Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Très bien. Ce sera juste Barbie. Ça vous va ?

— Oui monsieur.

— Et en ce qui concerne ce que la dame en question décidera de publier… pour le bien des habitants de votre patelin, j’espère qu’elle a assez de bon sens pour faire des choix judicieux.

— Il me semble que c’est le cas.

— Et si jamais elle envoie des photos à qui que ce soit à l’extérieur — à un hebdomadaire ou au New York Times , par exemple —, vous risquez de vous retrouver avec une liaison Internet dans le même état que vos lignes téléphoniques terrestres.

— Ça c’est vraiment dégueu…

— La décision serait prise à un échelon supérieur. Je ne fais que transmettre. »

Barbie soupira. « Je le lui dirai.

— Vous me direz quoi ? demanda Julia.

— Que si vous essayez de transmettre des photos, ils useront de représailles contre la ville en fermant l’accès au réseau Internet. »

Julia eut un geste de la main que Barbie n’aurait jamais pensé voir faire par une charmante dame républicaine. Il revint à la communication.

« Qu’est-ce que vous pouvez me dire ?

— Tout ce que je sais, répondit Cox.

— Merci, monsieur. »

Barbie doutait cependant que le colonel tînt parole. L’armée ne fait jamais état de tout ce qu’elle sait. Ou croit savoir.

« Nous l’appelons le Dôme, reprit Cox, mais ce n’est pas un dôme. Du moins, nous ne pensons pas que c’en soit un. Nous pensons qu’il s’agit d’une capsule dont les limites respectent exactement celles du territoire communal de Chester’s Mill. Et quand je dis exactement, c’est exactement.

— Savez-vous jusqu’à quelle altitude il s’élève ?

— Apparemment, à quinze mille mètres environ. Nous ignorons si le sommet est rond ou plat. Pour le moment. »

Barbie ne dit rien. Il était sidéré.

« Et quant à la profondeur… qui sait ? Tout ce que nous pouvons dire, pour le moment, est qu’elle dépasse trente mètres. C’est la profondeur de l’excavation que nous sommes en train de creuser sur la ligne de démarcation entre Chester’s Mill et la zone sans statut au nord.

— Le TR-90. »

Barbie sentit le ton déprimé, sinistre de sa voix.

« Peu importe. Nous sommes partis d’une gravière qui était déjà profonde d’une dizaine de mètres. J’ai vu des images spectrographiques qui m’ont laissé sans voix. Notamment de grands pans de roches métamorphiques qui ont été coupés en deux. Il n’y a pas de rupture, mais on voit un léger changement de direction là où la plaque rocheuse plonge au nord. Nous avons vérifié les relevés sismiques de la station météo de Portland, et bingo : on a constaté une secousse à onze heures quarante-quatre. De 2,1 sur l’échelle de Richter. C’est à ce moment-là que ça s’est produit.

— Génial », dit Barbie.

Il se voulait sarcastique, mais il était trop stupéfait et perplexe pour être sûr de l’avoir été.

« Rien de tout cela n’est très concluant, mais c’est persuasif. D’accord, les explorations ne font que commencer, mais pour le moment, on dirait que le truc s’enfonce autant qu’il monte. Et s’il s’élève à plus de cinq nautiques…

— Et ça, comment le savez-vous ? Le radar ?

— Négatif. Ce truc-là n’apparaît pas sur les écrans radar. Il n’y a aucun moyen de savoir que c’est là tant qu’on ne le heurte pas, ou qu’on en est pas tellement proche qu’on ne peut l’éviter. Les victimes humaines, au moment où ce machin s’est mis en place, sont remarquablement peu nombreuses, mais pour les oiseaux ç’a été un vrai massacre. Aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur.

— Je sais. Je les ai vus. »

Julia avait terminé de prendre des photos. Elle se tenait à côté de Barbie, écoutant la conversation. « Dans ce cas, comment savez-vous l’altitude à laquelle il monte ? Laser ?

