Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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Le jeune homme secoua la tête. Il n’en dit pas davantage — il n’avait pas besoin de le faire. Ils avaient pu manquer des interruptions dans la barrière, Barbie savait que c’était toujours possible — des trous de la taille d’une fenêtre ou d’une porte —, mais il en doutait.

Il réalisa qu’ils étaient coupés du monde extérieur.

Tout le monde soutient l’équipe

1

Barbie revint à pied vers le bourg en empruntant la Route 119, soit un parcours d’environ cinq kilomètres. Le temps d’arriver, il était dix-huit heures. Main Street était pratiquement déserte, mais bruissait du ronronnement des générateurs ; il y en avait des douzaines, rien qu’à l’oreille. Les feux ne fonctionnaient plus à l’intersection des Routes 119 et 117 ; quant au Sweetbriar Rose, il était éclairé et archicomble. Toutes les tables, comme le vit Barbie à travers les vitres, étaient occupées. Mais quand il entra, il n’entendit pas la rumeur des grandes discussions habituelles : la politique, les matchs de baseball, l’économie locale, les Patriots, les nouvelles voitures et utilitaires, les Celtics, le prix de l’essence, les Bruins, les nouvelles perceuses et autres outils, les Wildcats de Chester’s et Tarker’s Mill. Ni les rires en fond sonore.

Tout le monde avait les yeux rivés au poste de télé au-dessus du comptoir. Avec le sentiment d’incrédulité et de dislocation que doit éprouver quiconque se trouve sur le site d’une catastrophe sans précédent, Barbie observa Anderson Cooper, le célèbre journaliste de CNN, faisant son rapport devant l’immense carcasse fumante du camion renversé sur la Route 119.

Rose elle-même servait aux tables, filant de temps en temps au comptoir prendre une commande. Des boucles de cheveux s’échappaient de leur filet et retombaient sur ses joues. Elle avait l’air fatigué, surmené. Le comptoir était en principe le territoire d’Angie McCain, de seize heures jusqu’à la fermeture, mais Barbie ne vit aucun signe de sa présence. Elle était peut-être hors du territoire de la ville quand la barrière était tombée. Si tel était le cas, on risquait de ne pas la voir à son comptoir avant un bon moment.

Anson Wheeler — que Rosie se contentait d’ordinaire d’appeler simplement « le gamin », même si le gamin en question avait au moins vingt-cinq ans — était aux fourneaux et Barbie préféra ne pas penser à ce que ferait Anse s’il s’attaquait à des choses un peu plus compliquées que le traditionnel haricots blancs-saucisses en promo tous les samedis soir au Sweetbriar Rose. Malheur à celui ou celle qui commandait un petit déj’ complet et se retrouvait face aux œufs frits à la cuisson nucléaire d’Anson. C’était une bonne chose, cependant, qu’il soit là, parce que, outre Angie, Barbie ne voyait aucun signe de Dodee Sanders non plus. Même si la godiche en question n’avait pas besoin d’une catastrophe naturelle pour ne pas venir travailler. Elle n’était pas paresseuse, non, pas exactement — disons qu’elle se laissait facilement distraire. Et quant à ses capacités intellectuelles… bon sang, que pouvait-on en dire ? Son père — Andy Sanders, premier conseiller de Chester’s Mill — ne serait jamais membre de la Mensa, mais, comparé à Dodee, c’était Einstein.

À la télé, on voyait des hélicoptères atterrir derrière Anderson Cooper, réduisant à néant le savant brushing de ses cheveux gris argenté et noyant presque complètement sa voix. Les appareils paraissaient être des Pave Lows. Barbie en avait emprunté plus d’un pendant son séjour en Irak. Un officier de l’armée s’avança vers l’écran, couvrit le micro du reporter de sa main gantée et lui parla à l’oreille.

Les consommateurs réunis au Sweetbriar Rose se mirent à murmurer. Barbie n’avait pas de mal à comprendre leur inquiétude. Il éprouvait la même. Lorsqu’un homme en uniforme se permettait de couper la parole à un journaliste aussi célèbre sans même un mot d’excuse, c’était sans doute que la fin du monde était proche.

