John Varley - Millénium

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Au-dessus d’Oakland, en Californie, un DC-10 et un 747 entrent en collision : c’est la plus grande catastrophe de l’histoire de l’aviation.
Dans les siècles des siècles, une équipe de voyageurs du temps s’apprête à remonter dans le passé pour kidnapper ces gens promis à une mort inéluctable mais qui, si l’on prenait la peine de les consulter, préféreraient peut-être ce triste destin é l’avenir radieux qu’on leur prépare.
Elle : superbe (quoique complètement en toc), elle dirige le commando chargé de ce détournement. Lui : alcoolo (mais séduisant), il dirige l’enquête officielle sur les lieux du désastre, Ils vont se rencontrer au détour du temps… et du destin. Mais qui est le marionnettiste cynique et narquois qui tire les ficelles cachées et mène où bon lui semble cette histoire — notre Histoire ?

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« On pourrait effectuer quelques tests sur ce tissu », dit-il enfin. « Quoique je doute qu’il nous révèle quoi que ce soit. Dites-moi, Bill, verriez-vous une objection à répéter toute cette histoire sous hypnose ? »

Je ris. « Je ferais n’importe quoi, Arnold, mais je doute que ça vous avance. J’ai déjà essayé : je suis réfractaire à l’hypnose. »

« À trois, vous vous réveillerez, totalement reposé. Un, deux, trois. »

Je me relevai. Je me sentais en hyper-forme. Naturellement, ça ne les avait guère avancés, j’avais simplement répété mon histoire comme la fois précédente…

Putain de merde.

« Vous l’avez fait », dis-je, abasourdi. « Vous m’avez eu. »

Je m’adressais à l’une des deux autres personnes dans le bureau, le docteur Leggio qu’Arnold avait appelé après mon accord pour la séance d’hypnose. C’était un médecin.

« Je me souviens de tout », dis-je encore un peu ahuri. « J’ai vraiment marché à fond…»

Leggio rit : « C’est la seule manière pour que ça marche, monsieur Smith. Vous êtes un bon sujet. Votre mémoire est excellente. »

Je regardai Mayer.

« Et j’ai bien raconté strictement la même chose, n’est-ce pas ? »

Il opina, de mauvaise grâce.

« Nous avons obtenu plus de détails…, mais effectivement, vous n’avez jamais hésité. »

Les cinq notes de la sonnette retentirent encore. Leggio me serrait la main comme il s’apprêtait à partir, ainsi que l’autre personne à qui je n’avais d’ailleurs pas adressé la parole car elle était arrivée en pleine séance et Leggio ne m’avait à aucun moment demandé de lui parler. Elle s’appelait Frances Schrader et elle possédait un doctorat en biochimie ainsi qu’un bon coup de crayon. Bon sang, les docteurs devenaient si nombreux dans le coin qu’ils se marchaient presque sur les pieds.

Leggio et Schrader sortirent, remplacés par un nouveau type, trimbalant tout un lourd équipement. Pendant qu’il le déballait et l’installait, Arnold fit les présentations. Il s’appelait Phil Karakov et c’était un spécialiste du polygraphe.

Je soupirai, me rassis et me laissai brancher sur la machine.

« Impossible de déceler la moindre faille dans son récit », conclut enfin Karakov.

Mayer semblait écouter d’une oreille distraite. Je me sentais soulagé d’avoir réussi l’épreuve du détecteur de mensonges aussi bien que l’examen sous hypnose, et pendant ce temps-là, mon Mayer contemplait par la fenêtre le crépuscule au-dessus des vergers.

« Merci, Phil, dit-il, je vous tiendrai au courant. »

Karakov remballa son équipement et sortit. Mayer continua de contempler le paysage. Puis il prit le croquis que Frances Schrader avait crayonné, l’examina et me le passa.

Il était très bon. Leggio m’avait fait me souvenir de détails que j’avais été incapable de me rappeler la fois d’avant. Schrader avait travaillé pendant que je la surveillais par-dessus son épaule, rectifiant et complétant les détails à mesure que Leggio me pressait de plonger plus profond dans mon esprit. Il y avait deux vues du paralyseur, l’une nettement meilleure que l’autre. La première montrait ce que j’avais vu de l’extérieur. La seconde présentait les entrailles de la machine que je n’avais entrevues qu’une seconde avant de me faire buter.

Mayer semblait finalement disposé à dire quelque chose quand la sonnette à musique retentit de nouveau. Il fronça les sourcils, se leva, et gagna la porte d’entrée. Il était bientôt de retour.

