Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Il n’est pas cassé, sauf qu’il va enfler. Mais je crois que tout sera rentré dans l’ordre pour le bal de la Moisson. »

Elle lui répondit par un faible sourire.

« Chef, dit Rennie, je crois qu’on devrait demander des renforts. Sinon à la Sécurité du territoire — en y réfléchissant, je me dis que c’est sans doute un peu exagéré — du moins à la police d’État. »

Duke le repoussa. D’un geste sans brutalité, mais sans équivoque non plus. Rennie serra les poings, puis les ouvrit à nouveau. Il avait consacré toute sa vie à devenir celui qui bousculait les autres plutôt qu’à être celui qu’on bousculait, mais ça n’empêchait pas que les poings, c’était pour les idiots. Il suffisait de voir son propre fils. N’empêche aussi, ce genre d’affront méritait d’être gardé au chaud en attendant la revanche. À prendre un peu plus tard… c’était même parfois mieux ainsi.

Plus suave.

« Peter ! lança Duke à Randolph. Appelle le centre médical et demande-leur ce qu’ils fabriquent avec leurs ambulances ! Je les veux ici !

— Morrison peut s’en charger », répondit Randolph.

Il avait pris son appareil photo dans sa voiture et mitraillait la scène.

— C’est toi qui vas le faire, et tout de suite.

— Chef, je ne crois pas que Jackie soit vraiment blessée et personne d’autre…

— Quand j’aurai besoin de ton avis, Pete, je te le demanderai. »

Randolph commença à regarder le chef de travers, puis il vit l’expression de son supérieur. Il jeta l’appareil photo sur le siège avant de sa caisse et y prit son téléphone portable.

« Qu’est-ce que c’était, Jackie ?

— Je sais pas. Ça a commencé par une sensation de bourdonnement comme de l’électricité, quand on touche un truc par accident. C’est passé, puis je me suis cognée… bon sang, j’sais pas contre quoi je me suis cognée. »

Un grand soupir monta de la foule des badauds. Les pompiers avaient dirigé leurs lances sur le camion en feu mais au-delà, une partie des jets rebondissaient. Frappaient quelque chose et se pulvérisaient en gerbes, créant un arc-en-ciel. Duke n’avait rien vu de pareil de toute sa vie… sauf peut-être lorsqu’il était dans une station de lavage de voitures, regardant le système à haute pression asperger son pare-brise.

Puis il vit un arc-en-ciel, plus petit, côté Chester’s Mill. L’un des badauds — Lissa Jamieson, la bibliothécaire de la ville — se dirigea vers le phénomène.

« Lissa ! cria Duke, n’y allez pas ! »

Elle l’ignora. Elle paraissait hypnotisée. Elle se tenait les mains tendues, à moins d’un mètre d’un jet d’eau à haute pression qui se heurtait à l’air et repartait dans l’autre sens. Perkins vit des minuscules gouttelettes étinceler dans ses cheveux qu’elle portait tirés et noués en chignon sur la nuque. Le petit arc-en-ciel se fragmenta, puis se reforma derrière elle.

« C’est rien qu’un brouillard ! s’écria-t-elle, l’air aux anges. Toute cette eau de l’autre côté, et rien qu’un brouillard ici ! Comme ce qui sort d’un humidificateur. »

Peter Randolph brandit son téléphone et secoua la tête. « J’ai bien le signal, mais je n’arrive pas à passer. À mon avis, tous ces gens (son bras décrivit un grand arc) doivent saturer le réseau. »

Duke ignorait si cela était possible, mais il était exact que presque tous ceux qu’ils voyaient jacassaient dans leur portable ou prenaient des photos avec. Sauf Lissa, qui continuait à faire son numéro de nymphe des bois.

« Va la chercher, dit Duke à Randolph. Et ramène-là avant qu’elle décide de nous faire une danse de la pluie. »

À son expression, il était clair que Randolph considérait une telle mission comme très en dessous de son grade, mais il y alla tout de même. Duke laissa échapper un rire bref. Bref, mais authentique.

