre petite planète-lune était-elle devenue plus sombre et avait-elle régressé. En attendant que les miroirs soient un jour remplacés.

Je travaillais dans le vieux parc, pataugeais dans un étang presque invisible, étouffé par l’herbe de chuvle et me demandais ce que j’allais faire de l’un et de l’autre – car et l’étang et l’herbe avaient un charme certain –, lorsque j’entendis le chant si reconnaissable dudit oiseau. Je m’arrêtai de travailler pour l’écouter.

— Hey-fella-hey-fella-hey-fella-hey ! chantait-il.

Je me retournai lentement pour le chercher du regard dans les hautes branches des arbres les plus proches.

Comme je cherchai – en vain, je dois le dire –, j’aperçus en contre-haut une silhouette qui marchait le long du chemin, se dirigeait vers le ruisseau et le mur bâti au pied de la colline qui accueillait les ruines du vieux temple des Rehlides.

Je regardai avec attention, zoomai, effaçai de l’image les feuilles et les branches qui m’empêchaient de la voir correctement, car cette silhouette me donnait l’impression de se mouvoir à la façon du Voyant Taak, que nous n’avions pas revu depuis une éternité. (« Nous » ! – encore cette erreur si douloureuse. « Nous » n’existions plus. Ne restaient plus que quelques tristes figures dans une Maison abandonnée.) La silhouette disparut derrière des arbustes épais. J’attendis donc qu’ils réapparaissent de l’autre côté.

J’attendis encore en me disant que cette personne était sûrement plus âgée que le gentilhomme que j’aimais appeler mon jeune maître. Elle était légèrement voûtée, ce que le Voyant Taak n’était assurément pas, un peu trop maigre, et marchait comme si elle était blessée. C’est en tout cas ce que je crus discerner. Je ne dirais certes pas que je suis expert en la matière. Après tout, je ne suis qu’un humble jardinier. Jardinier en chef, en fait, mais cela ne fait aucune différence. J’espère être toujours humble.

La silhouette réapparut, mais pas là où je l’attendais. Qui que fût cette personne, elle avait bifurqué et se dirigeait droit dans ma direction. Il leva le bras pour me saluer. Je levai mon déplantoir. C’était bel et bien le Voyant Taak ! Ou alors quelqu’un qui s’était donné beaucoup de mal pour ressembler à mon jeune maître, en plus âgé.

Je sortis de l’étang, me débarrassai des herbes enroulées autour de deux de mes jambes, puis escaladai péniblement la berge pour aller à sa rencontre.

— Jeune maître ? dis-je en laissant tomber mon déplantoir, ma pelle et mon râteau, et en me nettoyant les avant-bras.

L’homme me sourit.

— CJ, c’est bien vous.

Il portait des vêtements longs, amples et décontractés, et non pas la tenue traditionnelle des Voyants.

— C’est bien vous, Voyant Taak ! Nous nous étions préparés au pire ! Oh ! vous êtes vivant !

À ce moment-là, je l’avoue, je m’inclinai, me retrouvai à huit pattes, le regard perdu dans les graviers du chemin, submergé par l’émotion.

Il s’accroupit devant moi.

— On ne voit jamais ce qu’on a devant le nez, pas vrai, CJ ?

— Monsieur ?

— CJ, dites-moi que vous n’êtes pas une IA…

Je levai les yeux vers lui.

— Les émotions. C’est ce qui m’a trahi, n’est-ce pas ? J’aurais dû savoir qu’elles me perdraient un jour.

— Votre secret est bien gardé, me dit-il en souriant.

— Pour l’instant, oui. Peut-être.

— Patience, CJ. Patience.

— Vous voulez dire que les choses peuvent changer ? Ou bien que je dois m’attendre à mourir bientôt ? Vous savez, nous ne mourons pas facilement. Nous avons été conçus de cette manière.

Il sourit à nouveau, mais plus lentement, douloureusement.

— Les temps changent, CJ.

— Vous croyez ?

— Oh ! oui. Des tas de choses sont en train d’arriver.

— J’ai eu vent de certains événements. Ils disent qu’il y a une bouche de trou de ver sur Nasqueron.

Je levai les yeux vers l’énorme planète suspendue au-dessus de nous, avec ses énormes fleuves de gaz – crème et bruns, jaunes, blancs, violets, rouges – qui s’écoulaient depuis toujours dans des directions opposées.

Fassin Taak hocha lentement la tête d’un air pensif.

— Apparemment, nous sommes reliés les uns aux autres, dit-il en ramassant un gravillon pour l’examiner. Si nous leur demandons gentiment, les Habitants nous laisseront peut-être utiliser leur réseau de trous de ver. Un jour. Un vif débat est en train de secouer la société nasquéronienne et les autres géantes gazeuses – un débat qui, les Habitants étant ce qu’ils sont, risque de durer longtemps. Il s’agit de convertir l’admiration sans bornes que leur porte le reste de la galaxie en capital prestige, et de déterminer si celui-ci est suffisamment important pour que cela vaille la peine d’ouvrir en grand les portes de leur réseau de transport personnel.

— Ce serait effectivement un changement considérable.

— Un bouleversement dont le contrôle échapperait totalement à la Mercatoria.

— La Mercatoria restera la Mercatoria.

— Elle peut changer, elle aussi. Elle n’aura d’ailleurs pas le choix. Patience, CJ. Patience.

— Eh bien, nous verrons. Mais merci quand même.

Je le regardai. Fassin Taak avait bien vieilli. Son visage était marqué, ses pattes d’oie profondes.

— Tout s’est bien passé, ici, CJ ?

— Dans les jardins, oui. Pour ce qui est de la Maison… Disons que ce n’est pas mon domaine.

— J’y ai jeté un coup d’œil, dit-il en baissant les yeux, d’une voix éteinte. Tout y est tellement silencieux. Vide et silencieux. Bizarre comme ambiance.

— J’essaie de ne pas trop la regarder, confessai-je. Sauf quelques fois, très tôt le matin ou au crépuscule, périodes de la journée où elle est fidèle à ce qu’elle a toujours été, illuminée et calme. Dans ces moments-là, oui, j’arrive à la supporter, ajoutai-je en revoyant la demeure en esprit. J’ai de la chance d’avoir ce jardin. Je m’occupe de lui, et il s’occupe de moi.

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