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Cherie Priest: Boneshaker

Здесь есть возможность читать онлайн «Cherie Priest: Boneshaker» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2010, ISBN: 978-2-362-70009-5, издательство: Éclipse, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Cherie Priest Boneshaker

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Nous sommes en 1880. La Guerre Civile américaine fait rage depuis plus de deux décennies, poussant les avancées technologiques dans d’étranges et terribles directions. Des dirigeables de combat sillonnent le ciel, et des véhicules blindés rampent dans les tranchées. Les scientifiques de l’armée détournent les lois de la nature et échangent leur âme contre des armes surnaturelles alimentées par le feu, la vapeur et le sang. Bienvenue dans le Siècle Mécanique, un siècle sombre et différent. C’est dans ce monde que vit Briar Wilkes et son fils. Elle est la veuve de l’infâme Dr. Blue, créateur du Boneshaker, la machine qui détruisit Seattle, perçant par-là même une poche de gaz qui transforma les vivants en non-morts. Mais un beau jour, son fils décide de pénétrer dans Seattle dans l’espoir de réécrire l’histoire. Sa quête le conduira dans une ville en ruine grouillant de morts-vivants affamés, de pirates de l’air, de seigneurs criminels et de réfugiés armés jusqu’aux dents. Seule Briar peut le ramener vivant.

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— Je pense qu’il faisait ce qu’il estimait juste. Mais je voudrais vraiment savoir ce que vous , vous pensez. Maynard vous a élevée seul, n’est-ce pas ? Vous deviez le connaître mieux que quiconque.

Le visage de la jeune femme ne trahit aucune émotion.

— Quitte à vous surprendre, nous n’étions pas tellement proches.

— Mais votre mère est morte…

— À ma naissance, c’est exact. Il est le seul parent que je n’ai jamais eu, pour autant que l’on puisse le qualifier ainsi. Il était aussi perplexe devant sa fille que moi devant une carte d’Espagne.

Hale se sentit face à un mur de brique et battit alors en retraite, essayant de trouver un autre angle d’attaque pour revenir dans ses bonnes grâces. Du regard, il balaya la petite pièce au mobilier robuste, dénuée de toute décoration, ainsi que le sol propre mais délabré. Il remarqua le couloir qui conduisait à l’arrière de la maison. De sa place, il pouvait voir que les quatre portes qui se trouvaient à l’extrémité de celui-ci étaient fermées.

— Vous avez grandi ici, n’est-ce pas ? Dans cette maison ? fit-il semblant de deviner.

Elle ne se radoucit pas.

— Tout le monde sait ça.

— Ils l’ont tout de même ramené ici. Un des garçons qui s’étaient évadés de la prison et son frère, ils l’ont ramené ici et ils ont tenté de le sauver. Ils ont envoyé chercher un médecin, mais…

Briar récupéra le fil de la conversation et s’engouffra dans la brèche.

— Mais il avait déjà inhalé trop de Fléau. Il était mort avant que le médecin n’ait le message, et je jure (elle tapota la cigarette du bout des doigts pour faire tomber la cendre dans le feu) que c’est tout aussi bien. Pouvez-vous imaginer ce qui lui serait arrivé s’il avait survécu ? Jugé pour trahison, ou du moins pour insubordination ? Au mieux, emprisonné. Au pire, exécuté. Mon père et moi n’étions pas toujours d’accord, mais je n’aurais pas souhaité qu’il lui arrive cela. C’est tout aussi bien, répéta-t-elle en contemplant les flammes.

Hale prit quelques secondes pour essayer de formuler une réponse et il finit par demander :

— Avez-vous eu l’occasion de le revoir avant qu’il meure ? Je sais que vous étiez parmi les derniers à quitter Seattle et que vous êtes venue ici. L’avez-vous vu une dernière fois ?

— Je l’ai vu, acquiesça-t-elle. Il était allongé, seul, dans la pièce du fond, sur son lit, sous un drap qui était trempé par le vomi qui avait finalement provoqué sa mort en l’étouffant. Le médecin n’était pas là et, pour autant que je sache, il n’est jamais venu. Je ne sais pas s’il était même possible d’en trouver un, à ce moment-là, au beau milieu de l’évacuation.

— Alors il était mort, seul, dans cette maison ?

— Il était seul, confirma-t-elle. La porte d’entrée avait été fracturée, mais elle était fermée. Quelqu’un l’avait allongé soigneusement sur le lit, et traité avec égards, je me souviens bien de ça. Il était recouvert d’un drap et son fusil était posé sur le lit à côté de lui avec son insigne. Mais il était mort, et il l’est resté. Le Fléau ne l’a pas réanimé. Alors, je suppose qu’il faut remercier Dieu pour ces petites choses.

