Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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« Bien entendu, dit Rose, cette écervelée de Dodee peut très bien avoir décidé de ne pas venir travailler pour aller traîner au centre commercial d’Auburn.

— Mr Sanders sait-il que c’était sa femme, dans l’avion ?

— Je ne peux pas le dire avec certitude, mais ça m’étonnerait qu’il ne soit pas au courant à l’heure qu’il est. »

Sur ce, elle se mit à chanter, d’une voix légère, mais mélodieuse : « C’est une petite ville, ici, tu vois ce que je veux dire ? »

Barbie sourit et chanta à son tour la suite de la chanson : « Rien qu’une petite ville, mon chou, et tout le monde soutient l’équipe. » Paroles tirées d’une chanson ancienne de James McMurtry qui avait connu un mystérieux regain de faveur pendant deux mois, l’été précédent, sur deux stations du Maine spécialisées dans le country & western. Pas sur WCIK, bien entendu, James McMurtry n’était pas le genre d’artiste que Radio-Jésus soutenait.

Rose montra les frites : « Tu en mangeras encore ?

— Non. J’ai perdu l’appétit. »

Barbie n’éprouvait pas d’affection particulière pour Andy Sanders et son éternel sourire, ni pour Dodee la dondon, laquelle avait certainement contribué avec sa bonne amie Angie à répandre la rumeur qui avait valu à Barbie ses ennuis au Dipper’s, mais l’idée que ces fragments de corps humain (c’était à l’image de la jambe dans le pantalon vert que son esprit ne cessait de revenir) avaient appartenu à la mère de Dodee… à l’épouse du premier conseiller…

« Moi aussi », dit Rose en enfonçant sa cigarette dans le ketchup. Le mégot émit un sifflement et, pendant un moment affreux, Barbie crut qu’il allait vomir. Il détourna la tête et regarda par la fenêtre ; mais d’ici, il n’y avait rien à voir sur Main Street. D’ici, la rue était plongée dans l’obscurité.

« Le Président va prendre la parole à minuit », leur lança Anson depuis le comptoir. Le grondement bas et régulier du lave-vaisselle résonnait derrière lui. Barbie songea que c’était peut-être la dernière fois que le bon vieil Hobart faisait son boulot, au moins pour un moment. Il devait en convaincre Rose. Elle allait renâcler, mais elle avait du bon sens. C’était une femme intelligente et pratique.

La mère de Dodee Sanders. Nom de Dieu. Quelle était la probabilité ?

Il se rendit compte qu’elle n’était pas si extraordinaire. Si cela n’avait pas été Mrs Sanders, il aurait très bien pu s’agir de quelqu’un d’autre qu’il aurait connu aussi. C’est une petite ville, mon chou, et tout le monde soutient l’équipe.

« Je me passerai du Président ce soir, dit Rose. Il faudra qu’il bénisse l’Amérique sans moi. Cinq heures, c’est de bonne heure. » Le Sweetbriar Rose n’ouvrait qu’à sept heures, les dimanches matin, mais il y avait toute la préparation. Toujours la préparation. Et le dimanche, cela incluait les rouleaux à la cannelle. « Vous n’avez qu’à rester et regarder si ça vous chante, les gars. Vérifiez simplement que c’est bien fermé avant de partir. Devant et derrière. » Elle commença à se lever.

« Nous devons parler de demain, Rose, dit Barbie.

— Tra-la-la, demain est un autre jour. Laisse tomber pour le moment, Barbie. Chaque chose en son temps. » Mais sans doute détecta-t-elle quelque chose sur son visage, car elle se rassit. « Bon, c’est quoi cette expression sinistre ?

— À quand remonte ta dernière livraison de propane ?

— À la semaine dernière. C’est presque plein. C’est tout ce qui t’inquiète ? »

Non, ce n’était pas tout, mais c’était la première chose de la liste. Il fit un calcul. Le Sweetbriar Rose possédait deux réservoirs en réseau. Chacun avait une capacité de trois cent vingt-cinq ou trois cent cinquante gallons, soit 1 323 litres dans le meilleur des cas, il ne s’en souvenait plus exactement. Il vérifierait demain matin, mais si Rose ne se trompait pas, elle disposait de plus de six cents gallons de gaz. C’était bien. Un peu de chance dans une journée qui s’était révélée spectaculairement calamiteuse pour toute la ville. Mais il n’y avait aucun moyen d’anticiper les coups du sort qui les attendaient. Et six cents gallons de propane, de toute façon, ne dureraient pas éternellement.