« Au nom du ciel, qu’est-ce que vous voyez ici qui peut prêter à rire ? » demanda Rennie. D’autres voitures de police du comté de Castle Rock arrivaient, côté Motton. Si Perkins n’y veillait pas, c’était Castle Rock qui allait prendre le contrôle des choses. Et qui en tirerait tous les fichus honneurs.

Duke s’était arrêté de rire, mais il souriait toujours. Sans complexes. « C’est un sac d’embrouilles, répondit-il. C’est bien comme ça que vous dites, Big Jim, non ? Et si j’en crois mon expérience, rire est parfois la seule manière de réagir face à un sac d’embrouilles.

— Je ne comprends rien à ce que vous racontez ! » cria presque Rennie. Les fils Dinsmore s’écartèrent du deuxième conseiller et vinrent se réfugier derrière leur père.

« Je sais, dit doucement Duke. Et c’est très bien. Tout ce que vous devez comprendre pour le moment, c’est que le patron des forces de l’ordre sur le terrain, c’est moi, au moins jusqu’au moment où arrivera le shérif du comté, et que vous, vous n’êtes qu’un conseiller municipal. Autrement dit, un citoyen comme les autres. C’est pourquoi j’aimerais que vous reculiez. »

Duke éleva alors la voix et indiqua du doigt l’endroit où Henry Morrison déroulait le ruban jaune et contournait pour ce faire les deux plus gros morceaux du fuselage de l’avion : « Tout le monde recule et nous laisse faire notre boulot ! Tout le monde ! Suivez le deuxième conseiller Rennie. Il va vous conduire de l’autre côté du ruban jaune.

— Je n’apprécie pas beaucoup ça, Duke, dit Rennie.

— Dieu vous bénisse, mais j’en ai rien à foutre. Sortez de mon périmètre, Big Jim. Et faites bien attention en passant sous le ruban. Inutile que Henry soit obligé d’en remettre un second.

— Chef Perkins, vous avez intérêt à vous rappeler comment vous m’avez parlé aujourd’hui. Parce que moi je ne l’oublierai pas. »

Rennie partit d’un pas raide vers le ruban jaune. Les autres badauds le suivirent, la plupart regardant par-dessus leur épaule pour voir l’eau rebondir sur la barrière noircie d’un dépôt huileux et se déposer en flaque rectiligne sur la route. Deux ou trois des plus malins (Ernie Calvert, par exemple) avaient déjà remarqué que cette ligne était exactement celle de la frontière qui délimitait les territoires de Motton et de Chester’s Mill.

Rennie fut pris de l’envie enfantine de rompre, avec sa poitrine, le ruban jaune soigneusement posé par Morrison, mais il se contint. Il ne ferait pas non plus le détour qui l’aurait conduit à passer au milieu d’un fouillis de bardanes, pour que son pantalon Land’s End, qui lui avait coûté soixante dollars, s’en retrouve couvert. Il passa donc sous le ruban, soulevant celui-ci de la main. Son ventre l’aurait empêché de vraiment se baisser.

Derrière lui, Duke se dirigea lentement vers l’endroit où Jackie s’était cognée. Il tendit la main devant lui, comme un aveugle cherchant son chemin dans une pièce qu’il ne connaît pas.

C’était ici qu’elle était tombée… et ici

Il ressentit le bourdonnement électrique qu’elle lui avait décrit, mais au lieu de passer, il se transforma en une douleur intense au creux de son épaule gauche. Il eut juste le temps de se rappeler les derniers mots que lui avait dits Brenda — de faire attention à son pacemaker — et l’appareil explosa dans sa poitrine avec suffisamment de force pour faire un trou dans son sweat-shirt des Wildcats qu’il avait enfilé ce matin en l’honneur du match de l’après-midi. Du sang, des débris de coton et des fragments de chair heurtèrent la barrière.

La foule émit un aaaaah .

Duke essaya de prononcer le prénom de sa femme, n’y parvint pas, mais vit clairement son visage en esprit. Elle souriait.

Puis les ténèbres.

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