Hale nota tout cela, murmurant quelques mots encourageants tandis que son crayon glissait sur le papier.

— Est-ce que vous pensez que ce sont les prisonniers qui ont fait cela ?

Vous le pensez, répondit-elle, d’un ton presque accusateur.

— En tout cas, c’est ce que je suppose.

Il en était, en réalité, intimement persuadé. Le frère du prisonnier lui avait dit qu’ils avaient quitté le domicile de Maynard sans rien déranger ni toucher. Il avait affirmé qu’ils l’avaient allongé sur le lit et lui avaient couvert le visage. C’étaient des détails que personne d’autre n’avait mentionnés au cours de toutes les spéculations et enquêtes qui avaient eu lieu sur la Grande évasion du Fléau. Et il y en avait pourtant eu un certain nombre durant toutes ces années.

— Et ensuite… ? l’invita-t-il à poursuivre.

— Je l’ai traîné à l’arrière de la maison et je l’ai enterré sous l’arbre, à côté de son vieux chien. Quelques jours plus tard, deux fonctionnaires sont venus et l’ont déterré.

— Pour vérifier ?

Elle émit un grognement.

— Pour voir s’il ne s’était pas échappé de la ville pour retourner à l’est, ou si le Fléau ne l’avait pas ramené à la vie. Pour vérifier s’il était bien là où j’avais dit que je l’avais mis. À vous de choisir.

Il termina de consigner ses mots et leva les yeux.

— Ce que vous venez de dire sur le Fléau… Est-ce que l’on savait déjà, à ce moment, ce qu’il pouvait faire ?

— Oui, on le savait. On l’a découvert assez tôt. Ceux qui étaient morts à cause de cela n’ont pas tous recommencé à bouger, mais les corps qui ont effectivement repris vie se sont mis à grimper et à chasser assez rapidement, en quelques jours. Mais, pour l’essentiel, les gens voulaient vérifier que Maynard ne s’était pas enfui en emportant quoi que ce soit. Lorsqu’ils ont constaté qu’ils ne pouvaient plus rien lui faire, ils l’ont laissé là. Ils n’ont même pas pris la peine de l’enterrer. Il était dehors, à côté de l’arbre, et il a fallu que je le remette moi-même en terre une seconde fois.

Le crayon et le menton de Hale s’étaient immobilisés au-dessus du papier.

— Je suis désolé, mais ce que vous avez dit… Vous voulez dire que… ?

— Ne soyez pas si choqué. (Elle changea de position dans le fauteuil et le cuir crissa contre sa peau.) Au moins, ils n’avaient pas rebouché le trou. La seconde fois était bien plus rapide. Permettez-moi de vous poser une question, monsieur Quarter.

— Hale, je vous en prie.

— Comme vous voulez, Hale. Dites-moi, quel âge aviez-vous lorsque le Fléau est apparu ?

Conscient du tremblement de son crayon, il le posa à plat contre son carnet et répondit :

— J’avais presque six ans.

— C’est à peu près ce que je pensais. Vous n’étiez pas bien vieux. Vous ne savez même plus comment c’était avant le mur, n’est-ce pas ?

Il secoua la tête ; non, effectivement, il ne s’en souvenait plus. Pas vraiment, du moins.

— Mais je me rappelle quand ils se sont mis à construire le mur. Je l’ai vu s’élever, rangée après rangée, autour des quartiers contaminés. Une muraille de soixante mètres de haut, tout autour des zones évacuées.

— Je m’en souviens également. Je l’ai regardé d’ici. On pouvait le voir de la fenêtre à l’arrière de la maison, dans la cuisine. (Elle fit un signe de la main vers la cuisinière et une petite ouverture rectangulaire qui se trouvait derrière.) Jour et nuit, pendant sept mois, deux semaines et trois jours, ils ont travaillé à la construction de ce mur.

— C’est très précis. Est-ce que vous notez toujours ce genre de choses ?

— Non, répondit-elle, mais c’est facile à retenir. Ils ont terminé le jour de la naissance de mon fils. Je me suis longtemps demandé si ça ne lui manquait pas, le bruit des travaux. La cadence des marteaux, le battement des burins manipulés par les maçons ; il les avait toujours entendus pendant qu’il était dans mon ventre. Dès que le pauvre enfant est né, le monde s’est tu.

Elle pensa brusquement à quelque chose et elle se redressa dans son fauteuil, qui protesta en crissant.

Elle jeta un coup d’œil à la porte.

— En parlant de mon fils, il se fait tard. Je me demande où il est encore allé. À cette heure-ci, en général, il est rentré.

Puis elle se reprit.

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