— Non. Les lasers passent aussi au travers. Nous nous servons de missiles dépourvus de tête explosive. Nous avons fait effectuer plusieurs sorties à des F-15A, depuis la base de Bangor, à partir de seize heures. Je suis étonné que vous ne les ayez pas entendus.

— Je les ai peut-être entendus, mais j’avais l’esprit occupé à autre chose. »

L’avion de tourisme, par exemple. Le camion de grumes. Les morts sur la Route 117. Faisaient partie du nombre remarquablement réduit de victimes .

« Les missiles rebondissaient dessus… puis à un peu plus de quinze mille mètres, plus rien, ils sont passés comme dans du beurre et ont filé de l’autre côté. Entre vous et moi, je suis surpris que nous n’ayons pas perdu un seul de nos acrobates.

— A-t-il été déjà survolé ?

— Oui. Il y a moins de deux heures. Mission réussie.

— Qui a fait ce truc, colonel ?

— Nous ne savons pas.

— Ce n’est pas nous ? Une expérience qui aurait mal tourné ? Ou bien, Dieu m’en garde, une sorte de test ? Vous me devez la vérité. Vous devez la vérité à cette ville. Les gens sont fichtrement terrifiés, ici.

— Je comprends. Mais ce n’était pas nous.

— Le sauriez-vous, si c’était le cas ? »

Cox hésita. Quand il reprit la parole, ce fut à voix plus basse : « Nous avons d’excellentes sources, dans mon département. Quand quelqu’un pète à la NSA, nous l’entendons. Pareil pour le Group Nine de la CIA, à Langley, et pour une ou deux autres cellules du même genre dont vous n’avez même pas entendu parler. »

Il était possible que Cox dît la vérité. Il était possible qu’il ne la dît pas. Le personnage était fidèle à sa vocation : aurait-il été en faction ici, en compagnie des autres clowns de marines, que Cox lui aurait tourné le dos. Cela ne lui aurait pas plu, mais les ordres sont les ordres.

« Est-ce qu’il pourrait s’agir d’un phénomène naturel ?

— Un phénomène naturel qui respecterait exactement la frontière arbitraire, tracée par les hommes pour délimiter le territoire d’une agglomération ? Jusque dans ses moindres recoins ? À votre avis ?

— Je devais poser la question. La barrière est-elle perméable ? Le savez-vous ?

— L’eau passe. Au moins un peu.

— Comment est-ce possible ? »

Il avait posé la question alors qu’il avait lui-même constaté avec Gendron le comportement bizarre de l’eau.

« Nous n’en savons rien — comment pourrions-nous le savoir ? répondit Cox d’un ton exaspéré. Cela fait moins de douze heures que nous travaillons sur la question. Nos grosses têtes se donnent des claques dans le dos rien que pour avoir découvert à quelle altitude le phénomène s’interrompait. Nous allons peut-être le découvrir, mais pour le moment, nous l’ignorons.

— Et l’air ?

— L’air passe un peu mieux. Nous avons installé un système de contrôle là où votre patelin a sa frontière avec… mmm… » Barbie entendit, lointain, le froissement de feuilles que l’on tournait. « … Harlow. Ils ont conduit ce qu’ils ont appelé des tests de bouffées . Je crois qu’ils mesurent la proportion d’air qui passe par rapport à celle qui rebondit. Bref, l’air passe, et beaucoup plus facilement que l’eau, mais pas complètement, d’après les scientifiques. Voilà qui va sérieusement foutre le bordel dans le temps qu’il fera chez vous, mon vieux, sauf que personne ne peut dire dans quelle mesure ni comment il sera bouleversé. Si ça se trouve, Chester’s Mill va se retrouver avec le climat de Palm Spring. »

Il rit, mais sans conviction.

« Et les particules ?

— Non. Les particules de matière ne passent pas. Du moins, c’est ce qui nous semble. Et cela vous intéressera de savoir que ça vaut pour les deux sens. Si les particules de matière n’entrent pas, elle ne sortent pas non plus. Ce qui signifie que les polluants émis par les autos…

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