Le militaire — un colonel, mais pas son colonel, car pour Barbie voir Cox lui aurait donné l’impression que toutes ses structures mentales étaient vraiment détruites — finit de dire ce qu’il avait à dire. Sa main gantée fit un bruit de frottement lorsqu’elle lâcha le micro. Il sortit du cadre, son visage aussi impénétrable que celui d’une statue. Barbie reconnut cette expression : le motus et bouche cousue militaire.

Cooper reprit la parole : « On vient de me dire que la presse était priée de reculer d’un kilomètre, jusqu’à un endroit du nom de Raymond’s Roadside Store. » Nouveau murmure des clients du Sweetbriar Rose. Tous connaissaient le Raymond’s Roadside de Motton, établissement où l’on pouvait lire dans la vitrine : BIÈRES FRAÎCHES SANDWICHS CHAUDS APPÂTS FRAIS.

« Ce secteur, à moins de cent mètres de ce que nous avons appelé la barrière — par manque d’un terme plus adéquat — vient d’être déclaré zone de sécurité nationale. Nous reprendrons notre reportage dès que nous le pourrons, mais pour l’instant je rends l’antenne à Washington. À vous, Wolf. »

Sur le bandeau rouge défilant au bas de l’écran on lisait : DERNIÈRE MINUTE UNE VILLE DU MAINE COUPÉE DU MONDE LE MYSTÈRE S’ÉPAISSIT. Et dans le coin en haut à gauche un encadré clignotant proclamait GRAVISSIME ! telle une pub dans un bar : Buvez la bière Gravissime , pensa Barbie.

Wolf Blitzer vint remplacer Anderson Cooper à l’écran. Rose avait le béguin pour Blitzer et il n’était pas question de brancher la télé sur autre chose que The Situation Room , pendant les après-midi de la semaine ; elle l’appelait « mon Wolfie ». Wolfie portait ce soir une cravate, mais elle était mal nouée et Barbie trouvait que le reste de sa tenue sentait diablement les vieilles frusques du samedi.

« Pour récapituler ce qui s’est passé, dit le Wolfie de Rose, vers approximativement treize heures, cet après-midi…

— Deux heures auparavant, mon gros, le corrigea quelqu’un.

— C’est vrai, pour Myra Evans ? demanda une autre voix. Elle est vraiment morte ?

— Oui », répondit Fernald Bowie. Le frère aîné de Fern, Stewart Bowie, était l’unique entrepreneur de pompes funèbres de Chester’s Mill. Fern lui donnait parfois un coup de main quand il était à jeun, et ce soir il était à jeun. Anormalement à jeun. « Et maintenant la ferme, qu’on puisse écouter. »

Barbie voulait écouter, lui aussi, parce que Wolfie en venait à la question qui importait le plus à Barbie et disait ce qu’il avait envie d’entendre : que l’espace aérien au-dessus de Chester’s Mill était déclaré interdit de survol. En réalité, c’était tout le Maine occidental et l’est du New Hampshire, à partir de Lewiston-Auburn jusqu’à North Conway, qui était interdit de survol. Le Président venait d’être mis au courant. Et, pour la première fois en neuf ans, la couleur du niveau de menace diffusée par le National Threat Advisory était passée de l’orange au rouge.

Julia Shumway, propriétaire et rédactrice en chef du Democrat , jeta un coup d’œil à Barbie quand il passa devant sa table. Sur quoi elle lui décocha un petit sourire pincé et entendu, sa spécialité, quasiment sa marque de fabrique. « On dirait bien que Chester’s Mill ne veut pas vous laisser partir, Mr Barbara.

— On dirait », répondit Barbie.

Qu’elle ait su qu’il partait et pour quelle raison, voilà qui ne le surprenait pas. Il avait passé suffisamment de temps à Chester’s Mill pour avoir appris que Julia Shumway était au courant de tout ce qui méritait d’être connu.

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