Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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« Ernie, dit-il, on t’a raconté n’importe quoi. »

Alden Dinsmore s’avança d’un pas. « Mr Rennie, je ne vois pas comment vous pouvez être aussi affirmatif, alors que vous n’avez aucune information. »

Rennie lui sourit. Ou du moins, ses lèvres s’étirèrent. « Je connais Dale Barbara, Alden ; je dispose au moins de cette information. » Il se tourna vers Ernie Calvert : « Et maintenant, si tu veux bien…

— Chut ! dit Calvert avec un geste de la main. J’ai quelqu’un. »

Big Jim Rennie n’aimait pas trop qu’on lui coupe la parole. En particulier quand celui qui la lui coupait était un épicier à la retraite. Il prit le téléphone des mains d’Ernie comme si celui-ci avait été un quelconque assistant qui l’aurait tenu jusqu’ici sur son ordre.

Une voix s’éleva dans le portable. « Qui est à l’appareil ? » Moins d’une demi-douzaine de mots, mais cela suffisait à Rennie pour comprendre qu’il avait affaire à un crétin de fonctionnaire. Le Seigneur savait qu’il avait eu souvent affaire à eux, depuis trente ans qu’il était un élu de la ville, et les fédéraux étaient les pires.

« James Rennie, premier adjoint de Chester’s Mill. Et vous, monsieur ?

— Donald Wozniak, Sécurité du territoire. J’ai cru comprendre que vous aviez un problème sur la Route 119. Une interdiction d’un genre ou d’un autre. »

Une interdiction ? Une interdiction ? C’était quoi, ce jargon fédéral ?

« On vous a mal informé, monsieur, dit Rennie. Ce qui s’est passé, c’est qu’un avion — un avion civil, un petit appareil du coin — qui essayait de se poser sur la route a percuté un camion. La situation est complètement sous contrôle. Nous n’avons pas besoin de l’aide de la Sécurité du territoire.

— Mr Rennie ? dit le fermier. Ce n’est pas comme ça que les choses se sont passées. »

Rennie eut un geste méprisant de la main et commença à se diriger vers la première voiture de patrouille. Hank Morrison en descendait. Un grand gaillard de plus d’un mètre quatre-vingt-dix, mais un vrai incapable. Et derrière lui marchait la nana avec les gros nénés. Wettington, elle s’appelait Wettington, et elle était pire que nulle : une grande gueule commandée par un cerveau de piaf. Mais derrière elle, Peter Randolph venait d’arriver. Randolph était le premier adjoint du chef, un homme selon le cœur de Big Jim Rennie. Un homme qui savait y faire. Si Randolph avait été de service le soir où Junior avait eu ses ennuis dans ce boui-boui infernal, Big Jim doutait que Mr Dale Barbara ait pu se promener tranquillement aujourd’hui et foutre la pagaille. En fait, Mr Barbara serait probablement derrière les barreaux, à Castle Rock. Ce qui aurait parfaitement convenu à Rennie.

En attendant, le type de la Sécurité du territoire — avaient-ils le culot de se parer du titre d’agent ? — continuait à jacasser.

Rennie l’interrompit. « Merci pour votre sollicitude, Mr Wozner , mais nous maîtrisons la situation. » Il coupa la communication sans même dire au revoir. Puis il lança le téléphone à Ernie Calvert.

« Je crois que ce n’était pas très malin, Jim. »

Rennie regarda alors Randolph s’arrêter derrière la voiture de Wettington ; sur le toit du véhicule, toutes les lumières clignotaient. Son premier mouvement fut de se diriger vers Randolph, mais il y renonça avant même que l’idée ait fini de se former dans son esprit. Que Randolph vienne à lui. C’était comme ça que les choses devaient se passer. Et comme ça qu’elles se passeraient, Dieu lui en était témoin.

2

« Qu’est-ce qui est arrivé, Big Jim ? demanda Randolph.

