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T. Brass: Le Dieu-Baleine

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T. Brass Le Dieu-Baleine

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Dans un avenir lointain, des trillions de Néchiffes à quatre orteils habitent des fourmilières souterraines où ils mènent une existence programmée d’hommes-insectes. Les Agrimachines cultivent pour eux les champs et ont éliminé toute forme de vie inutile. Les ratisseurs de plancton ont fait de même à la surface des océans jusqu’à ce que les mers elles aussi deviennent stériles. Mais les humains sauvages et les renégats des cités s’efforcent en toute innocence de maintenir les anciennes valeurs de l’humanité. Avec d’étranges alliés comme le , un navire robot qui a la nostalgie des grandes pêches d’antan… Ou comme Trilobite, le petit cyber sentimental. Dans la tradition du d’Aldous Huxley et de de Frank Herbert, voici la suite d’ , et un nouveau roman tout aussi étrange et inquiétant que le premier sur un avenir écologique possible de l’humanité, écrit par un biologiste qui est aussi un formidable conteur.

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— « L’Arche de Dever ! » s’écria Larry. « Ils ont échoué ? Serait-il possible qu’elle ait simplement contourné le soleil et soit retombée sur Terre après des milliers d’années ? »

— « Peut-être, » fit Rorqual.

— « Cela expliquerait le retour sur Terre de la faune et de la flore. Les vaisseaux d’Implantation sont équipés pour ensemencer les planètes. Nous avons retrouvé un engin construit par le Clan Dever, mes descendants. »

Le gros Har, qui s’était tu jusque-là, ramassa une relique rouillée en provenance de l’épave. « C’est tout ce qui reste de notre dieu ? Une machine morte ? »

Larry était presque en larmes. « Ils ont échoué ? Ira, Jen-W5, Dever le Demeuré… échoué ? »

ARNOLD railla : « Venant de la fourmilière, on pouvait s’attendre à un échec ! »

— « Il n’y avait pas de fourmilière en ce temps-là, » dit Larry. « Rien qu’OLGA, la cyberdéesse, et KARL, son serviteur. L’Âge d’Or ! La population terrestre ne se montait qu’à un pour cent de la population actuelle. Vois toutes les espèces qui se trouvaient à bord de l’Arche. Aucune d’elles n’a survécu à l’âpre compétition avec le Néchiffe. »

— « Alors, l’homme n’a pas réussi à atteindre les étoiles, » murmura ARNOLD. « Qu’y a-t-il là de si terrible ? Peut-être que l’homme n’était pas fait pour ça. Après tout, nous ne sommes que des animaux, des animaux supérieurs, peut-être, mais nous mangeons, dormons, nous accouplons et mourons comme les autres créatures. Pourquoi s’attendrir sur une tentative qui remonte à un millier d’années ? »

Larry déplaça son mannequin jusqu’au sabord et contempla la mer Arctique, grise et gelée. « J’aime à penser que l’homme est la plus noble créature de l’Univers… que la Terre est la planète la plus importante… et que j’ai… eh bien, une certaine importance. »

ARNOLD s’excusa : « Je ne suis qu’un guerrier. Il serait très mauvais pour moi d’aller au combat la tête remplie de songes creux. Cela pourrait me rendre moins sûr de moi. Mais tu as toujours été un penseur. Pardonne-moi si je t’ai offensé. Allons manger. »

Har montra peu d’appétit. « J’ai toujours le sentiment qu’il existe un dieu qui veille sur nous. Nous avons prié pour que la mer redevienne féconde, et cela s’est réalisé, après des millénaires de stérilité. Seul un dieu peut accomplir une chose semblable… peut-être un dieu qui aurait guidé un vaisseau interstellaire ? »

Rorqual rassura le gros Har. « Il est bon d’avoir un dieu, et nous possédons la preuve concrète que l’Univers entier a été créé pour les formes de vie intelligentes de cette planète si nous acceptons la prémisse cosmologique qu’un Créateur signe habituellement son œuvre. »

Les yeux de Larry s’allumèrent : « Bien sûr ! L’argument sur lequel s’appuie l’anthropocentrisme universel. ga = c ! La constante primordiale dans l’Univers, c’est la vitesse de la lumière. Quelle est-elle, exactement ? »

Rorqual répondit sur l’imprimante :

c = 2,997925010 x 10 8mètres à la seconde.

