Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Personne ne va bien loin, ici. Chester’s Mill ne fait pas plus de six kilomètres à l’endroit le plus large. Si l’on prend la diagonale… » Il regarda Julia.

« Huit, maximum », dit-elle.

Cox reprit : « Nous ne pensons pas que les polluants issus de la combustion de produits pétroliers vont constituer un gros problème. Je suis sûr que tout le monde a chez soi une magnifique chaudière — ces temps-ci, ils ont des autocollants sur leurs bagnoles, en Arabie Saoudite, où on lit J’aime la Nouvelle-Angleterre —, mais les chaudières à gazole modernes ont besoin d’électricité pour faire fonctionner leur brûleur. Vos réserves de gazole sont sans doute importantes, si l’on considère que la saison du chauffage n’a pas encore commencé, mais je ne crois pas qu’elles vous seront d’une grande utilité. À long terme, c’est peut-être une bonne chose, du point de vue de la pollution.

— Ah, vous pensez ? Venez donc par ici quand il fait moins quinze et que le vent souffle à… » Il s’interrompit un instant. « Est-ce que le vent va souffler ?

— Nous n’en savons rien, dit Cox. Redemandez-le-moi demain matin, j’aurai peut-être au moins une hypothèse là-dessus.

— Nous pouvons brûler du bois, intervint Julia. Dites-le-lui.

— Ms Shumway dit que nous pouvons brûler du bois.

— Va falloir que les gens se montrent prudents avec ça, capitaine Barbara-Barbie. Certes, ce ne sont pas les bois qui vous manquent et là, pas besoin d’électricité pour allumer un feu et continuer à le faire brûler, mais le bois produit des cendres, des particules cancérigènes.

— On commence à chauffer ici… »

Barbie regarda Julia.

« Vers le 15 novembre.

— Vers la mi-novembre, me dit Ms Shumway. J’aimerais vous entendre dire que le problème sera réglé d’ici là.

— Tout ce que je peux vous répondre, c’est que nous allons nous battre comme de beaux diables pour qu’il le soit. Ce qui m’amène au point important de cette discussion. Les grosses têtes — du moins celles que nous avons pu réunir jusqu’ici — sont toutes d’accord pour dire que nous avons à faire à un champ de force…

— Exactement comme dans Star Trek , dit Barbie. Téléporte-moi, Snotty.

— Pardon ?

— Rien. Continuez, colonel.

— Mais aussi pour dire qu’un champ de force n’apparaît pas comme ça, ex nihilo . Il doit y avoir quelque chose de proche du champ, ou à l’intérieur, pour le générer. Nos grosses têtes pensent que l’hypothèse du centre est la plus probable. Comme la poignée d’un parapluie , a dit l’un d’eux.

— Vous pensez que ça vient de l’intérieur ?

— Nous pensons que c’est une possibilité. Et il se trouve justement que nous avons un soldat décoré dans ce patelin… »

Un ex-soldat , pensa Barbie. Quant aux décorations, elles sont au fond du golfe du Mexique depuis dix-huit mois . Quelque chose lui disait cependant que son temps de service venait d’être prolongé, que cela lui plût ou non. À la demande générale , comme le dit la sagesse populaire.

« … dont la spécialité en Irak était de repérer les usines de bombes d’al-Qaida. De les repérer et de les fermer. »

Bon. En gros, rien qu’un générateur de plus. Il pensa à tous ceux devant lesquels Julia et lui étaient passés, rien que pour venir ici, ronronnant dans l’obscurité pour produire chaleur et électricité. Consommant pour cela du propane. Il prit soudain conscience que le propane et les batteries, encore plus que la nourriture, allaient devenir le nouvel étalon-or de Chester’s Mill. Une chose était certaine : les gens allaient brûler du bois. Bois dur, résineux, bois de récup. Et rien à foutre des cancérigènes.