— Je crois que c’est évident. L’avion de Chuck Thompson a eu une petite explication avec un camion. On dirait qu’ils ont fait match nul. »

Il entendait à présent des sirènes en provenance de Castle Rock. Certainement des pompiers (Rennie espérait bien que leurs deux véhicules flambant neufs, qui leur avaient coûté les yeux de la tête, se trouvaient parmi eux ; mieux valait que personne ne se rende compte que les nouvelles bagnoles n’étaient pas sur place quand tout ce délire avait commencé). Les ambulances et la police n’allaient pas tarder à suivre.

« C’est pas ce qui est arrivé, insista Alden Dinsmore avec entêtement. J’étais dehors dans mon jardin, et j’ai vu l’avion qui…

— Vous feriez peut-être bien de faire reculer tous ces gens, non ? » dit Rennie à Randolph, avec un geste vers les badauds. Il y en avait pas mal du côté du camion, se tenant prudemment à l’écart de l’épave en feu, et encore plus du côté Chester’s Mill. Ça commençait à avoir l’air d’une assemblée.

Randolph s’adressa à Morrison et Wettington : « Hank », dit-il avec un geste vers les spectateurs de Chester’s Mill. Certains avaient commencé à fouiller les débris épars de l’appareil de Thompson. Il y avait des cris d’horreur chaque fois qu’on retrouvait des restes humains.

« Vu », répondit Morrison qui s’éloigna aussitôt.

Randolph dirigea Wettington vers les badauds côté camion : « Jackie, tu vas aller… » Mais la voix de Randolph mourut.

Les fans de désastres côté sud de l’accident s’étaient regroupés en deux clans, dans la prairie d’un côté de la route, et au milieu des buissons de l’autre. Ils restaient bouche bée, ce qui leur donnait une expression d’intérêt stupide que Rennie connaissait très bien ; il la voyait s’afficher individuellement tous les jours — et en masse lors de l’assemblée municipale annuelle de mars. Sauf que ce n’était pas le camion en feu que regardaient tous ces gens. Et maintenant Peter Randolph, qui n’était certainement pas un idiot (pas une flèche non plus, il s’en fallait de beaucoup, mais qui savait au moins de quel côté sa tartine était beurrée), regardait dans la même direction, avec cette même expression de stupéfaction qui laissait tout le monde bouche bée. Jackie Wettington aussi.

La fumée était l’objet de cette fascination. Celle qui montait du camion de grumes.

Elle était noire, huileuse. Tous ceux qui étaient sous le vent auraient dû s’étouffer, mais non. Et Rennie voyait pourquoi. Difficile à croire, mais il l’avait sous les yeux. Le vent poussait la fumée vers le nord, du moins au début, sur quoi sa trajectoire faisait un coude — presque un angle droit — et s’élevait tout droit, comme dans un conduit de cheminée. Laissant derrière elle un résidu brun foncé. Une longue salissure qui paraissait tenir toute seule en l’air.

Jim Rennie secoua la tête, comme pour chasser cette image, mais elle était toujours là quand il s’arrêta.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? » demanda Randolph d’une voix douce, émerveillée.

Dinsmore, le fermier, vint se planter devant le policier. « Ce type, dit-il avec un geste vers Ernie Calvert, avait la Sécurité du territoire en ligne et ce type (il montra Rennie d’un geste théâtral de prétoire qui n’émut en rien le deuxième conseiller) lui a pris le téléphone des mains et a raccroché ! Il aurait pas dû faire ça, Pete. Parce que ça n’a pas été une collision. L’avion volait normalement. Je l’ai vu. J’étais en train de pailler des plants en prévision du gel et je l’ai vu.

— Moi aussi… », commença Rory, et cette fois ce fut son frère Ollie qui lui allongea une taloche derrière la tête.

Rory se mit à geindre.

Alden Dinsmore reprit la parole : « Il a percuté quelque chose. La même chose que celle que le camion a percutée. C’est là, on peut même la toucher. Le jeune type, le cuistot, il a dit qu’il devrait y avoir une interdiction de vol dans le secteur et il avait raison. Mais Mr Rennie (avec de nouveau un geste vers Rennie comme s’il se prenait pour Perry Mason et n’était pas simplement un type qui gagnait sa vie en attachant tous les jours sa trayeuse à des pis de vache) n’a même pas voulu leur parler. Il a raccroché. »

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