« Quelle est la consommation journalière ? demanda-t-il. Tu en as une idée ?

— Pourquoi ? C’est important ?

— Parce que pour l’instant, c’est le générateur qui nous fournit l’énergie. Pour les lumières, les feux, les frigos, les pompes. Et aussi pour la chaudière ; s’il fait trop froid cette nuit, il va démarrer. Et pour ça, le générateur bouffe du propane. »

Ils gardèrent un moment le silence, écoutant le ronronnement régulier du générateur Honda presque neuf, derrière le restaurant.

Anson Wheeler vint s’asseoir avec eux. « La gégène siffle deux gallons de propane à l’heure à un taux d’utilisation de soixante pour cent, dit-il.

— Comment tu sais ça ? demanda Barbie.

— C’est écrit sur l’étiquette. Quand elle fait tout marcher, comme à midi, au moment où il n’y a plus eu de courant, elle en consomme probablement trois à l’heure. Ou un peu plus. »

La réaction de Rose fut immédiate : « Anse, va tout éteindre dans la cuisine. Tout de suite. Et baisse le thermostat de la chaudière à dix degrés. » Elle réfléchit. « Non, arrête-la. »

Barbie sourit et brandit son pouce. Elle avait pigé. Ce n’était pas tout le monde à Chester’s Mill qui aurait compris. Pas tout le monde à Chester’s Mill qui aurait voulu comprendre.

« D’accord, dit Anson, l’air toutefois dubitatif. Vous ne pensez pas que demain matin… ou dans l’après-midi, au plus tard… ?

— Le Président des États-Unis va faire une déclaration à la télé, dit Barbie. À minuit. Qu’est-ce que cela t’inspire, Anse ?

— Je crois qu’il vaut mieux que j’aille tout éteindre, répondit-il.

— Et la chaudière, n’oublie pas la chaudière », ajouta Rose. Tandis qu’Anson s’éloignait rapidement, elle se tourna vers Barbie : « Je vais faire pareil chez moi dès que je serai montée. »

Veuve depuis dix ans, elle habitait au-dessus du restaurant.

Barbie répondit d’un hochement de tête. Il avait retourné l’un des sets de table en papier (« Avez-vous visité ces vingt sites spectaculaires du Maine ? ») et faisait des calculs dessus. Entre vingt-sept et trente gallons de propane avaient brûlé depuis la mise en place de la barrière. Il en restait donc dans les cinq cent soixante-dix. Si Rose parvenait à ramener sa consommation à vingt-cinq gallons par jour, le restaurant pourrait théoriquement tenir pendant trois semaines. En la ramenant à vingt gallons par jour — ce qui pourrait probablement se faire en fermant entre le petit déjeuner et le déjeuner et de nouveau entre le déjeuner et le dîner —, elle pourrait tenir jusqu’à un mois.

Ce qui est bien suffisant, pensa-t-il, vu que si la ville est toujours fermée dans un mois, il n’y aura plus rien à faire cuire, de toute façon.

« À quoi penses-tu ? demanda Rose. Et c’est quoi, tous ces chiffres ? Je n’arrive pas à comprendre…

— C’est parce que tu les vois à l’envers », dit Barbie, se rendant alors compte que tout le monde, à Chester’s Mill, allait avoir tendance à faire de même.

C’était des chiffres que personne n’avait envie de voir à l’endroit.

Rose tourna le rectangle de papier vers elle. Elle refit les calculs. Puis leva les yeux sur Barbie, stupéfaite. À ce moment-là, Anson éteignit presque partout et ils se retrouvèrent plongés dans une pénombre qui était — au moins pour Barbie — horriblement convaincante. Ils étaient peut-être vraiment dans la merde.

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