« Ce truc n’aura rien à voir avec les générateurs qui tournent ce soir dans votre petit paradis, reprit Cox. L’engin capable de produire ça… nous n’avons aucune idée de ce à quoi il peut ressembler, ou de qui pourrait construire un truc pareil.

— Mais l’Oncle Sam aimerait bien mettre la main dessus », dit Barbie. Il serrait tellement fort le téléphone qu’il était sur le point de le broyer. « En réalité, c’est ça la priorité, n’est-ce pas, colonel ? Vu qu’une pareille machine pourrait changer le monde. Les habitants de ce patelin — leur sort est strictement secondaire. Rien que des dommages collatéraux.

— Oh, ne soyez pas aussi mélodramatique, répliqua Cox. Sur ce point, nos intérêts coïncident. Trouvez le générateur, s’il en existe un. Trouvez-le de la même manière que vous trouviez les usines de bombes et arrêtez-le. Problème résolu.

— S’il y en a un.

— S’il y en a un, exact. Allez-vous essayer ?

— J’ai le choix ?

— Pas que je sache, mais je suis militaire de carrière. Pour nous, le libre arbitre n’est pas de mise.

— Ken, c’est une mission foutrement pourrie. »

Cox mit du temps à répondre. En dépit du silence qui régnait sur la ligne (exception faite d’un léger bourdonnement aigu, signifiant peut-être que la conversation était enregistrée), Barbie l’entendait presque réfléchir. « C’est vrai, dit finalement le colonel, mais c’est toi qui auras la part belle, ma garce. »

Barbie se mit à rire. Il ne put s’en empêcher.

3

Sur le chemin du retour, alors qu’ils passaient devant la masse sombre de l’église du Christ-Rédempteur, il se tourna vers Julia Shumway. Dans l’éclairage du tableau de bord, elle paraissait fatiguée et soucieuse.

« Je ne vais pas vous demander le silence sur tout ça, dit-il, mais je pense qu’il y a une chose que vous ne devriez pas publier.

— L’histoire du générateur qui est ou n’est pas dans Chester’s Mill. »

Sa main gauche quitta le volant et alla caresser la tête d’Horace, à l’arrière, pour le rassurer.

« Oui.

— Parce que s’il existe un générateur qui produit le champ qui crée ce que votre colonel appelle le Dôme, il y a alors quelqu’un qui le fait fonctionner. Quelqu’un ici .

— Cox ne l’a pas dit, mais je suis sûr que c’est ce qu’il pense.

— Je n’en parlerai pas. Et je n’enverrai pas mes photos par Internet.

— Bien.

— Elles paraîtront de toute façon en primeur dans The Democrat , bon Dieu. » Julia continua à caresser son chien. Les gens qui conduisaient d’une main avaient tendance à rendre Barbie nerveux, mais pas ce soir. Ils avaient le chemin de Little Bitch et la 119 pour eux tout seuls. « De plus, j’estime que, parfois, le bien général est plus important qu’un article retentissant. Contrairement au New York Times .

— Et toc.

— Et si vous trouvez le générateur, je n’aurai pas besoin d’aller faire trop longtemps mes courses au Food Center. Je déteste ce supermarché. » Elle parut soudain prise de court. « Vous croyez qu’il sera ouvert, demain ?

— Je dirais que oui. Les gens peuvent mettre un certain temps à comprendre toutes les implications de cette nouvelle situation.

— Je crois que je serais bien inspirée en faisant quelque courses dominicales, dit-elle, songeuse.

— Donnez le bonjour de ma part à Rose Twitchell. Elle aura probablement son fidèle Anson Wheeler en remorque. » Se souvenant du conseil qu’il avait donné à Rose un peu plus tôt, il se mit à rire et dit : « De la viande, de la viande, de la viande.

— Pardon ?

— Si vous avez un générateur dans votre maison…

— Évidemment, j’habite au-dessus du journal. Ce n’est pas une maison, seulement un appartement, mais il est superbe. J’ai pu déduire le générateur de mes impôts, ajouta-t-elle avec fierté.

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