— « Oui. Et si nous multiplions l’accélération de la pesanteur terrestre en mètres par seconde par seconde (m/sec 2) par l’année terrestre en secondes, nous obtenons sa vitesse (m/sec). Le temps multiplié par l’ accélération égale la vitesse . Pour la planète Terre, cette vitesse est précisément celle de la lumière ; ou, du moins, elle l’était lorsque notre premier ancêtre anthropoïde a foulé son sol. »

ARNOLD fronça le sourcil : « Tu veux dire que cette constante se retrouve partout dans l’Univers et que le temps de gravitation annuel de notre planète lui est égal ? Quelle est la formule en chiffre rond ? »

L’écran s’alluma respectueusement : « La formule d’OLGA :

9,8 m/sec 2x 3,0 x 10 7sec = 3,0 x 10 8m/sec

Également utilisée comme indice d’hospitalité pour les planètes des systèmes astraux lointains. »

ARNOLD approuva : « Elles sont très proches ; il n’y a qu’un écart de deux pour cent. »

Larry sourit : « Cet écart disparaît si nous en venons aux chiffres exacts. La vitesse de la lumière est en peu en dessous de celle que tu viens de nous donner : 2,9979 x 10 8. Elle est invariable. L’année est un peu plus longue chaque siècle : deux tiers de seconde environ. Aujourd’hui, elle est d’environ 3,15577 x 10 7secondes, mais, quand sont apparus les ancêtres prosimiens de l’homme, l’année terrestre était précisément 3,065 x 10 7. La pesanteur varie légèrement de l’équateur au pôle, mais, sur le site du plus ancien ancêtre fossile de l’homme, nous avons une g de 9,78 m/sec 2. Ce qui nous donne cette formule plus exacte :

9,78 m/sec 2par 3,065 x 10 7sec – 2,9979 x 10 8m/sec.

Ce qui tombe en plein dans le mille ! L’année était un peu plus courte avant les Prosimiens, et un peu plus longue après ; il y a donc eu une époque où la formule était exacte jusqu’à un nombre infini de décimales. »

ARNOLD continuait à mettre en doute la formule. « Je suppose que le résultat est le même quelle que soit l’unité employée : mètres par seconde, ou kilomètres-heure ? »

— « Bien entendu. Mais il faut garder les mêmes unités durant toute l’opération. »

— « Et en ce qui concerne les autres planètes ? » Rorqual effectua une brève vérification : « La formule ne donne que dix pour cent de la vitesse de la lumière pour Mercure ; soixante-six pour cent pour Vénus, et soixante-quinze pour cent pour Mars. Les planètes des systèmes extérieurs en sont éloignées de plusieurs décimales. »

— « Intéressant, » dit ARNOLD. « Mais si Vénus ou Mars étaient un peu plus grandes ou plus lentes, la formule leur conviendrait également. Peut-être toutes les planètes biologiquement riches s’adaptent-elles à cette formule. »

— « Peut-être, » dit Larry. « Mais cela suffit à faire le bonheur des cosmologues. Un Univers si bien ordonné ! »

ARNOLD demanda à Rorqual d’autres imprimés. Il voulait à présent étudier l’humanité fossile. « Pourquoi retourner jusqu’au Prosimien ? Qu’avez-vous contre le premier hominidé, ce sinanthrope du Miocène, le Proconsul ? Pourquoi ne pas prendre cette année-là ? »

Larry plissa le front. « Cette année était longue de 3,1416 x 10 7secondes. Dans la formule g x a = c , la réponse est : vitesse de la lumière, plus une erreur de plus un et demi pour cent. Ne t’emballe pas sur le nombre 3,1416. C’est le nombre pi, le rapport de la circonférence d’un cercle à son diamètre. Cependant, si nous le voyons apparaître ici, dans le nombre des divisions temporelles annuelles, ce n’est qu’un artefact de notre unité de temps. Contrairement à la vitesse de la lumière, qui est une constante universelle quelles que soient les unités. »

ARNOLD poursuivit l’examen des imprimés délivrés par R orqual, qui s’allongeaient et s’ornaient de couleurs éclatantes, de dessins minutieux et d’images miniature. Le navire possédait un sens du détail très poussé et griffonnait véritablement un manuscrit enluminé des âges géologiques. « Je crois comprendre maintenant, » dit le guerrier. « Il semble s’être produit un changement abrupt vers l’époque de votre Prosimien, le Palachthon. Le Crétacé se termine par un boum : environ un tiers des familles animales disparurent de la surface : les dinosaures, les reptiles marins, les reptiles volants, les ammonites, les mollusques et le nanoplancton calcaire. Ta formule semble dotée d’un certain pouvoir magique. Je pense que quelqu’un a mis en évidence cette extinction massive, comme un signet dans le livre des fossiles afin que nous la remarquions. »

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