« Personne, dit-il. Ça n’est jamais arrivé…»

Nouvelle sonnerie. Il eut l’air d’avoir avalé de travers, mais retourna néanmoins à la porte. Cette fois, il fut parti plus longtemps. Pendant son absence, le sacré bidule retentit trois fois encore.

« J’ai regardé partout, il doit y avoir un défaut de fonctionnement. Je l’ai débranchée, comme ça, elle ne devrait plus…»

Ça sonne encore. Il était à deux doigts de dire des choses peu aimables quand son phonographe à cylindre se mit à jouer. Une espèce de chansonnette écossaise qui grattait comme tous les diables. Pendant qu’on regardait l’appareil éberlués, sa chaîne se mit en marche à tout berzingue, déversant des flots de Wagner. Comme il se ruait pour l’arrêter, la photocopieuse se mit à tourner, crachant du papier à travers toute la pièce. Je m’aperçus que son terminal d’ordinateur s’était également allumé. Toutes les lumières de la maison baissèrent pour se rallumer violemment.

Entre-temps, je m’étais levé. Je n’aurais pas été étonné outre mesure si un peloton d’autos miniatures avaient surgi de la cuisine, talonnées par un aspirateur. Steve Spielberg, reviens, tu nous manques !

Puis toutes les glaces du mur de Mayer se pulvérisèrent, projetant des débris de verre dans tout son potager.

19. À l’Aube des ténèbres

Nous contemplions l’intérieur d’un tunnel infini.

Il y avait un bruit. Un bruit que j’avais déjà entendu : le même grondement sourd que lorsque je m’étais trouvé dans le couloir devant ma chambre d’hôtel. Cette fois, il était beaucoup plus fort. Le sol se mit à trembler et deux taches de lumière éblouissante apparurent quelque part au fond de cet impossible tunnel.

Le tunnel n’était même pas là, en fait. Je pouvais toujours distinguer au travers les arbres du verger. Il y avait aussi des formes bizarres et peu catholiques et je préférai fixer plutôt les taches lumineuses.

Ces taches commencèrent à prendre la forme d’êtres humains. Puis la perspective se déforma et un vent puissant se mit à souffler. Les papiers virevoltaient autour de nous et toute la pièce se mit à luire – comme l’autre fois, dans ma chambre d’hôtel lorsque j’avais ouvert la porte. Je regardai ma main. Elle luisait également, mais elle n’était pas froide. Je regardai de nouveau le tunnel. À un moment, les lumières étaient à cent kilomètres de distance, l’instant d’après elles étaient sur nous, pour s’éloigner ensuite aussitôt.

Puis ce fut terminé. Louise se tenait au milieu des débris de la verrière d’Arnold. Elle portait la combinaison noire de commando qu’elle avait déjà lors de cette fameuse nuit dans le hangar. À côté d’elle se trouvait autre chose. Au premier abord, je fus incapable de dire quoi. C’était humanoïde, ça avait un visage, deux bras et deux jambes. C’était à mi-chemin entre le robot de la Guerre des Étoiles et Chapi-Chapo , les marionnettes d’animation en terre cuite. La créature se mouvait avec fluidité et semblait n’avoir aucune jointure. Mais elle était de grande taille et bâtie comme un haltérophile.

Il n’y avait aucun doute dans mon esprit. Ce n’était pas un être humain sous un drôle de déguisement. C’était une créature extra-terrestre ou bien un robot, enfin une chose quelconque que je n’avais encore jamais vue.

Arnold Mayer fut le premier à recouvrer sa voix.

« Je suppose que vous êtes Louise Ball.

— Baltimore, pour être exact », répondit-elle en entrant dans la pièce. « Descendante d’une longue lignée d’Américains de Maryland. » Elle saisit une chaise, à quelques pas de celle où je m’étais assis, l’inclina pour faire tomber la pile de livres et de papiers et s’installa. « Mon compagnon se nomme Sherman.

— Enchanté de faire votre connaissance, docteur Mayer, monsieur Smith », dit Sherman. Il se tenait toujours près de la verrière brisée.

« C’est un homme mécanique, poursuivit Louise. Un robot, si vous voulez. Il est au moins aussi intelligent que l’un ou l’autre d’entre vous et il est cent fois plus fort et mille fois plus rapide. Je l’ai baptisé du nom d’un char célèbre utilisé lors de la Première Guerre atomique.

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